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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0342

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288 System der Hieroglyphik

Da die figürlichen Zeichen für die Darstellung der abstracten Vorstellungen unbrauchbar waren,
so begreift man leicht, dass sie nur den kleinsten Theil der ideographischen Hieroglyphen aus-
machten. Man findet sie daher gleichsam wie verloren unter einer Menge anderer Zeichen, deren
einem Theile Champollion in Uebereinstimmung mit den Alten, wie er glaubte, die Benennung der
symbolischen, tropischen oder änigmattschen Hieroglyphen beilegte *).

Auch die symbolischen Hieroglyphen werden von Champollion in verschiedene Classen geson-
dert, nämlich:

1. in die der synekdochischen, welche für das Ganze nur einen Theil desselben abbildeten, wie
z. B. zwei Anne mit Bogen und Pfeil (nach Horapoll) eine Schlacht oder Schlachtordnung, zwei
gegen den Himmel empor gehobene Arme (L J) eine fromme Spende, ein Gefäss mit Weihrauch
(Wj & e'ne Anbetung darstellten3);

9. in die der metonymischen, welche die Ursache für die Wirkung aufzeichneten. So werde
der Monat, in der Inschrift von Rosette, durch einen mit den Spitzen abwärts geneigten Halbmond
(/•S) und der Begriff des Schreibens durch das Bild des Schreibegeräthes C^ß) ausgedrückt.

3. In die der metaphorischen, welche ein Ding durch das Bild eines andern, in gewisser Hin-
sicht nahe mit ihm überein kommenden Gegenstandes veranschaulichten, wie, Avenn die Biene ()
ein seinem Herrscher gehorsames Volk, der Vordertheil des Löwen (die Stärke, der Flug
des Sperbers den Wind, der Basilisk C?n) die Gewalt über Leben und Tod, das Krokodil (^SflSfO
die Raubgier anzeige.

1) Champoeuon Vre'cis du Syst. liier. I. ed. p. 283. II. ed. p. 330. En examinant avec attention Ies textes liiero-
glyphiques dont noiis possedons une traduction, ou s'apercoit bientot que les caracteres figuratifs ue sont poiufc aussi nom-
breux qu'on pourrait le croire dans ces inscriptions, dout presque tous les signes oifrent cependant des images d'objets
physiques. Nous dirons, en preuve de ce feit, que dans le texte hieroglypliique de ltosette, qui repond au tiers environ du
texte grec du mouunient, les seules idees chapelle, komme, en/'ant, statue, aspic, pschent et stele, sont exprimees par des
caracteres reellement figuratifs. II reste donc ä savoir quel tut le mode d'expression des liombreux caracteres qui, dans
les textes hieroglyphiqueSj sont perpetuellement entremeles aux caracteres figuratifs. — §. VII. Des caracteres symboliques.
Lorsqu'on u'a reconnu que la nalure purement iigurative d'un certain nombre de sigues dans l'ecriture sacree des Egyptiens,
on est loin d'avoir une idee exacte de ce singulier Systeme; car les signes de cet ordre se trouvent, pour ainsi dire, perdus
au niilieu d'une gründe quantite d'autres, dont im certaiu nombre montrent, par leur forme seule, qu'ils tiennent ä une
metbode d'expression fort differente de celle des premiers exprimant l'idee d'un objet par la forme ineme de cet objet. —
II resulte des diflerentes assertions de Clement d'Al., de Diodore de Sic, et du livre entier d'llorapollon, que les Egyptiens,
dans leur ecriture sacree, procedaient souvent par une metbode symbolique ou eniymatique. — Nous avons observe, en
effet, dans l'analyse de diverses inscriptions bieroglypbiques, tentee dans nos precedeus cliapitres, des caracteres dont cbacuu
exprimait l'idee d'un objet dont ces memes caracteres ne representaient cependant point la forme par eux-memes. Ces
signes sont evidennnent du nombre de ceux que les anciens ont appeles hieroglyphes symboliques, tropiques et
enigmatiques.

2) ChampoixioN Pre'cis du Syst. Hier. I. ed. p. 290. IL ed. p. 338. Dans la determiuation des signes symboliques
ou tropiques, les Egyptiens procederent principalement:

1°. Par synecdoche, en se contentant de peindre la partie pour expriiner un tont.) Für die üeispiele s. Horapoll.
Hierogl. n, 4.? Tabl. gen. no. 308, a. 308, c. (Vergl. no. 320. encensoir, patere pour offrir l'encens; caractere

figuratif.) ,

2°. Par metonymie, en peiguant la cause pour l'effet. C'est ainsi que, dans l'inscription de Kosette, ligne 11 et 13
du texte hieroglyphtque (v. Tabl. gen. no. 238, a.~), nous voyons l'idee mois, ABOT, EBODT, mensis, exprimee, comme le
dit Hokapollon {Hieroyl. I, 4.), par l'image du croissant de la lune, les corues tournees eu bas: 2i).^Vi\v cnE(STQa^vr]v
eis to y.arm. Ce memo signe se montre en effet conune signe A'espece dans les groupcs liieroglypluques exprimant les noms
des mois egyptiens. Die Aegyptiscben Monatsnamen werden nach Cliampollion folgendermassen in der Ilieroglypben-
scbrift ausgedrückt :
 
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