HISTOIRE DE l’h AGITATION.
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cune. Puis il éleva la perpendiculaire CD, à laquelle il
donna soixante coudées et tira les deux lignes AD, BD,
lesquelles eurent alors cent coudées de longueur chacune.
Des points diviseurs EFG H, il éleva des perpendiculai-
res sur la base AB, et du point diviseur G une parallèle
à AB. Prenant AB comme base, il traça le triangle équila-
téral ABI. Il inscrivit ce triangle équilatéral dans un cercle.
La tangente KL lui donna la limite de la première cour.
Puisque l’hypothénuse GH avait vingt coudées, la base
GO en avait seize et le côté OH, douze.
Sur la perpendiculaire OH prolongée, l’architecte porta
cinq fois douze coudées au delà du point H. De M en N, il
porta également douze coudées.
Ces lignes lui donnèrent, sauf celles du périmètre, les axes
de ses murs. Alors il put tracer dans ses détails le plan
figure 37.
L’entrée publique avec sa cour était en A. La grande
salle à ciel ouvert dans sa partie médiane, en B. L’entrée
privée en G avec sa première cour D. La cuisine en E. La
citerne en regard et les logements des serviteurs en G. La
seconde cour avec portiques était en H avec les entrées aux
chambres du rez-de-chaussée par deux couloirs en I. On
montait à celles du premier étage par des escaliers ménagés
dans les pylônes.
Les deux cours des provisions en K. En L furent dispo-
sées des latrines. Aux deux extrémités de la cour H étaient
les salles ouvertes sur cette cour pour les réunions privées.
La figure 38 donne la vue cavalière de cette riche habita-
tion. De beaux jardins, soigneusement entretenus, bordaient
la demeure bâtie sur les rives du Nil, et dont les terrains
étaient traversés par un canal d’irrigation.
Mais il convient de pénétrer plus avant dans les procédés
de tracés adoptés par l’architecte.
Nous prenons la salle principale avec ses portiques et ses
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cune. Puis il éleva la perpendiculaire CD, à laquelle il
donna soixante coudées et tira les deux lignes AD, BD,
lesquelles eurent alors cent coudées de longueur chacune.
Des points diviseurs EFG H, il éleva des perpendiculai-
res sur la base AB, et du point diviseur G une parallèle
à AB. Prenant AB comme base, il traça le triangle équila-
téral ABI. Il inscrivit ce triangle équilatéral dans un cercle.
La tangente KL lui donna la limite de la première cour.
Puisque l’hypothénuse GH avait vingt coudées, la base
GO en avait seize et le côté OH, douze.
Sur la perpendiculaire OH prolongée, l’architecte porta
cinq fois douze coudées au delà du point H. De M en N, il
porta également douze coudées.
Ces lignes lui donnèrent, sauf celles du périmètre, les axes
de ses murs. Alors il put tracer dans ses détails le plan
figure 37.
L’entrée publique avec sa cour était en A. La grande
salle à ciel ouvert dans sa partie médiane, en B. L’entrée
privée en G avec sa première cour D. La cuisine en E. La
citerne en regard et les logements des serviteurs en G. La
seconde cour avec portiques était en H avec les entrées aux
chambres du rez-de-chaussée par deux couloirs en I. On
montait à celles du premier étage par des escaliers ménagés
dans les pylônes.
Les deux cours des provisions en K. En L furent dispo-
sées des latrines. Aux deux extrémités de la cour H étaient
les salles ouvertes sur cette cour pour les réunions privées.
La figure 38 donne la vue cavalière de cette riche habita-
tion. De beaux jardins, soigneusement entretenus, bordaient
la demeure bâtie sur les rives du Nil, et dont les terrains
étaient traversés par un canal d’irrigation.
Mais il convient de pénétrer plus avant dans les procédés
de tracés adoptés par l’architecte.
Nous prenons la salle principale avec ses portiques et ses