Le MOYEN de GRANDIR
Découverte surprenante
appelée à révolutionner l’état
physique du genre humain.
POURQUOI RESTER PETIT,
RABOUGRI, ALORS QU’IL VOUS EST
LOISIBLE D’APPRENDRE,
POUR RIEN, LE MOYEN DE GRANDIR?
Si petit que vous soyez,
et quel que soit voire âge, vous pouvez
très bien augmenter votre taille.
rv
Il n’est pas de découverte récente qui ait davantage
attiré l'attention du monde scientifique que celle faite
par M. K. Lco Minges, de Brigiiton, N. Y. Monsieur
Minges est aux hommes et aux femmes de petite taille
ce qu’est le grand magicien Edison pour l’électricité.
Il a recueilli plus d informations concernantles os, les
muscles et les nerfs, que toute autre personne. Faire
grandir les gens est, depuis nombre d'années, une
véritable passion chez M. Minges, aussi, les résul-
tats qu'il a obtenus sont-ils des plus étonnants.
Grâce à sa méthode, tout homme et. toute femme
n'ayant pas dépassé la cinquantaine peuvent aug-
menter leur taille de deux à cinq pouces; toute per-
sonne âgée de plus de 5o ans. peut encore l'augmenter
dune façon perceptible. Sa méthode a reçu l’appro-
bation de médecins éminents, et, diverses maisom
d'éducation des plus renommées l’ont adoptée pont
le développement physique de leurs élèves. Pour peu
que vous désiriez augmenter votre taille, halez-vous
de lire l’ouvrage qui raconte comment fut faite cette
découverte remarquable et vous révèle le moyen de
grandir. Il est distribué gratuitement. Nous ne vous
demanderons pas un sou. et, si vous le désirez, nous
vous enverrons les attestations de centaines de per-
sonnes qui ont grandi de deux à cinq pouces en
suivant cette méthode. Les résultats s’obtiennent très
rapidemment. Beaucoup ont augmenté leur taille
jusqu'à trois pouces en deux mois. Nul inconvénient,
ni drogues, ni médecine; point d’opération ; simple-
ment l’application d'un principe scientifique d’une
façon parfaitement hygiénique et inoffensive. Vos
amis, même les plus intimes, peuvent ignorer com-
plètement ce que vous faites. Toute correspondance
est envoyée sous enveloppe libre de tout signe exté-
rieur. Le livre ; « Le Moyen de Grandir » contient
des illustrations qui ne manqueront pas de vous in-
téresser et de vous instruire. Un millier d’exemplaires
de cet ouvrage vont être distribués franco et à titre
absolument gracieux jusqu’à épuisement de l’édition
actuelle. Si vous désirez grandir, écrivez-nous en
toute confiance, dès aujourd’hui, pour nous deman-
der un exemplaire gratuit. Adresse : The Cartilage G0..
Dép't. i5r. B., Aveiuie^cl_e_ 1 _
LA CONSTIPATION ET LES CONGESTIONS
qui en résultent sont rapidement guéries
sans retour par les GRAINS DE VA LS
à la do«e de 1 ou 2 le soir avant dîner.
2f.501efl.de50-l f. 50 le 1/2 fl.de25-tte*phio
a
fi
ilfed’
7ùsr\
là
M
m
LES INCARNATIONS DE ROOSEVELT
(Lire.)
Les Confessions
d’une Princesse
<=§■»
On se souvient de la princesse Louise de Saxe
et de sa fuite avec le précepteur de ses enfants.
Aujourd’hui parait en français sous le titre ci-
dessus, un livre fort curieux, dans lequel se
trouvent décrites la vie et les moeurs des souve-
rains à la cour de Saxe et dans les petites cours
allemomdes, ainsi que les aventures amoureuses
de la Princesse. Le récit est des plus curieux
et parfois même des plus vijs, ainsi que nos lec-
teurs pourront en juger par l'extrait suivant \
Tutzembach, 12 mai.
Que de choses intéressantes j’ai apprises ici! La
grande-duchesse Alexandrine est une très belle
blonde. Des yeux bleus assez peti's, une bouche
fine un peu dédaigneuse, une admirable chevelure
d’or et une carnation de rose. Son mari, un gail-
lard râblé, carré des épaules, avec une nuque de
taureau et un air vaguement féroce.
