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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0274

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220 System der Hicroglyphik

hätte. Wir geben die hierher gehörenden hieroglyphischen Inschriften der Stelen nach den beiden
Ausgaben des Precis und schreiben ihnen Cbainpollion's Erklärungen an die Seite:

A. B.

I-e Ausg. *)

II1« Ausg. a)

Ite Ausg.

IIle Ausg.

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Dieser Osortasen, Sohn des Ptähaf oder des Plahaftep — Plahflep, d. i. des vom PMha versuch-
ten, erprobten (A. I.), oder dieser Osortasen, Sohn des Ptahö — Plahöthph, d. i. des dem PMha
gewidmeten oder geheiligten (A. II.), war er, fragt Champollion, ein und derselbe mit dem Osortasen
auf dem Obelisken von Heliopolis? Das Vorkommen gleichlautender Namen beweist durchaus noch
nicht, sagt Champollion in der ersten Ausgabe 3), dass der Osortasen der Stele eins sei mit dem

1) ChamtoltjON Precis du Syst. Hier. I. ed. p. 197. La premlere de ces eteles represeute deux personnages en
pied, an hoimne richement decore et une femme. La legende de la figure d'homme (pl. X. no. 3.; bei uns A. I.) coutieut
son nom propre et celiii de son pere, et se lit OCpTCN Ct fj>u CT) TTTgCJj c'est-ä-dire, Osortasen fds de Vtahaf.
Nous avons evidemment ici le meine nom qne sur l'obelisqae d'Heliopolis et sur la petite statue de cornaline; il n'est point
entoure d'un cartouche; cehii de son pere n'est point complet, mais nous pouvons le restituer hardiment; TTTgCj, PtaMf,

n'est qu'une abreviatiou du nom propre TTTgCJTTT, Ptahaftep (pl. X. no. 4. --^ ) , uoin propre dejä analyse (supra

p. 117.; bei uns weiter unten); car j'ai fort souveut observe, dans deux textes kteroglyphiques compares, que le groupe
OTlT (-P1- x- no- 5- de I'un, elait abrege dans l'autre, de mauiere ä ne conserver que le premier de ces signes q

(pl. X. no. 0\ _i_). Le nom du pere d'Osortasen fut donc Ptahftep, c'est-ä-dire, le goute ou Vej/rouve par PMha, et
Ptahaf par abreviatiou.

2) Cbampoixion Precis du Syst. Hier. II. ed. p. 250. La premiere de ces steles repre'sente deux personnages en
pied, an liomme ricbemeut decore et une femme. La legende de la figure d'homme (pl. XIV. no. 3.; bei uns A. I.) coutient
son nom propre et celui de son pere, et se lit OCpTCN BAA fJO TTTgO), c'est-ä-dire, Osortasen oeil, c'est-ä-dire, fds
de Ptahö. Nous avons evidemment ici le meine nom que sur l'obelisque d'Heliopolis et sur la petite statue de cornaline;
il n'est point entoure d'uu cartouche; celui de son pere n'est point complet, mais nous pouvons le restituer hardiment;

TTTgOD, Ptahö, n'est qu'une abreviatiou du nom propre TTTgCOO«}) tpl- XIV. no. 4. "^H), nom propre dejä analyse

(supra, chap. VII.), car j'ai fort souvent observe, daus deux textes hieroglyphiques con*ires, que le groupe (DTIT ou
ö)0(j) (pl. XIV. no. 5. ~i) de Van> <itait abrtigö dans l'autre, de mauiere ä ne conserver que le premier de ces sigues
0) (pl- XIV. no. 6. —S-). Le nom du pere d'Osortasen fut donc Ptahöthph, c'est-ä-dire le de'voue ou le consacre ä Pktha.

3) CnAMi>or.uoN Precis du Syst. Hier. I. ed. p. 198. On ne peut s'empecher de remarquer aussi que les dilTereus
textes de Manetbon donnent au roi, pere et predecesseur d'Osorthos (Osortasen), les noms de üerovßaq, üeTovßaztjg et
IIeTovßaOT?!q; mais rien ne prouve encore que l'Osortaseu de cette stele soit le roi Osortasen de l'obelisque d'Heliopolis
et de la Statuette; son nom et celui de son pere etant, sur la stele, denues de cartouche, sigue ordiuaire des noms royaux.
Mais la legende qui accompague la femme plaoee pres de cet Osortasen, prouve ä eile seule I'identite des deux personnages;
 
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