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Lii àiÊrVLM&ï
LA CRISE MONÉTAIRE
On dit qu'elle va revenir... C'est bien possible, mais
çà m'est égal, car je vais vous prouver qu'elle a toujours
existé.
La preuve, c'est que la guerre contre les Prussiens
a urait fort bien tourné si nous avions eu de monnaie
De Carnot,
De Hoche,
De Marceau,
«. Ou même de Napoléon I", ce renverseur de la chose
publique.
Tenez, je suis bon prince. On aurait eu la monnaie de
Yauban, de Lannes, de Desaix, de Murât, de Moreau
même, on aurait été vainqueur.
Et vous remarquerez que je ne remonte pas trop loin !
En politique, — ceci est du passé, rien d'aujourd'hui,
l'est de l'histoire, — il faudrait la monnaie de Sully, de
Henri IV, de Mazarm ou de Richelieu. L'avons-nous ?
Oh !... la monnaie!
En littérature, nous avons aujourd'hui la monnaie de
Victor Hugo: Th. Gautier, Baudelaire, Catulle Mendès,
Coppée, Glatigny...
Quelle monnaie ! Quelles coupures ! à part Gautier,
même en 3' ajoutant Théodore de Banville, ce pastiche
d'une monnaie.
Alfred de Musset a-t-il eu sa monnaie? Oui, c'était
Bouilhet,tnais il est mort. Il y a encore Octave Feuillet,
mais il n'existe pas.
La monnaie?
Au théâtre, quelle est celle de Frederick Lemâîtrê ?
— Aucune.
Dans l'armée, je vous citerais bien la monnaie que
nous avons aujourd'hui, mais elle est tellement division-
naire que j'y renonce.
Dans les arts, depuis Ingres et Delacroix, la monnaie
a quelque valeur ; il y en a même d'Horace Vernet. ..
Mais avouez que la monnaie ne vaudra jamais l'étalon !
Notre époque est ainsi faite. A la rigueur, nous pou-
vons avoir la monnaie de tout... faible, divisée à l'in-
fini, mais voilà tout.
La faiblesse du siècle, c'est de ne rien mettre en relief,
rien en évidence, rien qui domine !
Et, aujourd'hui que les coupures sont déconsidérées
partout, que, diable ferez-vous. même d'Albert AVolff,
en littérature ''
On aura
jours.
FAUSSES NOUVELLES
Une innovation depuis longtems attendue... par les
dames.
Le Conseil munic^ial, dans une de ses dernières séan-
ces, vient de voter l'établissement de cent vespasiennes
pour dames.
DfC »
M. Albert Rogat, du Pays, passe au Corsaire, en
qualité de rédacteur en chef.
t/iv>
L'administration des omnibus vient de faire établir,
dans ses bureaux, des buvettes gratuites pour son per-
sonnel .
M. Clariond, rédacteur du Petit Journal, vient de
quitter Paris, avec le général Bordone, pour aller serrer
la main à Garibaldi.
Félix Pyat vient de se constituer prisonnier.
cJT\>
La foule ne cesse d'affluer, pour visiter l'Exposition
de Lyon ; des mesures viennent d'être prises pour évi-
ter des accidents, en présence de cet engouement gé-
néral.
Malgré le grand succès de la Timbale d'argent, au
Théâtre des Bouffes, M. Jules Noriac, son directeur,
comble tous les journaux de billets de faveur.
Il est question, dans les hautes régions, de transporter
l'Obélisque (dit le Parfait glacé) aux Invalides, à cause
de son grand âge.
PK3
Les Compagnies.de chemins de fer viennent de s'en-
tendre pour diminuer sensiblement le prix des places,
beau faire, la crise monétaire existera ton- j le dimanche, afin de faciliter aux ouvriers la promenade
à la campagne
Yveu" '
LES AFFAIRES
Après les.matières premières, on s'est occupé de l'im.
pôt sur les affaires.
Nous qui ne voyons rien de politique dans tout ce qui
se passe autour de nous, nous rions à gorge déplorée
quand nous pensons à l'impôt sur les affaires.
Les députés, n'osant dire :
— Ça me fait suer !
Disent : ,
— J'en mouille ma chemise !
