Le rire: journal humoristique (N.S. 1913 (Nr. 518-569))

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LE RIRE A L'ÉTRANGER

BEAUCOUP DE BRUIT POUR RIEN

1. Un petit Allemand lâche un jour son ballon; le vent
l'emporte au-dessus d'Albion. — 2. Alerte! Les horse-
guards prennent les armes, les dreadnoughts braquent
leurs pièces. — 3. Lord Roberts enfile ses bottes du
Transvaal. On arme la banque d'Angleterre. — 4. Une ^atfjM^pT""^ JUBILE

étincelle! Le ballon crève. On respire! ^ , ;, ïPSk. — Pourquoi, mon fils, caches-tu si craintive-

(Kladderadatsch, Berlin.) : ^ - „ 4 s (ttJPOTk ment ton visage ? (Le roi des Aulnes.)

[Die Muskete, Vienne.)

la prise de janina
En voilà encore une de décrochée !

[Kikeriki, Vienne.)

LA SEPTIEME GRANDE PUISSANCE,

NOS ARCHIVES BALKANIQUES

___________ Le comte Berchtold a ordonné d'enlever, des

Le plus jeune enfant de la maison Romanoff.--■---, — bureaux de son ministère les cartes des Bal-

(Kikeriki.) L HEUREUX POINCARÉ

kans et d'en tapisser des lieux discrets.

m a appelé « grand et bon ami » ! (Die Muskete.)

(Simplicissimus, Munich.)

LE service DE TRENTE ans

[Vision d'avenir.)

— Ne nous plaignons pas, Pierre. Qui sait AUGMENTATION DE l'armÉE FRANÇAISE

-combien de temps servira la prochaine généra- — Mais oui ! Enrôlons aussi les estropiés ! Suffit qu'ils soient forts en gueule et qu'ils

tl0n ! {Simplicissimus.) crient : « Vive la revanche! » (Jugend, Munich.)