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Le rire: journal humoristique — 8.1901-1902 (Nr. 365-416)

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https://doi.org/10.11588/diglit.17503#0011
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ILLUSION mi roup do niaiti'o et Ion demandes affluèrent

de toUtos parts. Ce succès nous fut d'autant

Elus agréable que Cappiello est un des nom-
reux artistes que le RIRE a révélés au pu-
blic et l'un des plus personnels. Un impri-
meur intelligent, qui, en même temps, est un
maître lithographe et un artiste, M. Verras -
son, traita avec notre collaborateur et s'as-
sura le monopole des affichés Cappiello,

Il en a déjà tiré une quinzaine et la plus
récente que nous reproduisons à notre der-
nière page, celle de la grande maison Segol,
n'es! pas la moins heureuse. Jeanne Granier
et Albert Brasseur, les protagonistes de la
VEINE, y dégustent les produits bordelais
d'une façon amusante. Ajoutons pour les col-
lectionneurs, que contre 1 fi, 50 adressés au
DIRECTEUR DES GRANDS CHAIS DU
ME DOC au Bouscat, Gironde, ils recevront
un exemplaire en format (lmX 1,40) de cette
belle et originale affiche.

LA BOURSE

11 est avéré maintenait que la baisse subie eu ^KNJ III J^^SfiaiP^ *4m

premier Heu par 1rs valeurs industrielles, puis en- ^2S& \ JKcfiP* mHBL

suite par toutes les autres, même les meilleures, ■^Hfr^ \ rfMÊF^^ HJBMrv

même la. Rente française, est due à l'audace de, t^^HsBSçP^^^ \ftlÉ

quelques spéculateurs bien connus, dont la ma- ^^ÊÊP^B^T S îv*

nœuvre, déjà ancienne, qui, jadis, échouait parfois ^^mï^^'

devant la décision de nos financiers, est actuelle- Wl

ment victorieuse. Sf

Pourquoi ne rencontre-t-elle plus d'opposition^ Vol'

fine taille! - l'arec que le marché manque de cohésion; parce — C était son cou. iLi/e, Aew-i

qu'il ne se trouve plus personne pour lui imprimer
une direction, pour faire paver cher aux vendeurs

les affiches de cappiello \ découvert leur imprudence. comme la femme de César, ne sauraient même cire

' ' _ .., . , ... . L Une telle entente, si nécessaire, ne se réalisera-t-clle soupçonnées.

Quoi de plus délicieux que 1 art de 1 affiche? pas? Ce sont nos grandes Sociétés de crédit qui la Avec un tel état d'esprit, quoi d'étonnant à ce

C'est la joie des yeux, la gaîté des murs : devraient organiser. Elles comprendront peut-être qu'aucune émission ne percé à l'horizon? A peine

C'est aussi l'éducation de la foule. L'éclosion l'urgence de s'y résoudre ayant vu leurs titres atta- parle-t-on de l'Emprunt bulgare, que nous avons

des dernières années où les Chôret. les quôs. signalé déjà, et d'un autre emprunt de l'Etat frnn-

Willette, les Steinlen se succédaient à'côté .Puisque ni les agents de change ni les conlissicrs çais, dont 1 intérêt serait -gage sur les versement*

i t T'I ,„ D i j„ r i\r • T a \ïAf n ont, soit la volonté, soit le pouvoir de faire rendre successifs de 1 indemnité due par la Chine,

ae Lautiee, ae rai, tte U. Meunier, ûe ivieti- gorge à la demi-douzaine des écumeurs de la place, Il est concevable qu'une Société industrielle quel-

yet, etc. semblait finie, quand tout a coup, c'est aux banquiers qu'incombe cette mission. Elle conque, si riche que soit son exploitation, ne puisse

il y a quelques mois, sur les murs éclatèrent sera profitable pour eux, utile à tous. songer, à l'heure présente, en raison de la défavcui

des taches amusantes d'une formule nouvelle: En attendant, le désarroi est toujours aussi grand, en laquelle le capital semble tenir ce compartiment

c'était notre ami Cappiello qui, après le jour- L'inquiétude est mère de la crédulité; aussi ac- delà cote, à Solliciter le crédit public Et c'estceu

nal, l'allmm, la sculpture, s'essayait 'dans Çueillç-t-on d'une oreille complaisante les nouvelles qui est déplorable, qui a une redoutable repereu»

cptte autre forme dp son art Son"o<5sii fut lcs Plus invraisemblables dés quelles nuisent au sion sur notre activité nationale

cette auti e torme ae son art. bon essai lut crédft d(JS arfairos los plus prospereS) de celles qui, De Lorenuahrk

I.A QUESTION FRANCO-TURQUE L.\ T.OI NOUVELLE

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Z $ZlXkï^X£mX>uunemvunt pour régler les dettes. et demande à être perfectionnée.

~. v,ous avez voulu vous mettre à la mode... mais le paiement de ces y PA„KN.r. _ Mc traiter ainsi ! C'est contraire à la loi !
quais . ..... v ,i Les policiers. — Quoi ! Contraire à la loi ! La loi est nouvelle, nionsieui

t i i , 1 mus,, t T., n ai /r.ii'irunt ' ...... -

— 1( faut c loisir, un oomoamemoui, ou un euqjiuuo *«w «y? • ----- • , ,•//„„ m„„;/<v, i

- Accepte l'emprunt, par Mahomet ! (Fischietto, Turin.) (Postillon. Munich.)
Bildbeschreibung

Werk/Gegenstand/Objekt

Titel

Titel/Objekt
Le rire: journal humoristique
Sachbegriff/Objekttyp
Grafik

Inschrift/Wasserzeichen

Aufbewahrung/Standort

Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Universitätsbibliothek Heidelberg
Inv. Nr./Signatur
G 3555 Folio RES

Objektbeschreibung

Kommentar
Signatur

Maß-/Formatangaben

Auflage/Druckzustand

Werktitel/Werkverzeichnis

Herstellung/Entstehung

Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Mayer, Henry
Entstehungsort (GND)
Paris

Auftrag

Publikation

Fund/Ausgrabung

Provenienz

Restaurierung

Sammlung Eingang

Ausstellung

Bearbeitung/Umgestaltung

Thema/Bildinhalt

Thema/Bildinhalt (GND)
Karikatur
Satirische Zeitschrift

Literaturangabe

Rechte am Objekt

Aufnahmen/Reproduktionen

Künstler/Urheber (GND)
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Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Alle Rechte vorbehalten - Freier Zugang
Creditline
Le rire, 8.1901-1902, No. 365 (2 Novembre 1901), S. Aak
 
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