Mais les cocottes rigolent d'une tout àdtre façon ■
—'Les affaires ?... Lesquelles ?...
Ne lésinons pas et disons la vérité. Les quiproquos
malhonnêtes nous déplaisent. Mais les affaires des co-
cottes...
Non, non!... Jamais nous n'oserons demandera bu
de nos représentants d'y songer... Jamais !
Les affaires véreuses, qui donc oserait les imposer?
C'est immoral !... et on ne s'en apercevrait qu'après.
Evidemment il y a affaires et affaires, et il y en a tant
où il ne faut pas mettre le nez, que je m'abstiens.
_.',.• L. Cx.
mabille. — Soirées musicales et dansantes. Le samedi
grande fête de nuit.
chateatj-kouge. — Bals tous les soirs. Le mardi grand
festival.
tivolt-wauxhai.l. — Bals et concerts tous les soirs or-
chestre de cinquante musiciens, sous la direction deM. Léon
Dufils.
cirque des champs-élysées. — Continuation des débuts
do mademoiselle Azelh et de la charmante écuyère made-
moiselle Cliiarini.
Le temps, de plus en plus propice aux exercices du
cirque des Champs-Elysées, y attire chaque soir une toute
considérable, curieuse d'applaudir miss Azella.
Nous avons une question à poser sur cette jeune fille..,,
la prochaine fois.
Le gérant : Le Goillois
Paris, — Typ. Âlcan-Lévy, rue Lafayette, 61
AGOENBAO
avec une facilité
inouïe de
1ÏYETI, m IMPRIMER SOI-11 lîTOTMfNT
I à 1,000 exemseiîsîs-es s Ë>;i*ftue*e, K^Inu. Itessîu, -jùiusîtp
tracés avec l'encre sur papier comme à l'ordinaire. — Sucées'infaillible garanti.
Prix selon lu format. — 5, 7 et 10,- RUE JOQUELET. — PARIS
INJECTION VI0L4KD
SANS RIVALE
Arrêtant en peu de temps les écoule-
ment 1rs plus rebelles [garanties)
5 fr. le flacon dans toiles les pharmacies.
T riKintDr ÉLECTRIQUE - Af
JjUIUIIjIIIj pareils Serbjn, maintenant
1, boulevard Saint-Martin.
DE
MILLIARDS
EMPRUNT NATHNU
L'Office pu comptant, 1, rue Saint-Georges,
garantit à-ses clients la totalité de leur sous-
cription &ans réduction. Envoie circulaire
sur demande.
À I
Agrandissement des Magasins des Tailleurs réunis
'HISTOIRE DE FRANCE
ëS, ris? <!e Riïols. 5S
31101
3Ï0CT0B
OBJETS d'Ait, u.Wai>lr!iiciit, du Eu'xé, de Fantaisie, de Toilette, etc.
TITRES DE FONDS PUBLICS : Obligations de la Ville de Paris, Actions diverses, etc.
Tous ces dons offerts à la LOTERIE NATIONALE en faveur des blesses et de leurs familles,
10, _ A PARIS
EXPOSITION — 10, BOLLEVAUn DES CAPUCINES
tes Listes
des Numéros gagnants
seront envoyées
aux Souscripteurs.
Pour recevoir FRANCO, par retour du courrier, le nombre de billets que l'on dw »,
en adresser le montant en MANDAT-POSTE ou autre valeur «arTS
eur de la LOTERIE NATIONALE, au Nouvel Opéra, ruo Gluck. r*xu*_
Loterie autorisée
parle Gouvernement
Chaque billet
concourt aux 2 Tirage
le billet 50 Centimes
NOTA
à l'Administrateur
plaire lM->\K^fc ^y?:f->& irFfr PLAIRE
tir' i"--^. Si S?" -' r "'? a r ' ' ...
Habit noir, 29 fr Costume complet, 42 fr. Robe chambre, V, te. Mâcfarjàrié elbeuf, 22 fr.
Jacquette fantaisie, 25 fr. Complet mode, 27 fr. Complet nouv., 41 fr.
