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Le rire: journal humoristique — 8.1901-1902 (Nr. 365-416)

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https://doi.org/10.11588/diglit.17503#0874
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mort; et l'on annonce que l'enquête suit peu tiré sur cette corde-là. Il serait temps Je vous parlerais bien encore de : Y a

son cours. de changer. des surprises, la revue de MM.Lafargue et

Franchement, on ne se moque pas plus Est-ce qu'on ne pourrait pas penser un Mougel, que Parisiana vient de monter avec

cyniquement du mort et des vivants. Je de- pouauxautres départements? Quelles jolies un grand luxe et beaucoup de goût, mais

mande qu'on fasse l'autopsie des médecins. choses on pourrait faire sous des titres dans le jugement d'E. Peiiel sur E. P. Lafargue

des experts et du juge d'instruction, pour ce genre : Les Chansons de Seine-et-Oise, serait trop suspect de partialité,

savoir ce que ces gaillards-là ont dans le la Muse de la Moselle, Romances des p Pehel

ventre. Deux-Sèvres, Lieds des Bouehes-du-Rhône,__ _™™™

* * * etc-> etc-! Les Five o'clock : Il est indispensable

Les « républicains de Pontoise « ont of- Seulement, voilà! Tous les départements aujourd'hui de présenter sur les tables du

fert un banquet de quatre cents couverts à n'ont pas leur Botrcl. C'est ça qui les vexe! goûter avec les verres de liqueurs, une de-

M. Roger-Ballu pour fêter sa deuxième * mi-bouteille d'oxygénée Cuscnier, la mode

élection. Quand ns en auront fini, de leurs re- d'accord cette fois avec l'hygiène permet-

En France, tout finit par réchanson. prises, les directeurs de théâtre, ils le tant aux dames ainsi qu aux messieurs, un

Mni« h;™.* ™,i= l'imiic m Rmwr Riiin &• v xt > • i • verre de la suave et célèbre absinthe,

iviais, titrez-vous, jamais m. Koger-tsallu diront. Vous croyez que c est gai de revoir___

ne pourra absorber tout cal yAge ingrat avec ses petites mondanités, EDELWEISS de la TZARINE

Ne vous y trompez, mes chers amis, ou Petite Amie, amputée d'un acte, ou la Nouveau parfum mondain créé par Victor

ce nest pas pour lui seul; .1 ava. trois Maison du Baigneur'! Parlez-mo.de l'O- Va{é5ier. Sifvon essence udlFe de ri

cent quatre-vingt-dix-neuf républicains déon et du Français. A l'Odéon, c'est Arle- lotion, etc., etc.

pour lui tenir compagnie en cette mastica- quin-roi, de M. Auguste Lothar, un Vien- Vente : Grands Magasinsde la Ménagère,

toire besogne. Car, ce qu'il y a d'admirable nois qui est venu de Vienne pour faire Paris.

dans ces banquets, c'est qu'au fond, ce sont oublier Ibsen et les Danois. Arlequin-roi, ~---i—j—K--:--

les organisateurs qui se traitent eux- c'est très bien ; c'est une pièce qui vise au EB ce mois de rentrée, où il n'est plus

mêmes et se payent une partie fine sous drame shakespearien, qui ne l'atteint pas, Suèrc permis de songer à s'en aller au loin

prétexte de louanger un des leurs. Quant à mais qui a tout de même sa grandeur. Elle lalrc «»« s:usof|.le moment est venu de

l'hommage rendu au héros de la fête, il nous montre le pitre multicolore se substi- 5$Ëe? a" l#Kf 9U Û a> c" TOtf W
i a ; -, i. F , , „ . moyen tout indique de îouir des bienfaits
perd de son importance en raison de 1 aug- tuant, grâce à une ressemblance parfaite, dès Eaux de Vichy: Célestins, Grande-
mentation du nombre des convives. à l'héritier d'un trône, et se faisant l'exéçu- Qftjjfè ou Hôpital, en consommant à domi-
Ainsi, il est évident que, dans cette noble teur des desseins d'en haut et l'arbitre des cile ou au restaurant les bouteilles que la
assemblée de Pontoise, M. Roger Bàljù destinées d'un peuple. Dans ce rôle de roi Compagnie Fermière expédie dans le monde
n'était qu'un quatre-centième de person- Arlequin n'est pas plus mauvais que les entier. Encore faut-il s'assurer de l'origine
nage. C'est peu, pour un député. professionnels, ce qui prouve... Mais, non, de ces précieuses bouteilles; et c'est pour-
La vraie méthode serait de mettre à part cela ne prouve rien, car il no faut pas con- quoi H est indispensable de vérifier sur châ-
le monsieur qu'on veutaduler et de le faire ibudre Arlequin avec Polichinelle. cune d'elles la présence du disquebleu que

