LE RIRE A L’ÉTRANGER
LES JOIES DE LA PATERNITE
L’oncle Sam. — Encore un enfant à nourrir!
{Life, New-York.)
TROP DE BONHEUR
— Que va-t-on dire de moi? Deux affaires sur les bras, vraiment, c’est beaucoup trop!
(.Fischietto, Madrid.)
LES JOYEUX DIMANCHES A GRENOUILLEVILLE La France. — Allons, tenez-vous un peu mieux,
(Life, New-York.) car sans cela mon fiancé-va me battre.
(Dër- Vahre-Jacob, Stuttgart.)
LES JOIES DE LA PATERNITE
L’oncle Sam. — Encore un enfant à nourrir!
{Life, New-York.)
TROP DE BONHEUR
— Que va-t-on dire de moi? Deux affaires sur les bras, vraiment, c’est beaucoup trop!
(.Fischietto, Madrid.)
LES JOYEUX DIMANCHES A GRENOUILLEVILLE La France. — Allons, tenez-vous un peu mieux,
(Life, New-York.) car sans cela mon fiancé-va me battre.
(Dër- Vahre-Jacob, Stuttgart.)