SAVOI? BEiflpR
5>V L.T. PI VER
LE RIRE A LA BOURSE
Voilà, bien longtemps qu'il est impossible
de s'amuser à la Bourse bien que ce soit l'en-
droit où l'on joue par excellence. Les
oueurs y sont rares et ne s'amusent guère.
En dehors des nouvelles toujours incertaines
qui sont distillées par les grands quotidiens
sur les chances de paix ou de guerre en
Europe, il convient de tenir compte de la
crise monétaire qui sévit dans tous les pays,
du resserrement du marché du cuivre, etc.
Autant de causes qui pèsent lourdement sur
le marché.
Comment s'étonner dès lors du peu d'en-
train manifesté par les joueurs? Les valeurs,
délaissées, sont lourdes et l'on ne peut pré-
voir quand la reprise, attendue depuis si
longtemps, se manifestera.
Nous avons, en outre, à compter avec la
trêve des confiseurs. Les boursiers ont vrai-
ment beaucoup trop de trêves depuis le mois
de juillet. De Lorenbabre.
COLIQUES HEPATIQUES
Toutes les personnes qui en ont souffert
réclament avec angoisse une médication
capable d'empêcher le retour de leurs tor-
tures. En prenant, tous les deux ou trois
jours, au repas du soir, un Grain de Vais,
on assure le parfait fonctionnement du foie et
l'on empêche tout épaississement de la bile.
COMMENT POSSÉDER UN PARFUM
PERSONNEL ET PERSISTANT
Un parfum exquis qui demeure et peut être
facilement fait chez soi.
Malgré tous les parfums de haut prix vendus
dans le commerce, même les plus connus, les plus
réputés et les plus employés, la femme se voit
obligée de se contenter d'un parfum vendu à tout
le monde; elle est constamment soumise à ce désa-
grément de sentir sur une autre, sur plusieurs
autres, le parfum qu'elle a adopté, son parfum,
en un mot* celui qu'elle voudrait lui être personnel,
lit encore, c'eéi pour.-les favorisées de la fortune;
quant à celles qui n'ont pas les moyens de payer
pour les flacons de cristal et les faveurs coûteuses
qui sont en grande partie la cause du prix élevé
nés parfums chic mis en vente, elles doivent
a s oir recours à des produits de second ordre (qui
sont immédiatement reconnus) ou complètement
s'en abstenir. Et pourtant rien ne donne à la
femme ce charme indéfinissable comme l'effluve
délicat d'un parfum réellement de bon goût.
Après plusieurs expériences un spécialiste bien
connu parmi nous vient de réussir à trouver une
combinaison absolument unique, un certain mé-
lange basé sur des- essences de fleurs naturelles
qui a la rare propriété de s'adapter spécialement
à chacune des femmes qui se l'appliquent : ce phé-
nomène est dû aux émanations des différentes
peaux qui produisent un parfum personnel et ex-
clusif à chaque individu qui s'en sert. La formule
un est relativement simple; et tout bon pharma-
cien peut fournir les ingrédients, soit: 3 grarpmes
de teinture de benjoin vanillé, 10 grammes cf«au
de roses, 85 grammes d'alcool à 90°, le tout mis
dans un flacon de 125 grammes, et séparément
20 grammes d'extrait de pétalias, que vous pouvez
ajouter aux autres ingrédients vous-même à la
maison.
Ce parfum est à un tel point concentré qu il suf-
fit d'une seule goutte pour parfumer et produire
un effet extraordinaire. 11 paraît que cette combi-
naison étrange, mise sur la peau d'une brune, dé-
veloppe des effluves d'un mélange mystérieux
tenant de l'œillet, de la rose et du cyclamen, lors-
qu'au contraire, employée sur une blonde, l'odeur
sera plutôt celle des foins coupés, de la violette,
du lilas ou du muguet. Il n'y a cependant pas de
règle invariable, mais selon les émanations de la
peau sur laquelle il est appliqué, ce parfum dégage
une odeur violente ou douce s'harmonisant avec
la personne et toujours différente sur chacune.Ainsi
toute femme peut avoir son parfum bien à elle.
IÀRDÉ, Madame
vous commencez à 'grossir, et grossir, c'est
vieillir. Prenez doAc toxxs les jours deux
dragées de THYROiDÎ^E BCjUTY, et votre taille
restera ou redeviendra èvelte. — Le flacon de
50 dragées est expédié franco pdf le LABORATOIRE,
3Ml, R. ii Dunkcrqrue. >">ms < entre mandat-poste de 10'.
traitement IWOm3MS3f et absolument certain.
en ayant soin de bien spécifier : Thyroidine Bouty.