MÉDAILLE DE 1™ CLISSE POUR LE BON MARCHÉ DE SES VÊTEMENTS
Les administrateurs des vastes Magasins des Tailleurs réunis, 53, rue de Rivoli, désireux
de témoigner leur profonde gratitude au consommateur, et pour célébrer dignement l'ou-
verture des nouveaux Magasins qu'ils viennent de .s'adjoindre, informent le publie que,
pendant les quinze jours qui suivront cotte inauguration, il sera mis en venir : .
3,000 HABILLEMENTS DE SAISON
SOO se%1erne.nl seront vendus charpie jour
pour finir dans la première quinzaine de la réouverture
Uup Jacquette, un Pantalon, im Gilet, un Chapeau, le tout étoffe pareille, a..... i£i
ENVOI FK&KCO CONTRE REMBOURSEMENT
et notre marque de fabrique
smotM
CÏTRÛNADE ET ORANGEADE ALGÉRIENNES
RECOMMANDÉES COMMIS HYGIÈNE DANS l/EVENEMENT MÉDICA
Flacon, « fr, 50 5.; 1/2 flacon, S* t.
QUINTESSENCE de MOKA pour «afé-
kfâ lait, uiiizHgrm), glaces
> 12 flaron, 1 fr. 30; 1/4 de flacon, O tr. 7» c. -, llSel
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à l'eau, •»«M
-te.'flacon de 12 tassa, 0
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ALCOOL de MENTHE contre %*^e'™Vf *««
nous, cot/ju?,?, crainte» <i «tomtie. - U m™. «
doimh
Ktyos».
Pfl I) Sf4!rP nr II ttCâil Acnés, Boutons, Dartres, Eczémas, Rougeurs, Scarlatine, feul, Ur'lc^ ï-iSJ o"'*'"*"'!
yâLAOitS ÛE LA PEAU Er^^petitevéroi? <co^ m***
autre afl'ection cutanée, fut-elle purulente et réputée incurable, guéris par
ree ou atténuée , /.uiia., xi<?if<;=, 1J A-*r „»«,.*><£(»
la Lotion du docteur OWILCK, aPPro..™
trente ans c
pour le traitement externe radical sans corrosif ni répercussion, de tout mal expulse en huit jours, eflt-i 1*11, V'°J fflt _ Envoi Wlr
tence. — Brochure explicative franco.. Héponse à toute lettre -affranchie. — Flacon : 5 fr. Un seul dan» tous le» cao •
timbres ou mandats de poste, 11, place de la Bourse,,a l'entresol. — Paria.
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LA CRISE MONÉTAIRE
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çà m'est égal, car je vais vous prouver qu'elle a toujours
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a urait fort bien tourné si nous avions eu de monnaie
De Carnot,
De Hoche,
De Marceau,
«. Ou même de Napoléon I", ce renverseur de la chose
publique.
Tenez, je suis bon prince. On aurait eu la monnaie de
Yauban, de Lannes, de Desaix, de Murât, de Moreau
même, on aurait été vainqueur.
Et vous remarquerez que je ne remonte pas trop loin !
En politique, — ceci est du passé, rien d'aujourd'hui,
l'est de l'histoire, — il faudrait la monnaie de Sully, de
Henri IV, de Mazarm ou de Richelieu. L'avons-nous ?
Oh !... la monnaie!
En littérature, nous avons aujourd'hui la monnaie de
Victor Hugo: Th. Gautier, Baudelaire, Catulle Mendès,
Coppée, Glatigny...
Quelle monnaie ! Quelles coupures ! à part Gautier,
même en 3' ajoutant Théodore de Banville, ce pastiche
d'une monnaie.
Alfred de Musset a-t-il eu sa monnaie? Oui, c'était
Bouilhet,tnais il est mort. Il y a encore Octave Feuillet,
mais il n'existe pas.
La monnaie?
Au théâtre, quelle est celle de Frederick Lemâîtrê ?
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nous avons aujourd'hui, mais elle est tellement division-
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a quelque valeur ; il y en a même d'Horace Vernet. ..
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Notre époque est ainsi faite. A la rigueur, nous pou-
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La faiblesse du siècle, c'est de ne rien mettre en relief,
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de Lyon ; des mesures viennent d'être prises pour évi-
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néral.
Malgré le grand succès de la Timbale d'argent, au
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Après les.matières premières, on s'est occupé de l'im.
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10, _ A PARIS
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aux Souscripteurs.
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