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https://doi.org/10.11588/diglit.21881#0783
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Cordial Régénérateur
Il tonifie 163 poumons, régularise les battements du cœur, active le travail
de la digestion. — L’homme débilité y puise la force, la vigueur et la santé.
L’homme qui dépense beaucoup d’activité, l’entretient par l’usage régulier de
ce cordial, efficace dans tous les cas, éminemment digestif et fortifiant et
agréable au goût comme une liqueur de table. ®
TOUTES PHARMACIES
LE LANCIER SANS PEUR ET SANS REPROCHE
PRENEZ GARDE
MONSIEUR, vous com-
mencez a grossir, et grossir
c’est vieillir. Prenez donc
tous les jours deux dragées
de Thyroïdine Bouty.^
Traitement inoilensif et certain.
Envoi franco du flacon de so dragées
C.IO'adressésau Laboratoire, 1,R. Châteaudun,Paris
g S 11 O ETC grivois; nuuv. Catai. et éciiant., 3 fr.
Ll H O LO MATTERN, .éditeur à Bruxelles.
^MBANDAGE
BARRERE^M
Le Hernleux peut, depuis dix
tne, tire dans tous les Jour-
naux que le Médecin-Spécia-
liste L. Barrère a Inventé le
élastique et sans ressort, adopté
pour l’armée, le seul pouvant
être porté nuit et Jour sans se
JB ___déplacer, et contenant toutes les
Hernies sans la moindre gêne. Imperceptible au toucher, il permet
l'exerciee de toutes les professions et de tous les sports, et par une
pression permanente peut amener ta guérison. Se méfier des contre-
facteurs qui copient nos termes mêmes pour présenter comme une
nouveauté ce qui n'est qu'une mauvaise copie de nos vieux modèles.
Brochure gratuite. — M. BARRÈRE, 3, BouP du Palais, PARIS.
(Life, New-York.)
SANW
AMD'*
Inofifensif, d'une p»-
reté absolue, guérit en
48 HEURES
les écoulements qui exi-
geaient autrefois des
semaines de traite-
ment par le copahu,
le cubèbe.les opiats et
les injections.
! 13. fatii. St-Honoré. Paris
EN O JOURS
[INJECTION AMÉRICAINE
du Docteur PA TESSON
fait cesser les Ecoulements les plus rebelles, récente
ou anciens. C’est la seule qui guérisse réellement,
sans copahu, ni cnbèbe, ni mercure, les Maladies
secrétés, Eohauïïemanta, Blennorrhagie, Ûoutte mllitslf*.
D’un emploi facile elle n’occasionne jamais de rétri»
issemerits toujours danaèreui. — Envoi discret franco
ou bons de poste de 4 fr. — Dépôt ; PIERRHUGUES,
Pharmacie du Trésor, 80, Rue Viellle-du-Temple, 30, PssRIS.
Maladies de la PEAU, ÏCZEMA. CHANCRES, SYPHILIS.
Qragées Végéto-dépurative* du Docteur Patesson.- 5 fr.
L’Art Médical
en 1900
La science de guérir a réalisé de notre
temps d’immenses progrès. Elle a remonté
aux causes mystérieuses des maladies et elle
y a apporté des remèdes jusqu’ici inconnus.
Mais elle a été singulièrement aidée dans
cette œuvre de soulagement des souffrances
humaines, et notamment dans le traitement
des infirmités, par la merveilleuse habileté
des praticiens spécialistes.
Au premier rang de ceux-ci, il faut placer
M. Auguste Claverie. Il s’est voué tout en-
tier, depuis de longues années, à l’étude
approfondie d’une série d’affections qui, sous
l’apparence de difformités plus ou moins re-
butantes ou déplaisantes, déséquilibrent l’or-
ganisme et mettent l’existence en péril. Il
fallait d’abord rechercher pourquoi elles
avaient pour la plupart été jusqu’à présent
réputées incurables et y ndapter des appa-
reils faciles, commodes et d’une efficacité
certaine. Envisagées à ce point de vue, les
collections d’appareils inventés et réunis par
cet éminent praticien forment un véritable
musée de l’art médical en 1900.
Nous venons de parcourir ces collections,
les plus complètes certainement qu’il y ait à
Pans. La vue en est suggestive.