PARISIENNES 1
Dans l'édition 1913 du Bottin Mondain, qui est
présentée d'une façon particulièrement élégante,
vous trouverez parmi de nombreuses innovations :
un plan inédit dts lignes d'autobus et de tram-
ways, la « France des Gourmets », les plans des
nouveaux théâtres du « West End », les nouvelles
appellations téléphoniques, et des renseignements
de toutes sortes qui en font un Bade mecum indis-
pensable.
Prix du vol. 9 frs, rue de l'Université, 19.
Officiers ministériels
D \ TVTfflV ^ maisons de rapport. 1° r. de Paris, 220
l Ail J 111 etr"de.\oisy :1 et.3.2°r.deParis,197-199
etâOlav.jard. 0673 etl.226™. Rev.br. 3.635 et5.640fr.
M. à pr. 50.000 et 80.000 fr. Pte Pté et 3 Terrains à
1> % r IV Al FT e" *22-507-635et.i76".M.àp.4.500,
DAUllULJi I 3.000,3.000,3.000.Adj.lench.ch.n.
Paris, 7janv. M« Tbion delà Chaume, h, bd Sébastopol.
1) 31 ADRÏ^TÏt1 àSt-P1'ix>c"m Montmorency(S.-et-
f nUl JIIIj I li 0.i.Maison,communs, gdjard. O"
8,OOOm,lib.!oe.M.àp.60.000<. Aadj.s. lench.ch. not. 14 janv.
1913.S'ad.MaTmo.\ delà Chaume,not.,S,bdScliastopol,Paris.
!|M lUinNCIETIID offre gratuitement de
U 11 IVI U 11 01 C U II faire connaître à tous
ceux qui sont atteints d'une maladie de la peau :
dartres, eczémas, boutons, démangeaisons, bron-
chites chroniques, maladies de la poitrine, de
l'estomac et de la vessie, de rhumatismes, un
moyen infaillible de se guérir prompte1 lent, ainsi
qu'il l'a été radicalement lui-même, après avoir
souffert et essayé en vam tous les remèdes pré-
conisés. Ceite offre: dont on appréc era le but
humanitaire, est la conséquence d'un vœu.
Ecrire à M. VINCENT, 8, place Victor-Huso, h
Grenoble, qui répondra trrafis et franco par courrie
et enverra les indications demandées.
Ah! es cirage crème PRIIH ! ! C'est tout do
même trop de brillant, on ne peut plus regarder
sss chaussures Qu'à travers un verre fumé!!!
Lidueun âu PèreÉ
Kermann
Jj-a Vieille Liqueur Française-
(
pour etre heureux
QUE FAUT-IL ?
UN PEU
d- O
MAXIM A achète
BIJOUX;DIAMANTS, PERLES
au MAXIMUM
lb!s Bou!ddes ITALIENS 2§ Étage
RECONNAISSANCES AU MIEUX
5>V L.T. PI VER
LE RIRE A LA BOURSE
Voilà, bien longtemps qu'il est impossible
de s'amuser à la Bourse bien que ce soit l'en-
droit où l'on joue par excellence. Les
oueurs y sont rares et ne s'amusent guère.
En dehors des nouvelles toujours incertaines
qui sont distillées par les grands quotidiens
sur les chances de paix ou de guerre en
Europe, il convient de tenir compte de la
crise monétaire qui sévit dans tous les pays,
du resserrement du marché du cuivre, etc.
Autant de causes qui pèsent lourdement sur
le marché.
Comment s'étonner dès lors du peu d'en-
train manifesté par les joueurs? Les valeurs,
délaissées, sont lourdes et l'on ne peut pré-
voir quand la reprise, attendue depuis si
longtemps, se manifestera.
Nous avons, en outre, à compter avec la
trêve des confiseurs. Les boursiers ont vrai-
ment beaucoup trop de trêves depuis le mois
de juillet. De Lorenbabre.
COLIQUES HEPATIQUES
Toutes les personnes qui en ont souffert
réclament avec angoisse une médication
capable d'empêcher le retour de leurs tor-
tures. En prenant, tous les deux ou trois
jours, au repas du soir, un Grain de Vais,
on assure le parfait fonctionnement du foie et
l'on empêche tout épaississement de la bile.
COMMENT POSSÉDER UN PARFUM
PERSONNEL ET PERSISTANT
Un parfum exquis qui demeure et peut être
facilement fait chez soi.