Alexandrine m’a ouvert son cœur. C’est son
père qui l’a forcée à épouser le grand-duc Bernard,
et elle est profondément malheureuse. La lune de
miel n’a duré que quelques semaines, tôt suivie
par un divorce moral absolu. Cependant, au bout
de quelques années, la jeune fille inexpérimentée,
devenue femme, prit sa revanche. Son mari eut.
presque immédiatement vent de son sort, et, dès
lors, se reprit pour elle d’une passion pervers-'-,
ignoble. Une chose terrible arriva. Le grand-duc
força la serrure du bureau de sa femme et y
trouva une volumineuse correspondance, qui était
la preuve flagrante de son déshonneur. Il s’enferma
dans sa chambre pour la lire, cependant que la
grande-duchesse se mourait de peur et songeait au
suicide. Quand le grand-duc reparut, ce fut une
scène tout autre que celle à quoi elle s’attendait.
Il se jeta sur elle comme un fauve et 1a, posséda,
après quoi, il la contraignit de lui conter jusqu’au
moindre détail de sa liaison adultère avec l’autre,
le tout à grand reniort de gifles, d’injures et de
coups de pied. Puis il la reprit pour s’assouvir à
nouveau.
A partir de ce moment, il la visita chaque nuit,
et chaque nuit aussi il lui arrachait de nouveaux
détails sur ses rapports avec l’autre, puis il la
violait, goûtant avec une volupté étrange, eût-on
dit, à humer l’odeur de ses péchés. Du reste, il ne
fit pas la moindre tentative pour enrayer ses dé-
bordements; il semblait, au contraire, qu'il la vît
avec plaisir contracter de nouveaux liens où sa
manie bestiale pût trouver sou compte. De sorte
que
grande-duchesse a fini par s’affranchir de
tout remords. Elle se donne à présent à tous les
hommes qui lui plaisent, les ignobles étreintes de
son mari lui garantissant, à chaque coup, l’impu-
nité.
Nous avons discuté le cas avec Ferdinand. Pour
mon compte, de telles choses me paraissent incon-
cevables et me font frémir d’horreur. Mais Ferdi-
nand n’a manifesté aucune surprise et m’a expliqué
que le grand-duc, selon lui, était atteint de dégéné-
PARFUMERIE
AZUREA
L.T. P i VG R - Paris
Ol’lieicrs ministériels
32,
et Pas s.
\MpA:SrR.I>OLOIVCEAl]’oUh,s,„e.26,et
Mon à Montreuil-s.-Bois, r. Raspail, 23. Rev. 3.640,
3.480,1.030 f. M. àp. 35.000,20.000,9.000L Cr.Fonc. Adj.
eh. not. Paris, 13mars. Me Prud’homme, not.,6, r.Gaillon.
VILLA La Tour
de Malakoff à
Angle des aven. Montaigne, Racine, etc., près champ
de Courses. Cce 7.532 m. M. à p. 70.000 fr. Faculté
conser. le mobilier. A adj. s. i ench. ch. not. Paris,20
mars 1906. S’ad. M8 Fauchey, not., 3, r. du Louvre, Paris.
MA1S0\S-L\il ll IK
Il * 1QA1V à Paris, Villa Armand, 1 (XVIIIe arr‘)
llll\ JoUll (r.Championnet,217W,v).Cce278'n50.R.b.
6.U 0. M. à p. 60.000 f. Cr. fonc. Adj. s. 1 ench. ch. not.
6 mars. S’ad. M* Josset, not., 66, r. Pu-Champs.
St «i aürice (Seii e). Mais8”routeS'-Mande, 56<rr. Rev.
”ill net3.800f. M. àp. 50.000f. Adj. ch. not. Paris, 20
mars. Me Prud’homme, not., 6, r. Gaillon.
rescence sexuelle, autrement dit de sadisme :«La
perversion du sens génital, m’a dit Ferdinand, est
une maladie assez commune dans les sphères prin-
cières; nous le savons mieux que personne, nous
autres médecins. » Et, là-dessus, il m’a raconté les
exploits honteux du marquis de Sade. J’ai commis
l’imprudence de répéter ces paroles à Alexandrine,
dès le lendemain. Elle m’a demandé aussitôt qui
pouvait m’avoir si promptement renseignée, de
sorte que je me suis vue, bien malgré moi, forcée
de lui confesser mon histoire avec Rodl. Elle ne
me trahira sûrement pas. Elle s’est extasiée d'ail-
leurs sur la haute intelligence de Rodl pour qui
les choses les plus obscures et les plus inexpli-
cables ne sont qu’un jeu d’enfant. Il est certain que,
sans lui, cette étrange et révoltante histoire m’eût
plongée dans la plus sotte perplexité.
