.'abbé combes. — Voilà, parbleu, de la belle
de la vraie musique françaisei... qui
repose de vos épouvantables cantiques el de votre
Wagner!
le compère loubet. — Pardon, l'abbé, Wa-
gner ne m'enthousiasme pas. Si je prie Mme Lou-
bet de m'en jouer un peu tous les soirs, croyez
bien que ce n'est pas pour m'endormir, niais
pour m'y habituer, lorsque j'irai à Berlin, sur
l'invitation de cet excellent Guillaume.
'abbé combes. — Machin me pardonne! ce
le BOunsiEB a la mer „'est pas encore fait.
Alfred, je crois que la mer baisse:
C'est le moment d'acheter... Dessin de l. Burxet. le compère loubet. z— Hé.!.
hé! Nicolas m'a pressenti l'au-
tre jour à Pétersbourg.
l'abbé combes. — Vraiment?
le compère loubet. — Il m'a
même fait essayer un uniforme
Par suite d'un siislème de a f . . ., .
*' Tr de cuirassier blanc. .1 étais
LAÏCISONS
projections panoramiques spé
cia/,ia scène représente le (té-
cor dont on a besoin au mo-
ment où le com.père parle.
épatant, mon cher : ce blanc,
avec cet or et les parements
rouges, et les décorations ver-
tes, bleues... Ah! si ce pauvre
Actuellement, elle représente —-p 1 ~T TLf"^--^ 1 FélixFaure m'avaitvu... Voyez-
un salon du Palais de :VÉlySéè. ^^m^^ I vous, l'abbé, j'étais fait pour
Le compère Loubet se pré- -Tl^^fc-^^B—L conduire dos années... comme
pare à partir en phaèton; en — I André. Lui au moins, sa
attendant, il s'exerce à saluer, (j /tât<*1/*^Z&, ^^^v^ beauté plaît aux femmes. (//
dans la glace, èi l'aide du çha- ^---^ i \^ fait un 9este de d(icoura'.le-
peau de paille que le protocole ^^^^ A vJif^!^^ , ment.) Et puis, comment vou-
Va autorisé à porter. —y-^^^/^^V^S lez-vous que j'aie l'air sérieux'.'
Près de lui, l'abbé Combes, ^^SÉÉÏÉ V OP^fS 5\ Vous 1110 faites signer un las
radieux, achève de dévorer ^^jKr^) 1 ^-AMU / vf/nT S W Ac ulasl,es ;i propos des con-
une nonnette... en pain d'épice. / wK^Ê^ ^BÊK^ÊKK^oC^P^k J |\ grégations.
Dans la coulisse, on entend
en sourdine le chœur de l'A-
paisement, i jj^ B^^fl /''^Wiw-'Kl [a Calotte
Boum Boum !
chœur de l'apaisement S—1—Rt^^N^JK La Cn\olte !
La Calotte! k ■> Boom'Boum!
Boum Boum jS WÊËÎL—S^êL mÊL
La Calotte ! . . , [.'abbé combes. — Compère,
DERNIER!! PENSEE DTO POIVROT TOMBE DANS ITN PUITS 1
Boum Boum ! ' — Mourir de soif, quelle épouvantable fin ! .. Dessin de Dl-'aucit, écoutez la voix du peuple.
chœur de l apaisement
de la vraie musique françaisei... qui
repose de vos épouvantables cantiques el de votre
Wagner!
le compère loubet. — Pardon, l'abbé, Wa-
gner ne m'enthousiasme pas. Si je prie Mme Lou-
bet de m'en jouer un peu tous les soirs, croyez
bien que ce n'est pas pour m'endormir, niais
pour m'y habituer, lorsque j'irai à Berlin, sur
l'invitation de cet excellent Guillaume.
'abbé combes. — Machin me pardonne! ce
le BOunsiEB a la mer „'est pas encore fait.
Alfred, je crois que la mer baisse:
C'est le moment d'acheter... Dessin de l. Burxet. le compère loubet. z— Hé.!.
hé! Nicolas m'a pressenti l'au-
tre jour à Pétersbourg.
l'abbé combes. — Vraiment?
le compère loubet. — Il m'a
même fait essayer un uniforme
Par suite d'un siislème de a f . . ., .
*' Tr de cuirassier blanc. .1 étais
LAÏCISONS
projections panoramiques spé
cia/,ia scène représente le (té-
cor dont on a besoin au mo-
ment où le com.père parle.
épatant, mon cher : ce blanc,
avec cet or et les parements
rouges, et les décorations ver-
tes, bleues... Ah! si ce pauvre
Actuellement, elle représente —-p 1 ~T TLf"^--^ 1 FélixFaure m'avaitvu... Voyez-
un salon du Palais de :VÉlySéè. ^^m^^ I vous, l'abbé, j'étais fait pour
Le compère Loubet se pré- -Tl^^fc-^^B—L conduire dos années... comme
pare à partir en phaèton; en — I André. Lui au moins, sa
attendant, il s'exerce à saluer, (j /tât<*1/*^Z&, ^^^v^ beauté plaît aux femmes. (//
dans la glace, èi l'aide du çha- ^---^ i \^ fait un 9este de d(icoura'.le-
peau de paille que le protocole ^^^^ A vJif^!^^ , ment.) Et puis, comment vou-
Va autorisé à porter. —y-^^^/^^V^S lez-vous que j'aie l'air sérieux'.'
Près de lui, l'abbé Combes, ^^SÉÉÏÉ V OP^fS 5\ Vous 1110 faites signer un las
radieux, achève de dévorer ^^jKr^) 1 ^-AMU / vf/nT S W Ac ulasl,es ;i propos des con-
une nonnette... en pain d'épice. / wK^Ê^ ^BÊK^ÊKK^oC^P^k J |\ grégations.
Dans la coulisse, on entend
en sourdine le chœur de l'A-
paisement, i jj^ B^^fl /''^Wiw-'Kl [a Calotte
Boum Boum !
chœur de l'apaisement S—1—Rt^^N^JK La Cn\olte !
La Calotte! k ■> Boom'Boum!
Boum Boum jS WÊËÎL—S^êL mÊL
La Calotte ! . . , [.'abbé combes. — Compère,
DERNIER!! PENSEE DTO POIVROT TOMBE DANS ITN PUITS 1
Boum Boum ! ' — Mourir de soif, quelle épouvantable fin ! .. Dessin de Dl-'aucit, écoutez la voix du peuple.
chœur de l apaisement