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LACROIX (Étienne-François de)
(Élève de Joseph Vernet).
27 — Vue du port de Gênes.
Signé à droite, et daté 1773.
T. — H., 1“ 48. L., 2m,16.
28 — Vue prise à Baia.
Signé et daté.
Pendant du précédent.
T. — H., 1“ 48. L., 2m,16.
MEMLING (Hans)
29 — Sainte Véronique.
Ce tableau représente sainte Véronique portant le voile où
une sueur sanglante a empreint la face du Sauveur. Elle est de-
bout, seule au milieu d’une campagne que traverse un chemin
sinueux.
Un manteau d’un bleu foncé et une robe amarante clair
forment son costume. Le paysage est éclatant de lumière et d’un
caractère primitif.
Sur le voile de gaze légère et diaphane, la face du Seigneur a
une fermeté de dessin et de couleur, une solidité aussi grande
que si les chairs étaient réelles.
Cette peinture, exécutée sur bois, est admirable comme conser-
vation. Ce tableau, qui provient de l’ancienne collection du
prince de Liel, a toujours été considéré comme étant une œuvre
de Memling, par sa pureté exquise, sa délicatesse et sa grâce
noble et idéale.
Pourtant, plusieurs experts et écrivains, entre autres M. Mi-
chiels, ont cru reconnaître qu’elle devait être attribuée au
célèbre Simon Marmion de Valenciennes, surnommé le prince
d’Enluminure, et qui fut le peintre de Charles le Téméraire.
B. — H., 0”,31. L., 0”,17.
LACROIX (Étienne-François de)
(Élève de Joseph Vernet).
27 — Vue du port de Gênes.
Signé à droite, et daté 1773.
T. — H., 1“ 48. L., 2m,16.
28 — Vue prise à Baia.
Signé et daté.
Pendant du précédent.
T. — H., 1“ 48. L., 2m,16.
MEMLING (Hans)
29 — Sainte Véronique.
Ce tableau représente sainte Véronique portant le voile où
une sueur sanglante a empreint la face du Sauveur. Elle est de-
bout, seule au milieu d’une campagne que traverse un chemin
sinueux.
Un manteau d’un bleu foncé et une robe amarante clair
forment son costume. Le paysage est éclatant de lumière et d’un
caractère primitif.
Sur le voile de gaze légère et diaphane, la face du Seigneur a
une fermeté de dessin et de couleur, une solidité aussi grande
que si les chairs étaient réelles.
Cette peinture, exécutée sur bois, est admirable comme conser-
vation. Ce tableau, qui provient de l’ancienne collection du
prince de Liel, a toujours été considéré comme étant une œuvre
de Memling, par sa pureté exquise, sa délicatesse et sa grâce
noble et idéale.
Pourtant, plusieurs experts et écrivains, entre autres M. Mi-
chiels, ont cru reconnaître qu’elle devait être attribuée au
célèbre Simon Marmion de Valenciennes, surnommé le prince
d’Enluminure, et qui fut le peintre de Charles le Téméraire.
B. — H., 0”,31. L., 0”,17.