Ce qu’il y a de plus ignoble, c’est que Bernard
prétend ne pas respecter sa femme, même à pré-
sent, qu’elle en est au début de ses relevailles et
que, manifestement, le plaisir qu'il cherche aupiès
d’elle ne l’alimenterait que de ses souffrances.
Aussi s’arrange-t-elle de façon à ne pas rester en
tête à tête avec lui un seul instant.
Rodl et moi nous vivons ici des jours merveil-
leux. Nos appartements au château sont disposés
de telle façon qu’il peut venir me trouver tous les
soirs et ne me quitter qu’au matin.
Et rien ne peut transpirer, car, même s’il était
aperçu, on supposerait qu’il se glisse chez la Tris-
burg, dont l’inaltérable dévouement est toujours
prêt à tout prendre à son compte. Elle a fait ins-
taller un paravent dans sa chambre pour que Rodl
puisse la traverser librement, et nous vivons ainsi
comme un couple légitime, nous efforçant de nous
persuader chaque soir que nous sommes réelle-
ment mariés. Quelquefois, par plaisanterie, il m’ap-
pelle : « Frau projessor ».
(Extrait des Confessions d'une Princesse, 1 vol.,
3 fr. 50 franco.) Sociétés d’édition, 122, rue Réau-
mur, Paris.
Conseil du docteur.
Prenant pour sa toilette
Le Congo si vanté,
C’est jeunesse et beauté,
Madame, qu’on achète.
Docteur J., à Victor Vaissier, Paris.
Sublime i,Botot
Souverain cont.chute des cheveux,
pellicules Provoque les ondulations.
Se vend d* toutes bonnes Maisons.
LA BOURSE ~~
La Bourse, malgré tous les cancans, continue
à voir de plus en plus rose du côté d’Algésiras.
Il s’ensuit une tendance générale de fermeté,
chaque jour plus accusée et, si le plus grand
nombre d’acheteurs font encore preuve d’une pru-
dence qui rappelle celle du serpent, il en est qui,
ne résistant plus au désir de faire produire quelque
chose à leurs capitaux, commencent à sortir de
leur inertie. Au surplus, — signe caractéristique
_ ceux qui ont des titres ne s’en démunissent
pas. C’est, en somme, la note optimiste qui do-
mine et je ne crois pas me tromper en vous pré-
disant, une fois de plus, l’un des plus jolis mou-
vements de hausse qui se soient produits, dès que
nos capitalistes, définitivement rassurés, se déci-
deront à employer carrément leurs disponibilités.
De Lorenbarre.
• CuûMPAGHi
& FttÜL
Champagne
tous
Laos;
Découverte surprenante
appelée à révolutionner l’état
physique du genre humain.
POURQUOI RESTER PETIT,
RABOUGRI, ALORS QU’IL VOUS EST
LOISIBLE D’APPRENDRE,
POUR RIEN, LE MOYEN DE GRANDIR?
Si petit que vous soyez,
et quel que soit voire âge, vous pouvez
très bien augmenter votre taille.
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Il n’est pas de découverte récente qui ait davantage
attiré l'attention du monde scientifique que celle faite
par M. K. Lco Minges, de Brigiiton, N. Y. Monsieur
Minges est aux hommes et aux femmes de petite taille
ce qu’est le grand magicien Edison pour l’électricité.
Il a recueilli plus d informations concernantles os, les
muscles et les nerfs, que toute autre personne. Faire
grandir les gens est, depuis nombre d'années, une
véritable passion chez M. Minges, aussi, les résul-
tats qu'il a obtenus sont-ils des plus étonnants.
Grâce à sa méthode, tout homme et. toute femme
n'ayant pas dépassé la cinquantaine peuvent aug-
menter leur taille de deux à cinq pouces; toute per-
sonne âgée de plus de 5o ans. peut encore l'augmenter
dune façon perceptible. Sa méthode a reçu l’appro-
bation de médecins éminents, et, diverses maisom
d'éducation des plus renommées l’ont adoptée pont
le développement physique de leurs élèves. Pour peu
que vous désiriez augmenter votre taille, halez-vous
de lire l’ouvrage qui raconte comment fut faite cette
découverte remarquable et vous révèle le moyen de
grandir. Il est distribué gratuitement. Nous ne vous
demanderons pas un sou. et, si vous le désirez, nous
vous enverrons les attestations de centaines de per-
sonnes qui ont grandi de deux à cinq pouces en
suivant cette méthode. Les résultats s’obtiennent très
rapidemment. Beaucoup ont augmenté leur taille
jusqu'à trois pouces en deux mois. Nul inconvénient,
ni drogues, ni médecine; point d’opération ; simple-
ment l’application d'un principe scientifique d’une
façon parfaitement hygiénique et inoffensive. Vos
amis, même les plus intimes, peuvent ignorer com-
plètement ce que vous faites. Toute correspondance
est envoyée sous enveloppe libre de tout signe exté-
rieur. Le livre ; « Le Moyen de Grandir » contient
des illustrations qui ne manqueront pas de vous in-
téresser et de vous instruire. Un millier d’exemplaires
de cet ouvrage vont être distribués franco et à titre
absolument gracieux jusqu’à épuisement de l’édition
actuelle. Si vous désirez grandir, écrivez-nous en
toute confiance, dès aujourd’hui, pour nous deman-
der un exemplaire gratuit. Adresse : The Cartilage G0..