On sait que l’auteur a établi un système
tout à fait nouveau, qui contient, refoule et
fait disparaître la hernie sans perturber ni
compromettre la vie des malades. Le ban-
dage pneumatique, sans ressort, qu’il a ima-
giné est simplement merveilleux. Il ne blesse
pas. On peut le porter jour et nuit. Il laisse
intégrale la liberté des mouvements. Enfin,
il est la condamnation absolue de ces cein-
tures meurtrières de cuir, de fer ou d’acier,
qui ont longtemps torturé et qui tortureut
encore tant de malheureux patients tout en les
L’Imprimeur-Gérant : Léon Tonnelle.
exposant constamment à une mort tragique.
Grâce à cette découverte sans précèdent,
le mal est enrayé et il disparaît graduelle-
ment et sans retour. La science médicale, eu
France et à l’étranger, a reconnu la souve-
raine vertu de ce traitement, attestée du
reste par des milliers de guérisons définitives.
Mais bien d’autres appareils attirent notre
attention. En voici qui s’appliquent au vari-
cocèle et à l’hydrocèle. Ici, la cachexie, là la,
déformation des omoplates, la déviation de la
taille, voire la gibbosité, sont victorieuse-
ment combattues soit par un corset orthopé-
dique spécial, soit par des appareils nou-
veaux et dont la confection parfaite en permet
l’usage sansappréhension et sans souffrance.
Combien d’enfants et d’adultes des deux
sexes sont menacés ou atteints d’infirmités
qui dépriment leurs forces, empoisonnent
leur vie et les rendent impropres au travail!
C’est surtout parmi la population laborieuse
que sévissent ces misères physiques. Que de
services ces remarquables inventions ont
rendus aux ouvriers et aux ouvrières des
villes et des champs ! Que de mères, de
jeunes filles et d’enfants leur doivent le re-
dressement de leur échine dorsale, la recti-
fication de leurs épaules, l’harmonie de leurs
formes, la beauté et la robustesse de leur
constitution! Il y a telles ceintures abdomi-
nales et hypogastriques qui ont graduelle-
ment guéri les femmes atteintes de maladies
des organes génitaux. Citerons-nous encore
les ceintures spéciales souverainement effi-
caces contre l’obésité, les bas élastiques pour
varices qui arrêtent instantanément le déve-
loppement de cette pénible infirmité et pré-
viennent les plaies et ulcères, souvent incu-
rables, qu’elle détermine?
Un pays ne vaut pas seulement par l’intel-
ligence. Sa prospérité et son avenir dépen-
dent aussi de la vigueur corporelle des géné-
rations. L’Université l’a si bien compris
qu’elle a inscrit dans ses. récents program-
mes les principes et les exercices d’éducation
physique qui doivent donner des hommes et
des femmes énergiques et utiles à la patrie.
L’art médical restitue chaque année à la
famille nationale nombre de déshérités qu’il
transforme en individus valides, exempts de
tares et solidement armés pour le combat de
la vie.
C’est à ces hautes considérations d’intérêt
général que se rattachent les multiples in-
ventions dont nous venons de rappeler les
heureux bienfaits. Pour être plus certain de
leur parfait conditionnement, l’excellent spé-
cialiste a créé dans l’Est, à Homilly, une véri-
table usine. Chaque appareil est en quelque
sorte établi sur ses dessins et sous ses yeux.
Au surplus, le savant praticien se met à la
disposition de tous ceux qui réclament son
intervention. Chacun des cas exposés par les
malades est l’objet de, conseils et de soins
appropriés. 11 se fait un devoir d’entourer
de tous les renseignements et de toutes les
garanties les personnes et les familles juste-
ment impatientes de profiter des bienfaits
de cette orthopédie à la fois savante, hu-
maine et pratique.
On ne peut donc qu'engager toutes les per-
sonnes qui souffrent de ces diverses affec-
tions ou qui craignent d’en être un jour
affligées à faire visite à M. Claverie, 234,
faubourg Saint-Martin, à Paris.
Les habitants de la province et les étran-
gers que l’Exposition attire en ce moment ér.
si grand nombre dans la capitale y trouve-
ront une occasion exceptionnelle de s’ins-
truire et surtout de conjurer les progrès de
maladies qui les menacent ou dont ils sont
déjà peut-être atteints. Au surplus, le traité
spécial à chaque infirmité, dans lequel les
appareils propres à la combattre se trouvent
décrits et représentés, est envoyé gratuite-
ment et sans frais à toutes les personnes qui,
ne pouvant se déplacer, veulent bien le de-
mander à M. Claverie.
Il ne faut pas jouer avec la maladie. Quand
on a sous la main le remède, le plus sûr est
d’y recourir et de l’appliquer sans délai.
Docteur Derieux.
Imprimerie spéciale du Rire, 12, rue du Bac d’Asnières, Clichy.
