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Le rire: journal humoristique — 8.1901-1902 (Nr. 365-416)

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https://doi.org/10.11588/diglit.17503#0027
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D*ÊCHÏ5PS Les valeurs industrielles ne se relèvent guère >

même le Métropolitain est, malgré les achats con"
tinus du comptant, aux cours que nous avions
prédits.

Pourtant l'état général laisse concevoir quelque
espoir.

La réussite de l'émission des obligations des
Chemins de fer de l'Indo-Chine et du Yun-Nan a
prouvé que, selon son assertion, d'importants
capitaux restaient sans emploi... comme tant de
pauvres diables.

Une nouvelle démonstration de cette abondance
d'argent en panne, tel un Auto de la fameuse
marque Y. Z. et C", sera apportée par l'emprunt au-
quel va procéder le gouvernement, emprunt qui a
pour base — on l'a déjà annoncé ici — l'indem-
nité due par la Chine, en raison de la guerre, à 1»
France. Le Trésor va émettre du 3 0/0 perpétuel
pour produire un capital effectif de 265 millions de
francs. Il trouvera un milliard... juste le contraire
de ces tapeurs qui demandent cinq louis pour
avoir cent sous.

premie" mouvement. - . Le deuxième, mouvement. L'argent est, en dehors de ces affaires excep-

tionnelles, toujours aussi timoré. 11 a une sainte

Le gardeur de vaches qui chaque jour Passionnément attendu, cet extraordiuaiic terreur des agents qui lui ont fait danser «g
amène les dignes bètes et les ramène à volume, illustre par l'auteur, est de toutes sarabande par trop echeveléei. Il en est essoulny
Bezon ne semble aucunement dépaysé au mi- façons mieux, qu'un succès : un événement. S^6& On^to1 de°lrtXnsT&
heu de ces dames qui lui tout lete : « Bczons (1 vol. in-lS jesus de 300 p., /<. Jucen, édt- Corbeille, de retraites, de suhsliiiitions de pel"
par-ci, Bezons par là ». On n'entend plus que leur, rue Rëaumur, 3 !'r. 50 franco.) sonnes, de disparitions de commanditaires,

ces mots au foyev.de la danse.

*

* *

Nous enregistrons avec peine :
« Deux actrices américaines,
Les miss Langtry, Loupic Lowslher,
Ayant voulu croiser le fer
Ont failli se piquer les cuisses.

Oh ! oh ! C'est une pair' d'actrices !

L'abondance des matièves nous oblige à
remettre à huitaine les notes consacrées au
Gymnase, au Théâtre Antoine et au Palais-
Royal, où le spirituel Tristan Bernard vient
de triompher avec l'Affaire Mathieu.

Us Monsieur qui suit les drames.

BIBLi£55^?HIE Le troisième mouvement. Le quatrième mouvement.

Cinq ans chez les Sauvages! Place a LA BOURSE Cela n'est pas pour vous-étonner, n'est-ce pas^

Tavant-gavde de la critique française par tes _ Comme on connaît ses saints, on les honore,^

Nuits, les Ennuis et les Ames de nos plus Tiens! xicns! Est.cc à rexemple de Ma_ {^A^-ersée^des S3&J£%&***

notoires contemporains, Ernest La Jeunesse rio(te, ia si amusante dormeuse éveillée de Pierre 'dV^oire^fol et

devait au public d aller plus-loin encore. Son Vebcr ot Maurice Soulié, nous sortirions de notre ijance De £Ôrknbarr«.

Lettre de Russie

Si le Congo chez vous a toute préférence.
Est le savon français, le bon savon de France,
Nous voulons qu'en Russie il ait un sort égal.
Et nous le proclamons savon national. . . f
Dix Dames russes, au savonnier Victor Yai^^J_

PLUS^^CESCO^NGEST I ON NÉ ES

grâce à l'emploi des GRAINS DE VA^

à la dose de un ou deux le soir avant dîne »
traitement le plus efficace et le plus écono-
mique— 2 fr. 501e flacon de 50 grains,
1IV. 50 le 1 2 de 25 grains, franco de por*<
88, BddePovt-Eoyal,àParis,ettu"plw1'm '

Officiers ministériels -j.

Le cinquième mouvement. Échec et mat. (Li/v, Xow-YoA.) CRÉANCES

Xov. 1901,1 h. M. à p. pouv. Ot. baiss. 3,000 f. Cous-5U
livre, qui parait aujourd'hui chez l'éditeur torpeur? Ça serait à souhaiter. Oh! ne nous ber- S'ad. M* Bonxeau, lig. jnd. 0, r. de Savoie et ■^JL-r^
Juven, juge parfois sans charité, mais tou- çons pas — crainte d'une reprise de sommeil— ../vnrin jvrdix II i^r» tltTI'l IV vî~?"
jours avec une originalité sincère, brillante d'illusions! Le marché est toujours malade. Si ||() | maison II tit liA 11 K Lli» '"• e','V','î
et amusante, les écrivains les moins contes- l'on constate quelques symptômes d'amélioration, m. à. p. 430,000 f. A adj. s. 1 enca. ch. not. Pari*,
tés, les questions les plus irritantes, et tout, on est persuadé d'une lente convalescence. Dec. 1001. S'ad. M" Fontana, not. 10, rue R°J

.-<*Ç£g*»— .....

LE MUSICIEN ALLEMAND ET LE LION : UN TUAIT DB PIlÉSENCE d'eSPKIT
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Titel/Objekt
Le rire: journal humoristique
Sachbegriff/Objekttyp
Grafik

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Aufbewahrungsort/Standort (GND)
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Inv. Nr./Signatur
G 3555 Folio RES

Objektbeschreibung

Maß-/Formatangaben

Auflage/Druckzustand

Werktitel/Werkverzeichnis

Herstellung/Entstehung

Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Mayer, Henry
Entstehungsort (GND)
Paris

Auftrag

Publikation

Fund/Ausgrabung

Provenienz

Restaurierung

Sammlung Eingang

Ausstellung

Bearbeitung/Umgestaltung

Thema/Bildinhalt

Thema/Bildinhalt (GND)
Karikatur
Satirische Zeitschrift

Literaturangabe

Rechte am Objekt

Aufnahmen/Reproduktionen

Künstler/Urheber (GND)
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Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Alle Rechte vorbehalten - Freier Zugang
Creditline
Le rire, 8.1901-1902, No. 366 (9 Novembre 1901), S. Aba
 
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