mînM.'w^ » <■„ i » j„ i • - tout le monde connaît, et qui est la marque

manger tout seul, au milieu de ses admira- » - * , , ' .. .' . 1

, • . certaine de leur authenticité,

leurs qui se borneraient a le regarder. Pour ce qui concerne Gertrude, a la Co-___________

Il y aurait alors du désintéressement do môdic-Française, c'est une bonne brave |%EMTIFBIflEC''>DflTATf*/*'7/"

la part de ceux-ci, et l'on éviterait la « cha- fi lie qui a eu quelque faiblësse poui son UCN I Irlf lllCv0DU I UI ENVENTEPARibur

leur communicative des banquets ». maître, un monsieur très respectable. Uu " " ~™ ™

autre monsieur très ,, spectable, qui es, ALCOOL g£ SAAI f C"î"î,/rA/WF

Le chanteur riiéodore Botrel est parti en dans la magistrature, si je ne me trompe, Menthe <Ji ■ ■ IV^j wm AnsutSuocèu.

Bretagne. S'il pouvait y rester ! en prend prétexte pour troubler les projets

Ce barde à culottes bouffantes va chanter de mariage de deux jeunes gens qui s'ado-

chez les chouans les chansons qui font se rent et qui ne sont pour rien dans l'affaire,
pâmer les Parisiens sur le mot d'ordre Et voilà! Co n'est pas très transcendant,
venu des chapelles d'admiration mutuelle. mais la pièce, bien écrite et bien jouée,
C'est très gentil, évidemment, la Bre- suffit encore à son public. C'est tout co
tagne et la couleur locale, mais on a un qu'on lui demande, n'est-ce pas ?

{'ACTION fcf

M OCE

REVUE DE FIN D ANNEE
Le COMPÈRE. — Et vous, ma belle enfant, que faisiez-
vous?

La BEi.i.E enfant. — Je faisais le boulevard extérieur.
Le compère, finement. — Oh ! oh I ce n'est pas une
impératrice I

La belle enfant. — Tu parles!. . je Buis l'inforlunée
tp merr>ttr« r,p v rn\iRr.-« ligne de tramways abandonnée pour le nouveau métro-

LE DISCOURS DE M. COMBES politain place d'Anvors-litoile.

— Cette chaleur communicative des banquets, cause oermanente de chichi avec les grandes ouissances, ma r>„a-.-„~ An J1 ... ,, Q„™*y>

présence ici sufût à la supprimer. UeSSinS ae tiemy QOmm.
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Titel/Objekt
Le rire: journal humoristique
Sachbegriff/Objekttyp
Grafik

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Aufbewahrungsort/Standort (GND)
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Inv. Nr./Signatur
G 3555 Folio RES

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Maß-/Formatangaben

Auflage/Druckzustand

Werktitel/Werkverzeichnis

Herstellung/Entstehung

Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Sommier, François Clément
Entstehungsort (GND)
Paris

Auftrag

Publikation

Fund/Ausgrabung

Provenienz

Restaurierung

Sammlung Eingang

Ausstellung

Bearbeitung/Umgestaltung

Thema/Bildinhalt

Thema/Bildinhalt (GND)
Karikatur
Satirische Zeitschrift

Literaturangabe

Rechte am Objekt

Aufnahmen/Reproduktionen

Künstler/Urheber (GND)
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Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Alle Rechte vorbehalten - Freier Zugang
Creditline
Le rire, 8.1901-1902, No. 415 (18 Octobre 1902), S. Bhp
 
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