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Le rire: journal humoristique — 7.1900-1901 (Nr. 313-364)

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https://doi.org/10.11588/diglit.21882#0871
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une pièce si belle, si grande qu'elle me retire Fà-peu-près de la bou-
che, si vibrante d’émotion qu’elle me casse les jarrets au milieu
d’une pirouette.

D’ailleurs, que vous le vouliez ou non, le triomphe d’hier vous
interdit pour longtemps les recommencements!.

E. P. L.,

Forçat en rupture de blague.

*

Heureusement la Comédie-Française est là; et M. Schefer, célè-
bre déjà pour « faire le. tapis » à l’Olympia, vient mettre sur le même
tapis la question du Roi.

Un rapide compte rendu, sténographié au cours de la répétition

ENTRE SPORTSMEN

— Pourquoi ne cours-tu pas demain, John?

— J’ai obtenu une permission pour affaire de famille... on va pendre mon

frère. (Simplicissimus, Berlin.)

générale, en dira plus long à nos lecteurs que tous les articles de
notre confrère Huret qui pourtant s’est donné bien du mal !

Il court, il court le Huret !

Dans la salle. — Alors ça y est, on le supprime. — Quoi? On
coupeencore un acte : mais ça va devenir un monologue, celte pièce-
là. Je ne vous parle pas du Roi, c’est du Comité qu’il s’agit. —
Il parait qu’ils sont très montés contre Claretie. — Cet obscur
Claretie qui tombe les étoiles. — Les voyez-vous s’érigeant tout à
coup en accusateurs. — Le Comité de Salut public alors. — Qu’est-
ce que c’est que ce beau militaire? — C’est Dessonne. — Il n’a pas
bientôt fini de Dessonner. — Tiens, Segond-Weber. — Oh!
oh! c’est une impératrice. — Toujours excellente, Leconte; autant
de spectateurs,autant d’amis. — Les bonnes Leconte font les bons
amis. —Voyez donc Paul Mounet qui s’habille en dompteur. — Da-
me, le Roi, je le Marck.— Vous savez le mot de Leygues?— Non.

— Voilà trop longtemps qu’ils m’embêtent avec leur Comité, à
la fin je vais casser ces pitres. — Dura Leygues. sed Leygues. —

A PROPOS DU CONFLIT DOUANIER RUSSO-AMERICAIN

L’oncle Sam, à l'ours russe. — Ne tirez pas, je descends...

(Pucli, New-York.)
 
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