ÉCHOS DU RIRE, par Henry SOMM
AU LOUVRE QUAND ON EST DÉLICAT
— Je vous y pince enfin à décrocher un tableau. l’honnête député. — G,000 francs de timbres-poste, s'il vous plaît?
— Au contraire : c’est une de mes œuvres que je désirais exposer là.
LA BANQUE S’ENRICHIT
— On parle d’un divorce en grande épate. .
LÉGENDE SANS DESSINS
Orgueil paternel.
— Votre fille est trop jolie pour qu’un
homme soit heureux avec elle.
— Sûrement. Elle a de quoi faire le
bonheur de plusieurs.
& . * *
En Amérique.
— Ils sont parents?
— Oh! très éloignés!
— A quel degré?
— L’un n’a pas le sou. L’autre est riche,
ïls sont parents à cinq ou six cent mille
francs prés.
* *
— Les voilà enfin terminés ces inven-
taires. Cette question religieuse cause bien
des complications.
— Mais ce serait la même chose, s’il n’y
avait pas de religion. N’est-ce pas Voltaire
qui a dit :
DEPUIS l’affaire KŒPENICK
— Par file à droite, en avant, marche! C’est comme ça
que tu te grouilles !
— J’ai de la méfiance.
— Brave cœur ! Je n’oublierai jamais ce qu’il a fait pour
moi ! J’avais besoin d’argent...
— 11 t’en a offert ?
— Il m’a donné l’adresse de Dussausoy, 4,boulevard des
Italiens, j’ai échangé là mes bijoux contre la forte somme.
UN GARÇON FAMILIER
oncle sam. — Entre nous, jaune homme, est-ce que
vous ne pourriez pas aller étudier ailleurs? ..
— Si Dieu n’existait pas, il faudrait l’in-
ventaire ?
*
* *
Un Français, de passage à New-York, se
promène vers deux heures du matin, dans
un état d’ébriété absolue.
Passe un policeman, ayant habité l’Eu-
rope et qui parle très correctement le fran-
çais.
Il s’approche de l’ivrogne et l’engage, en
anglais, à s’aller coucher.
— Go to, bed !
L’autre ne bouge pas.
Le policeman le reconnaît et lui parle
alors en français.
— Allons, vieux poivrot, va donc te cou-
cher!
— Faut-il que je sois saoul, tout de même
s’écrie l’autre, voilà que je comprends l’an-
glais !
Tous droits de repîoducti’n réservés.
THE SPORT HABILLE BIEN
AU LOUVRE QUAND ON EST DÉLICAT
— Je vous y pince enfin à décrocher un tableau. l’honnête député. — G,000 francs de timbres-poste, s'il vous plaît?
— Au contraire : c’est une de mes œuvres que je désirais exposer là.
LA BANQUE S’ENRICHIT
— On parle d’un divorce en grande épate. .
LÉGENDE SANS DESSINS
Orgueil paternel.
— Votre fille est trop jolie pour qu’un
homme soit heureux avec elle.
— Sûrement. Elle a de quoi faire le
bonheur de plusieurs.
& . * *
En Amérique.
— Ils sont parents?
— Oh! très éloignés!
— A quel degré?
— L’un n’a pas le sou. L’autre est riche,
ïls sont parents à cinq ou six cent mille
francs prés.
* *
— Les voilà enfin terminés ces inven-
taires. Cette question religieuse cause bien
des complications.
— Mais ce serait la même chose, s’il n’y
avait pas de religion. N’est-ce pas Voltaire
qui a dit :
DEPUIS l’affaire KŒPENICK
— Par file à droite, en avant, marche! C’est comme ça
que tu te grouilles !
— J’ai de la méfiance.
— Brave cœur ! Je n’oublierai jamais ce qu’il a fait pour
moi ! J’avais besoin d’argent...
— 11 t’en a offert ?
— Il m’a donné l’adresse de Dussausoy, 4,boulevard des
Italiens, j’ai échangé là mes bijoux contre la forte somme.
UN GARÇON FAMILIER
oncle sam. — Entre nous, jaune homme, est-ce que
vous ne pourriez pas aller étudier ailleurs? ..
— Si Dieu n’existait pas, il faudrait l’in-
ventaire ?
*
* *
Un Français, de passage à New-York, se
promène vers deux heures du matin, dans
un état d’ébriété absolue.
Passe un policeman, ayant habité l’Eu-
rope et qui parle très correctement le fran-
çais.
Il s’approche de l’ivrogne et l’engage, en
anglais, à s’aller coucher.
— Go to, bed !
L’autre ne bouge pas.
Le policeman le reconnaît et lui parle
alors en français.
— Allons, vieux poivrot, va donc te cou-
cher!
— Faut-il que je sois saoul, tout de même
s’écrie l’autre, voilà que je comprends l’an-
glais !
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