DES F R A N G Ç--M A; Ç O N S 17
U« de vivre dans, la. Religion Oh il esl né. Nos
premiers éngagemens ne sont point-rompus par.
ceux que nous formons avec la Maçonnerie-. Qui
trahirait les uns dan.s la fausse idqe de- remplir,
mieux les autres, cesseroit d’être honnête-homme ,
je veux dire d’être vray Mâçom
L’esprit de party en matière de Politique,a aus-
si paru à nos Ret’laurateurs, contraire à la con-
iervation de ce lien qui nous unit tous, en nous
rendant Frères, --ils .ont paré à cet inconvénient,
en proserivant de, nos Asiemblées, tout entretien
qui a pour objet les affaires d’Etat.
Le serment qui nous lie à nos Princes, esl à la
véi'sié si sacré parmy nous, que ce nous serait un
crime de le rompre ; mais comme nos Loges
sont ouvertes à toutes les- Nations, si l’on per •
met toit que les intérêts, de chaque Souverain y
fulTent exposés,on y verrait bientôt le ssambeau de
ia Discorde allumépar la Dispute, réduire en cen-
dres ces Lieux d’autant plus respcétables, qu’ils
sont-presque les sieuis aziies de l’Union & dq la.
Concorde. La, Vertu ne se plaît que sous les Ten-
tes de la Paix, que.ne font point ses amateurs pour
ia çonlerver! , ,
En unmot,,tout;C.e qui peut porter coup a .la
Religion , troubler l’Etat, blelser la Charité ,
corrompre les Mœurs, n’eft point admis chez les
Maçons. . . . : -i.; .
Lorsque nous semmes rassemblés, nous deve-
nons tous Frères; le relie de l’.Uniyersi nous esl
étranger: Le Prince & le Sujet, le Qe.ntil-homv
me & l’Artisan , le. Riche & le Pauvre y sont cor;
fondus-, ri.en ne les distingue, .rien ne les sepaT
te$. la Vertu les rend égaux : -Elle a fon Trône
danfs:nos Loges, nos; Cœurs.;s©iit,:lse.s-Sqjeff, &
B nos
U« de vivre dans, la. Religion Oh il esl né. Nos
premiers éngagemens ne sont point-rompus par.
ceux que nous formons avec la Maçonnerie-. Qui
trahirait les uns dan.s la fausse idqe de- remplir,
mieux les autres, cesseroit d’être honnête-homme ,
je veux dire d’être vray Mâçom
L’esprit de party en matière de Politique,a aus-
si paru à nos Ret’laurateurs, contraire à la con-
iervation de ce lien qui nous unit tous, en nous
rendant Frères, --ils .ont paré à cet inconvénient,
en proserivant de, nos Asiemblées, tout entretien
qui a pour objet les affaires d’Etat.
Le serment qui nous lie à nos Princes, esl à la
véi'sié si sacré parmy nous, que ce nous serait un
crime de le rompre ; mais comme nos Loges
sont ouvertes à toutes les- Nations, si l’on per •
met toit que les intérêts, de chaque Souverain y
fulTent exposés,on y verrait bientôt le ssambeau de
ia Discorde allumépar la Dispute, réduire en cen-
dres ces Lieux d’autant plus respcétables, qu’ils
sont-presque les sieuis aziies de l’Union & dq la.
Concorde. La, Vertu ne se plaît que sous les Ten-
tes de la Paix, que.ne font point ses amateurs pour
ia çonlerver! , ,
En unmot,,tout;C.e qui peut porter coup a .la
Religion , troubler l’Etat, blelser la Charité ,
corrompre les Mœurs, n’eft point admis chez les
Maçons. . . . : -i.; .
Lorsque nous semmes rassemblés, nous deve-
nons tous Frères; le relie de l’.Uniyersi nous esl
étranger: Le Prince & le Sujet, le Qe.ntil-homv
me & l’Artisan , le. Riche & le Pauvre y sont cor;
fondus-, ri.en ne les distingue, .rien ne les sepaT
te$. la Vertu les rend égaux : -Elle a fon Trône
danfs:nos Loges, nos; Cœurs.;s©iit,:lse.s-Sqjeff, &
B nos