Cordial Régénérateur
Il tonifie 163 poumons, régularise les battements du cœur, active le travail
de la digestion. — L’homme débilité y puise la force, la vigueur et la santé.
L’homme qui dépense beaucoup d’activité, l’entretient par l’usage régulier de
ce cordial, efficace dans tous les cas, éminemment digestif et fortifiant et
agréable au goût comme une liqueur de table. ®
TOUTES PHARMACIES
LE LANCIER SANS PEUR ET SANS REPROCHE
PRENEZ GARDE
MONSIEUR, vous com-
mencez a grossir, et grossir
c’est vieillir. Prenez donc
tous les jours deux dragées
de Thyroïdine Bouty.^
Traitement inoilensif et certain.
Envoi franco du flacon de so dragées
C.IO'adressésau Laboratoire, 1,R. Châteaudun,Paris
g S 11 O ETC grivois; nuuv. Catai. et éciiant., 3 fr.
Ll H O LO MATTERN, .éditeur à Bruxelles.
^MBANDAGE
BARRERE^M
Le Hernleux peut, depuis dix
tne, tire dans tous les Jour-
naux que le Médecin-Spécia-
liste L. Barrère a Inventé le
élastique et sans ressort, adopté
pour l’armée, le seul pouvant
être porté nuit et Jour sans se
JB ___déplacer, et contenant toutes les
Hernies sans la moindre gêne. Imperceptible au toucher, il permet
l'exerciee de toutes les professions et de tous les sports, et par une
pression permanente peut amener ta guérison. Se méfier des contre-
facteurs qui copient nos termes mêmes pour présenter comme une
nouveauté ce qui n'est qu'une mauvaise copie de nos vieux modèles.
Brochure gratuite. — M. BARRÈRE, 3, BouP du Palais, PARIS.
(Life, New-York.)
SANW
AMD'*
Inofifensif, d'une p»-
reté absolue, guérit en
48 HEURES
les écoulements qui exi-
geaient autrefois des
semaines de traite-
ment par le copahu,
le cubèbe.les opiats et
les injections.
! 13. fatii. St-Honoré. Paris
EN O JOURS
[INJECTION AMÉRICAINE
du Docteur PA TESSON
fait cesser les Ecoulements les plus rebelles, récente
ou anciens. C’est la seule qui guérisse réellement,
sans copahu, ni cnbèbe, ni mercure, les Maladies
secrétés, Eohauïïemanta, Blennorrhagie, Ûoutte mllitslf*.
D’un emploi facile elle n’occasionne jamais de rétri»
issemerits toujours danaèreui. — Envoi discret franco
ou bons de poste de 4 fr. — Dépôt ; PIERRHUGUES,
Pharmacie du Trésor, 80, Rue Viellle-du-Temple, 30, PssRIS.
Maladies de la PEAU, ÏCZEMA. CHANCRES, SYPHILIS.
Qragées Végéto-dépurative* du Docteur Patesson.- 5 fr.
L’Art Médical
en 1900
La science de guérir a réalisé de notre
temps d’immenses progrès. Elle a remonté
aux causes mystérieuses des maladies et elle
y a apporté des remèdes jusqu’ici inconnus.
Mais elle a été singulièrement aidée dans
cette œuvre de soulagement des souffrances
humaines, et notamment dans le traitement
des infirmités, par la merveilleuse habileté
des praticiens spécialistes.
Au premier rang de ceux-ci, il faut placer
M. Auguste Claverie. Il s’est voué tout en-
tier, depuis de longues années, à l’étude
approfondie d’une série d’affections qui, sous
l’apparence de difformités plus ou moins re-
butantes ou déplaisantes, déséquilibrent l’or-
ganisme et mettent l’existence en péril. Il
fallait d’abord rechercher pourquoi elles
avaient pour la plupart été jusqu’à présent
réputées incurables et y ndapter des appa-
reils faciles, commodes et d’une efficacité
certaine. Envisagées à ce point de vue, les
collections d’appareils inventés et réunis par
cet éminent praticien forment un véritable
musée de l’art médical en 1900.
Nous venons de parcourir ces collections,
les plus complètes certainement qu’il y ait à
Pans. La vue en est suggestive.
