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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0346

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System der Hieroglyphik

Die phonetischen, figürlichen und symbolischen Hieroglyphen bildeten nämlich nicht beson-
dere, für sich bestellende Schriftclassen, sondern waren in jeder Inschrift, in einem und dem-
selben Texte, in einem und demselben Satze, ja man möchte sagen, in einem und demselben
Worte unter einander gemischt *). So z. B. bildet die Vorstellung Tempel [jj]^, ^\ die Ver-
einigung eines figürlichen Zeichens j/^j Haus, Wohnung, mit einem symbolischen Zeichen Gott

'5

„, also Gotteshaus 5 in dem Namen Memphis hingegen j3 ergiebt sich durch die Ver-
bindung eines figürlichen Zeichens [3 »ut den phonetischen Hieroglyphen Pt(a)h, der Sinn:
Wohnung des Phtha s). Eben so zeigte das hieroglyphische T-MAy, Ä^, oder MAy-T,
die Mutter, die Verbindung einer phonetischen Hieroglyphe mit einer symbolischen, während in dem

Eigennamen aj£ j, Tmaume, Tmaumei 3), zwei phonetische Zeichen ~- =~- T, 3BC = M mit
einem symbolischen ^f^ und einem figürlichen <J (Zeichen der weiblichen Person) zusammen treten.
Aber ein recht auffallendes Beispiel der engsten Vergesellschaftung, in welcher phonetische, figür-
liche und symbolische Hieroglyphen bei einander stehen, böte der schon oben mitgetheilte Eigen-
name 4) Pethorphre dar:

P(e) )

\ phonetisch

hör £ symbolisch

p=ph ) phonetisch

re ) figürlich

* I phonetisch

(Mensch, ) '••
\MMm, f figurhch.

iniage par des caracteres plionetiques represeutant Ie mot egyptien, signe de l'idee qui est exprime'e par ce signe symbolique meine.
Ontre cela, H arrive fort souvent aussi que, sur deux textes hie'roylyphiques, Tun emploie le signe symbolique, et Pautre
le signe /iguratif 011 groupo phone'tique equivalent. Nous avons donc le droit d'esperer que, par ces diflereutes Operations,
et par des recherches et des comparaisons multipliees, nons parvieudrous ä fixer le sens propre de ceux d'eutre les
caracteres symboliques dont la valeur ne nous est point encore connue. .

1) Chami'olt.ion Pre'cis du Syst. Hier. I. ed. p. 327. II. ed. p. 375. L'ecriture Meroglyphique est im Systeme com-
plexe, uue ecriture tont a-la-fois figurat'me, symbolique et phone'tique, dans un meine texte, uue meine phrase, je dirais
presqtic dans Je meine mot. Jf. e'd.\t. 335. II. ed. p. 401. II n'est 'plus douteux que tonte inscription hieroglyphique, quelque
peu etendue qu'elle soit, preseute un melauge coustant des trois ordres de signes. On retrouve dans tons les textes les
caracteres figuratiß, les caracteres symboliques et les caracteres phone'tiques perpetuellement eutremeles, et coucouraut,
chacuu ;'i leur mauiere et selou leur essence, ä l'expressiou des idees dont il s'agissait de perpetuer le souveuir.

2) Chaih'MAion Pre'cis du Syst. Hier. I. ed. p. 337. II. ed. p. 404. Certaines idees etaient exprimees aussi par
l'uniou d'uu caractere /Iguratif avec un caractere symbolique; mais les groupes de ce genre ne paraissent point avoir ete
nombreux. Nous citerons pour exemple le no. 283. du Tab}, gen., groupe qui signifie temple, et qui se compose du
caractere figuratif edihcb ou habitation (Tabl. gen. no. 283.) et du caractere symbolique diec (Tabl. geh. no. 226.), c'est-
ä-dire, habitation d'un dieu; souvent aussi le caractere symbolique est inscrit dans le caractere figuratif (Tabl. gen.
no. 284.). - D'autres objets paraissent avoir ete designes par la combinaison d'un caractere figuratif et d'un groupe
phone'tique; tel est, par exemple, le nom de la ville de Memphis (Inscript. de Rosette, texte hierogl. 1. 9. et Tabl. gen.
no. 287.) en ecritnre sacree. Ce nom se forme du caractere figuratif habitation, demeure ou enceinte {Tabl, gen. no. 282.),
et du nom phone'tique du dieu Phtha: ces signes ainsi rapproches siguifient rigoureusement demeure de Phtha, habitation
de Phtha.

3) Champollion Tabl. gen. I. et II. ed. no. 187. (Vergl. uns. B. p. 246. 3te Reihe der Hieroglyphen.)

4) QhampOLUOK Tabl. gen. I. et II. cd. no. 201, d. (Vergl. uns. B. p. 245. no. 4.)
 
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