Dép't. i5r. B., Aveiuie^cl_e_ 1 _
LA CONSTIPATION ET LES CONGESTIONS
qui en résultent sont rapidement guéries
sans retour par les GRAINS DE VA LS
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LES INCARNATIONS DE ROOSEVELT
(Lire.)
Les Confessions
d’une Princesse
<=§■»
On se souvient de la princesse Louise de Saxe
et de sa fuite avec le précepteur de ses enfants.
Aujourd’hui parait en français sous le titre ci-
dessus, un livre fort curieux, dans lequel se
trouvent décrites la vie et les moeurs des souve-
rains à la cour de Saxe et dans les petites cours
allemomdes, ainsi que les aventures amoureuses
de la Princesse. Le récit est des plus curieux
et parfois même des plus vijs, ainsi que nos lec-
teurs pourront en juger par l'extrait suivant \
Tutzembach, 12 mai.
Que de choses intéressantes j’ai apprises ici! La
grande-duchesse Alexandrine est une très belle
blonde. Des yeux bleus assez peti's, une bouche
fine un peu dédaigneuse, une admirable chevelure
d’or et une carnation de rose. Son mari, un gail-
lard râblé, carré des épaules, avec une nuque de
taureau et un air vaguement féroce.
Alexandrine m’a ouvert son cœur. C’est son
père qui l’a forcée à épouser le grand-duc Bernard,
et elle est profondément malheureuse. La lune de
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par un divorce moral absolu. Cependant, au bout
de quelques années, la jeune fille inexpérimentée,
devenue femme, prit sa revanche. Son mari eut.
presque immédiatement vent de son sort, et, dès
lors, se reprit pour elle d’une passion pervers-'-,
ignoble. Une chose terrible arriva. Le grand-duc
força la serrure du bureau de sa femme et y
trouva une volumineuse correspondance, qui était
la preuve flagrante de son déshonneur. Il s’enferma
dans sa chambre pour la lire, cependant que la
grande-duchesse se mourait de peur et songeait au
suicide. Quand le grand-duc reparut, ce fut une
scène tout autre que celle à quoi elle s’attendait.
Il se jeta sur elle comme un fauve et 1a, posséda,
après quoi, il la contraignit de lui conter jusqu’au
moindre détail de sa liaison adultère avec l’autre,
le tout à grand reniort de gifles, d’injures et de
coups de pied. Puis il la reprit pour s’assouvir à
nouveau.
A partir de ce moment, il la visita chaque nuit,
et chaque nuit aussi il lui arrachait de nouveaux
détails sur ses rapports avec l’autre, puis il la
violait, goûtant avec une volupté étrange, eût-on
dit, à humer l’odeur de ses péchés. Du reste, il ne
fit pas la moindre tentative pour enrayer ses dé-
bordements; il semblait, au contraire, qu'il la vît
avec plaisir contracter de nouveaux liens où sa
manie bestiale pût trouver sou compte. De sorte
que
grande-duchesse a fini par s’affranchir de
tout remords. Elle se donne à présent à tous les
hommes qui lui plaisent, les ignobles étreintes de
son mari lui garantissant, à chaque coup, l’impu-
nité.
Nous avons discuté le cas avec Ferdinand. Pour
mon compte, de telles choses me paraissent incon-
cevables et me font frémir d’horreur. Mais Ferdi-
nand n’a manifesté aucune surprise et m’a expliqué
que le grand-duc, selon lui, était atteint de dégéné-
PARFUMERIE
AZUREA
L.T. P i VG R - Paris
Ol’lieicrs ministériels
32,
et Pas s.
\MpA:SrR.I>OLOIVCEAl]’oUh,s,„e.26,et
Mon à Montreuil-s.-Bois, r. Raspail, 23. Rev. 3.640,
3.480,1.030 f. M. àp. 35.000,20.000,9.000L Cr.Fonc. Adj.
eh. not. Paris, 13mars. Me Prud’homme, not.,6, r.Gaillon.