Malgré tous les parfums de haut prix vendus
dans le commerce, même les plus connus, les plus
réputés et les plus employés, la femme se voit
obligée de se contenter d'un parfum vendu à tout
le monde; elle est constamment soumise à ce désa-
grément de sentir sur une autre, sur plusieurs
autres, le parfum qu'elle a adopté, son parfum,
en un mot* celui qu'elle voudrait lui être personnel,
lit encore, c'eéi pour.-les favorisées de la fortune;
quant à celles qui n'ont pas les moyens de payer
pour les flacons de cristal et les faveurs coûteuses
qui sont en grande partie la cause du prix élevé
nés parfums chic mis en vente, elles doivent
a s oir recours à des produits de second ordre (qui
sont immédiatement reconnus) ou complètement
s'en abstenir. Et pourtant rien ne donne à la
femme ce charme indéfinissable comme l'effluve
délicat d'un parfum réellement de bon goût.
Après plusieurs expériences un spécialiste bien
connu parmi nous vient de réussir à trouver une
combinaison absolument unique, un certain mé-
lange basé sur des- essences de fleurs naturelles
qui a la rare propriété de s'adapter spécialement
à chacune des femmes qui se l'appliquent : ce phé-
nomène est dû aux émanations des différentes
peaux qui produisent un parfum personnel et ex-
clusif à chaque individu qui s'en sert. La formule
un est relativement simple; et tout bon pharma-
cien peut fournir les ingrédients, soit: 3 grarpmes
de teinture de benjoin vanillé, 10 grammes cf«au
de roses, 85 grammes d'alcool à 90°, le tout mis
dans un flacon de 125 grammes, et séparément
20 grammes d'extrait de pétalias, que vous pouvez
ajouter aux autres ingrédients vous-même à la
maison.
Ce parfum est à un tel point concentré qu il suf-
fit d'une seule goutte pour parfumer et produire
un effet extraordinaire. 11 paraît que cette combi-
naison étrange, mise sur la peau d'une brune, dé-
veloppe des effluves d'un mélange mystérieux
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qu'au contraire, employée sur une blonde, l'odeur
sera plutôt celle des foins coupés, de la violette,
du lilas ou du muguet. Il n'y a cependant pas de
règle invariable, mais selon les émanations de la
peau sur laquelle il est appliqué, ce parfum dégage
une odeur violente ou douce s'harmonisant avec
la personne et toujours différente sur chacune.Ainsi
toute femme peut avoir son parfum bien à elle.
IÀRDÉ, Madame
vous commencez à 'grossir, et grossir, c'est
vieillir. Prenez doAc toxxs les jours deux
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présentée d'une façon particulièrement élégante,
vous trouverez parmi de nombreuses innovations :
un plan inédit dts lignes d'autobus et de tram-
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D \ TVTfflV ^ maisons de rapport. 1° r. de Paris, 220
l Ail J 111 etr"de.\oisy :1 et.3.2°r.deParis,197-199
etâOlav.jard. 0673 etl.226™. Rev.br. 3.635 et5.640fr.
M. à pr. 50.000 et 80.000 fr. Pte Pté et 3 Terrains à
1> % r IV Al FT e" *22-507-635et.i76".M.àp.4.500,
DAUllULJi I 3.000,3.000,3.000.Adj.lench.ch.n.
Paris, 7janv. M« Tbion delà Chaume, h, bd Sébastopol.
1) 31 ADRÏ^TÏt1 àSt-P1'ix>c"m Montmorency(S.-et-
f nUl JIIIj I li 0.i.Maison,communs, gdjard. O"
8,OOOm,lib.!oe.M.àp.60.000<. Aadj.s. lench.ch. not. 14 janv.
1913.S'ad.MaTmo.\ delà Chaume,not.,S,bdScliastopol,Paris.
!|M lUinNCIETIID offre gratuitement de
U 11 IVI U 11 01 C U II faire connaître à tous
ceux qui sont atteints d'une maladie de la peau :
dartres, eczémas, boutons, démangeaisons, bron-
chites chroniques, maladies de la poitrine, de
l'estomac et de la vessie, de rhumatismes, un
moyen infaillible de se guérir prompte1 lent, ainsi
qu'il l'a été radicalement lui-même, après avoir
souffert et essayé en vam tous les remèdes pré-
conisés. Ceite offre: dont on appréc era le but
humanitaire, est la conséquence d'un vœu.
Ecrire à M. VINCENT, 8, place Victor-Huso, h
Grenoble, qui répondra trrafis et franco par courrie
et enverra les indications demandées.
Ah! es cirage crème PRIIH ! ! C'est tout do
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Lidueun âu PèreÉ
Kermann
Jj-a Vieille Liqueur Française-
(
pour etre heureux
QUE FAUT-IL ?
UN PEU
d- O
MAXIM A achète
BIJOUX;DIAMANTS, PERLES
au MAXIMUM
lb!s Bou!ddes ITALIENS 2§ Étage
RECONNAISSANCES AU MIEUX