MOEURS PARLEMENTAIRES
Messieurset chers collègues, jesuis
mets aujourd’hui d’interpeller le gouver-
îl aura l’obligeance de s’adresser à « l’a-
Le coup de poing est à la mode.
A la ville et à la Chambre, on en use sans ver-
gogne. Un individu se permet de n’être pas de
l’avis de notre groupe socialiste progressif modéré :
forcé de prendre ces précautions oratoires, car je me per-
nement. Si l’honorable Monsieur Selle désire me répondre
mateur ». Dessin de Grandjouan.
v’ian, d’un coup de pouce faites-lui sauter un œii.
Il crié1: « Vive i'anar. . Sortez lui la cervelle à
coups de talons de hottes. Le gnon lait la force. Sans
matraque, point de gouvernement. Les partis
avancés ;?) tiennent en ce moment le record de la
brutalité et les socialistes à tous crins parlent à
tout moment de flanquer une peignée <ô ironie)
aux glabres modérés.
LK VRAI BOUILLEUR DE CRU A LA CHAMBRE
Messieurset chers collègues, jesuis
mets aujourd’hui d’interpeller le gouver-
îl aura l’obligeance de s’adresser à « l’a-
Le coup de poing est à la mode.
A la ville et à la Chambre, on en use sans ver-
gogne. Un individu se permet de n’être pas de
l’avis de notre groupe socialiste progressif modéré :
forcé de prendre ces précautions oratoires, car je me per-
nement. Si l’honorable Monsieur Selle désire me répondre
mateur ». Dessin de Grandjouan.
v’ian, d’un coup de pouce faites-lui sauter un œii.
Il crié1: « Vive i'anar. . Sortez lui la cervelle à
coups de talons de hottes. Le gnon lait la force. Sans
matraque, point de gouvernement. Les partis
avancés ;?) tiennent en ce moment le record de la
brutalité et les socialistes à tous crins parlent à
tout moment de flanquer une peignée <ô ironie)
aux glabres modérés.
LK VRAI BOUILLEUR DE CRU A LA CHAMBRE