On sait que l’auteur a établi un système
tout à fait nouveau, qui contient, refoule et
fait disparaître la hernie sans perturber ni
compromettre la vie des malades. Le ban-
dage pneumatique, sans ressort, qu’il a ima-
giné est simplement merveilleux. Il ne blesse
pas. On peut le porter jour et nuit. Il laisse
intégrale la liberté des mouvements. Enfin,
il est la condamnation absolue de ces cein-
tures meurtrières de cuir, de fer ou d’acier,
qui ont longtemps torturé et qui tortureut
encore tant de malheureux patients tout en les
L’Imprimeur-Gérant : Léon Tonnelle.
exposant constamment à une mort tragique.
Grâce à cette découverte sans précèdent,
le mal est enrayé et il disparaît graduelle-
ment et sans retour. La science médicale, eu
France et à l’étranger, a reconnu la souve-
raine vertu de ce traitement, attestée du
reste par des milliers de guérisons définitives.
Mais bien d’autres appareils attirent notre
attention. En voici qui s’appliquent au vari-
cocèle et à l’hydrocèle. Ici, la cachexie, là la,
déformation des omoplates, la déviation de la
taille, voire la gibbosité, sont victorieuse-
ment combattues soit par un corset orthopé-
dique spécial, soit par des appareils nou-
veaux et dont la confection parfaite en permet
l’usage sansappréhension et sans souffrance.
Combien d’enfants et d’adultes des deux
sexes sont menacés ou atteints d’infirmités
qui dépriment leurs forces, empoisonnent
leur vie et les rendent impropres au travail!
C’est surtout parmi la population laborieuse
que sévissent ces misères physiques. Que de
services ces remarquables inventions ont
rendus aux ouvriers et aux ouvrières des
villes et des champs ! Que de mères, de
jeunes filles et d’enfants leur doivent le re-
dressement de leur échine dorsale, la recti-
fication de leurs épaules, l’harmonie de leurs
formes, la beauté et la robustesse de leur
constitution! Il y a telles ceintures abdomi-
nales et hypogastriques qui ont graduelle-
ment guéri les femmes atteintes de maladies
des organes génitaux. Citerons-nous encore
les ceintures spéciales souverainement effi-
caces contre l’obésité, les bas élastiques pour
varices qui arrêtent instantanément le déve-
loppement de cette pénible infirmité et pré-
viennent les plaies et ulcères, souvent incu-
rables, qu’elle détermine?
Un pays ne vaut pas seulement par l’intel-
ligence. Sa prospérité et son avenir dépen-
dent aussi de la vigueur corporelle des géné-
rations. L’Université l’a si bien compris
qu’elle a inscrit dans ses. récents program-
mes les principes et les exercices d’éducation
physique qui doivent donner des hommes et
des femmes énergiques et utiles à la patrie.
L’art médical restitue chaque année à la
famille nationale nombre de déshérités qu’il
transforme en individus valides, exempts de
tares et solidement armés pour le combat de
la vie.
C’est à ces hautes considérations d’intérêt
général que se rattachent les multiples in-
ventions dont nous venons de rappeler les
heureux bienfaits. Pour être plus certain de
leur parfait conditionnement, l’excellent spé-
cialiste a créé dans l’Est, à Homilly, une véri-
table usine. Chaque appareil est en quelque
sorte établi sur ses dessins et sous ses yeux.
Au surplus, le savant praticien se met à la
disposition de tous ceux qui réclament son
intervention. Chacun des cas exposés par les
malades est l’objet de, conseils et de soins
appropriés. 11 se fait un devoir d’entourer
de tous les renseignements et de toutes les
garanties les personnes et les familles juste-
ment impatientes de profiter des bienfaits
de cette orthopédie à la fois savante, hu-
maine et pratique.
On ne peut donc qu'engager toutes les per-
sonnes qui souffrent de ces diverses affec-
tions ou qui craignent d’en être un jour
affligées à faire visite à M. Claverie, 234,
faubourg Saint-Martin, à Paris.
Les habitants de la province et les étran-
gers que l’Exposition attire en ce moment ér.
si grand nombre dans la capitale y trouve-
ront une occasion exceptionnelle de s’ins-
truire et surtout de conjurer les progrès de
maladies qui les menacent ou dont ils sont
déjà peut-être atteints. Au surplus, le traité
spécial à chaque infirmité, dans lequel les
appareils propres à la combattre se trouvent
décrits et représentés, est envoyé gratuite-
ment et sans frais à toutes les personnes qui,
ne pouvant se déplacer, veulent bien le de-
mander à M. Claverie.
Il ne faut pas jouer avec la maladie. Quand
on a sous la main le remède, le plus sûr est
d’y recourir et de l’appliquer sans délai.
Docteur Derieux.
Imprimerie spéciale du Rire, 12, rue du Bac d’Asnières, Clichy.