NOTRE CONCOURS
des AMOUREUX DE MARIANNE
BAIL A CONDITION
Avec le portrait de M. Combes finit notre concours
des Amoureux de Marianne.
Rappelons-le en deux mots :
Il s’agit pour nos lecteurs de dire, parmi les sept
candidats dont le Rire a publié le visage par Léandrc,
celui qui obtiendra le moins de voix et combien il en
aura.
LES PRIX
Le lecteur qui s’approchera le plus du chiffre exact
recevra, comme prix, tout encadré, l’original de son
blackboulé par Léandre.
Au cas où plusieurs candidats auraient donné les
mêmes chiffres, il sera procédé à un tirage au sort.
Les vingt suivants recevront, tirés à part, en grandes
marges, la collection complète des portraits de cette
série.
d'
AVIS IMPORTANT
Pour prendre part à ce concours, nos lecteurs de-
vront nous envoyer en une fois sous enveloppe, portant
le timbre de la poste du i5 janvier au plus tard, leurs
solutions accompagnées de la série des sept bons qui
ont été publiés au fur et à mesure dans chaque numéro
à la page i3, série commencée avec le portrait de M. Berteaux et
terminée avec celui de M. Combes.
Les enveloppes devront être adressées avec cette mention :
Concours du « Rire ».
Risyues I.OCAT1FS
— C’est pas tout ça, Jules... Maintenant que monsieur et madame
dans la maison, le concierge te prie de régulariser notre situation.
— C’est la chambre du cintième, au fond du collidor?
— Faitement; mais des fois que j’srais nommé Président de la Répu*
blique dans l’courant du mois, y a rien d’fait!...
UNE ASSIGNATION
i
Ayant eu des difficultés d’ordre pécuniaire
avec le couturier d’une mienne amie, de la sol-
vabilité de qui je m’étais porté garant, je re-
çus, certain matin, un papier bleu portant en
caractères quasiment illisibles l’invitation sui-
vante :
« L'an 1906, le 8 janvier, en vertu d’une or-
« donnance rendue par M. le président du tri-
« bunal civil de la Seine, le 21 décembre 1905,
« enregistrée, mise au bas d’une requête à lui
« présentée le même jour, desquelles requête
« et ordonnance copie est donnée en tête des-
« présentes ;
« Et à la requête de M. Lebon-Fezeur, cou-
« lurier, demeurant actuellement à Paris, 132,
« rue de la Paix;
« Pour lequel domicile est élu à Paris, rue
« Brisemiche, en l’étude de Me Dessoy, avoué
« près le tribunal civil de la Seine, qui se
O constitue et occuperapour lui sur la présente
« assignation ;
h J’ai, Désiré Tabouche, huissier au tribunal'
<i civil de la Seine, demeurant à Paris, rue
« Vide-Gousset, soussigné, commis à cet effet,
■I donné assignation à M. Lamy d’Edame, de-
« meurant même ville, 6, rue Gracieuse, à son.
« domicile où étant et parlant à une femme à.
« son service ainsi déclaré ;
« A comparaître d’hui à trois jours francs,
.h délai de l’ordonnance susdatée, à l’audience
h et par-devant MM. les président et juges
Loubet vont demeurer
Dessins d’Albert Guillaume.
des AMOUREUX DE MARIANNE
BAIL A CONDITION
Avec le portrait de M. Combes finit notre concours
des Amoureux de Marianne.
Rappelons-le en deux mots :
Il s’agit pour nos lecteurs de dire, parmi les sept
candidats dont le Rire a publié le visage par Léandrc,
celui qui obtiendra le moins de voix et combien il en
aura.
LES PRIX
Le lecteur qui s’approchera le plus du chiffre exact
recevra, comme prix, tout encadré, l’original de son
blackboulé par Léandre.
Au cas où plusieurs candidats auraient donné les
mêmes chiffres, il sera procédé à un tirage au sort.
Les vingt suivants recevront, tirés à part, en grandes
marges, la collection complète des portraits de cette
série.
d'
AVIS IMPORTANT
Pour prendre part à ce concours, nos lecteurs de-
vront nous envoyer en une fois sous enveloppe, portant
le timbre de la poste du i5 janvier au plus tard, leurs
solutions accompagnées de la série des sept bons qui
ont été publiés au fur et à mesure dans chaque numéro
à la page i3, série commencée avec le portrait de M. Berteaux et
terminée avec celui de M. Combes.
Les enveloppes devront être adressées avec cette mention :
Concours du « Rire ».
Risyues I.OCAT1FS
— C’est pas tout ça, Jules... Maintenant que monsieur et madame
dans la maison, le concierge te prie de régulariser notre situation.
— C’est la chambre du cintième, au fond du collidor?
— Faitement; mais des fois que j’srais nommé Président de la Répu*
blique dans l’courant du mois, y a rien d’fait!...
UNE ASSIGNATION
i
Ayant eu des difficultés d’ordre pécuniaire
avec le couturier d’une mienne amie, de la sol-
vabilité de qui je m’étais porté garant, je re-
çus, certain matin, un papier bleu portant en
caractères quasiment illisibles l’invitation sui-
vante :
« L'an 1906, le 8 janvier, en vertu d’une or-
« donnance rendue par M. le président du tri-
« bunal civil de la Seine, le 21 décembre 1905,
« enregistrée, mise au bas d’une requête à lui
« présentée le même jour, desquelles requête
« et ordonnance copie est donnée en tête des-
« présentes ;
« Et à la requête de M. Lebon-Fezeur, cou-
« lurier, demeurant actuellement à Paris, 132,
« rue de la Paix;
« Pour lequel domicile est élu à Paris, rue
« Brisemiche, en l’étude de Me Dessoy, avoué
« près le tribunal civil de la Seine, qui se
O constitue et occuperapour lui sur la présente
« assignation ;
h J’ai, Désiré Tabouche, huissier au tribunal'
<i civil de la Seine, demeurant à Paris, rue
« Vide-Gousset, soussigné, commis à cet effet,
■I donné assignation à M. Lamy d’Edame, de-
« meurant même ville, 6, rue Gracieuse, à son.
« domicile où étant et parlant à une femme à.
« son service ainsi déclaré ;
« A comparaître d’hui à trois jours francs,
.h délai de l’ordonnance susdatée, à l’audience
h et par-devant MM. les président et juges
Loubet vont demeurer
Dessins d’Albert Guillaume.