VILLA La Tour
de Malakoff à
Angle des aven. Montaigne, Racine, etc., près champ
de Courses. Cce 7.532 m. M. à p. 70.000 fr. Faculté
conser. le mobilier. A adj. s. i ench. ch. not. Paris,20
mars 1906. S’ad. M8 Fauchey, not., 3, r. du Louvre, Paris.
MA1S0\S-L\il ll IK
Il * 1QA1V à Paris, Villa Armand, 1 (XVIIIe arr‘)
llll\ JoUll (r.Championnet,217W,v).Cce278'n50.R.b.
6.U 0. M. à p. 60.000 f. Cr. fonc. Adj. s. 1 ench. ch. not.
6 mars. S’ad. M* Josset, not., 66, r. Pu-Champs.
St «i aürice (Seii e). Mais8”routeS'-Mande, 56<rr. Rev.
”ill net3.800f. M. àp. 50.000f. Adj. ch. not. Paris, 20
mars. Me Prud’homme, not., 6, r. Gaillon.
rescence sexuelle, autrement dit de sadisme :«La
perversion du sens génital, m’a dit Ferdinand, est
une maladie assez commune dans les sphères prin-
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autres médecins. » Et, là-dessus, il m’a raconté les
exploits honteux du marquis de Sade. J’ai commis
l’imprudence de répéter ces paroles à Alexandrine,
dès le lendemain. Elle m’a demandé aussitôt qui
pouvait m’avoir si promptement renseignée, de
sorte que je me suis vue, bien malgré moi, forcée
de lui confesser mon histoire avec Rodl. Elle ne
me trahira sûrement pas. Elle s’est extasiée d'ail-
leurs sur la haute intelligence de Rodl pour qui
les choses les plus obscures et les plus inexpli-
cables ne sont qu’un jeu d’enfant. Il est certain que,
sans lui, cette étrange et révoltante histoire m’eût
plongée dans la plus sotte perplexité.
Ce qu’il y a de plus ignoble, c’est que Bernard
prétend ne pas respecter sa femme, même à pré-
sent, qu’elle en est au début de ses relevailles et
que, manifestement, le plaisir qu'il cherche aupiès
d’elle ne l’alimenterait que de ses souffrances.
Aussi s’arrange-t-elle de façon à ne pas rester en
tête à tête avec lui un seul instant.
Rodl et moi nous vivons ici des jours merveil-
leux. Nos appartements au château sont disposés
de telle façon qu’il peut venir me trouver tous les
soirs et ne me quitter qu’au matin.
Et rien ne peut transpirer, car, même s’il était
aperçu, on supposerait qu’il se glisse chez la Tris-
burg, dont l’inaltérable dévouement est toujours
prêt à tout prendre à son compte. Elle a fait ins-
taller un paravent dans sa chambre pour que Rodl
puisse la traverser librement, et nous vivons ainsi
comme un couple légitime, nous efforçant de nous
persuader chaque soir que nous sommes réelle-
ment mariés. Quelquefois, par plaisanterie, il m’ap-
pelle : « Frau projessor ».
(Extrait des Confessions d'une Princesse, 1 vol.,
3 fr. 50 franco.) Sociétés d’édition, 122, rue Réau-
mur, Paris.
Conseil du docteur.
Prenant pour sa toilette
Le Congo si vanté,
C’est jeunesse et beauté,
Madame, qu’on achète.
Docteur J., à Victor Vaissier, Paris.
Sublime i,Botot
Souverain cont.chute des cheveux,
pellicules Provoque les ondulations.
Se vend d* toutes bonnes Maisons.
LA BOURSE ~~
La Bourse, malgré tous les cancans, continue
à voir de plus en plus rose du côté d’Algésiras.
Il s’ensuit une tendance générale de fermeté,
chaque jour plus accusée et, si le plus grand
nombre d’acheteurs font encore preuve d’une pru-
dence qui rappelle celle du serpent, il en est qui,
ne résistant plus au désir de faire produire quelque
chose à leurs capitaux, commencent à sortir de
leur inertie. Au surplus, — signe caractéristique
_ ceux qui ont des titres ne s’en démunissent
pas. C’est, en somme, la note optimiste qui do-
mine et je ne crois pas me tromper en vous pré-
disant, une fois de plus, l’un des plus jolis mou-
vements de hausse qui se soient produits, dès que
nos capitalistes, définitivement rassurés, se déci-
deront à employer carrément leurs disponibilités.
De Lorenbarre.
• CuûMPAGHi
& FttÜL
Champagne
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