LE RIRE A L’ÉTRANGER
L’ACTUALITÉ
LE DÉFENSEUR DE LA KULTURE
(.Neic-York Tribune.)
la mort. — Marche! Je ne t’abandonnerai pas
et je t’emmènerai avant que tes sujets ne te pren-
nent pour te pendre. (Mucha, Varsovie.)
—■ Vieux Dieu, je te congédie... Je prends
Mahomet à mon service. (Pasquino, Turin.)
LE RÊVE DU KAISER
(Puck, New-York.)
LE CHEF DU GRAND .ÉTAT-MAJOR AUX MÉDE-
cins. — Et si notre canon est insuffisant, ordre
vous est donné d’exercer votre savoir-faire sur
l’armée ennemie. • (Numéro, Turin.)
CLAIRVOYANCE
l’Autriche. — J’ai toujours dit qu’il s’agissait
d’une campagne de punition... [Punch, Londres.)
L’Angleterre, en raison des événements a,ctuels,
ange à confier la garde de son empire d Orient
la loyauté bien connue du Japon.
(Kladderadatch, Berlin.)
bulow. — Mon cher, me voici !
salandra. — Un moment! Regarde un peu mon
casque. (IlPunto.)
L’ACTUALITÉ
LE DÉFENSEUR DE LA KULTURE
(.Neic-York Tribune.)
la mort. — Marche! Je ne t’abandonnerai pas
et je t’emmènerai avant que tes sujets ne te pren-
nent pour te pendre. (Mucha, Varsovie.)
—■ Vieux Dieu, je te congédie... Je prends
Mahomet à mon service. (Pasquino, Turin.)
LE RÊVE DU KAISER
(Puck, New-York.)
LE CHEF DU GRAND .ÉTAT-MAJOR AUX MÉDE-
cins. — Et si notre canon est insuffisant, ordre
vous est donné d’exercer votre savoir-faire sur
l’armée ennemie. • (Numéro, Turin.)
CLAIRVOYANCE
l’Autriche. — J’ai toujours dit qu’il s’agissait
d’une campagne de punition... [Punch, Londres.)
L’Angleterre, en raison des événements a,ctuels,
ange à confier la garde de son empire d Orient
la loyauté bien connue du Japon.
(Kladderadatch, Berlin.)
bulow. — Mon cher, me voici !
salandra. — Un moment! Regarde un peu mon
casque. (IlPunto.)