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https://doi.org/10.11588/diglit.33698#0068
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L'Eà#n/è,
L IND A XK. ;
La têménté ne doit: point être mon
partage; mais la fermeté doit l'être. Ma
naissance vaut bien la vôtre; mon cœur
vaut peut-être mieux ; & quant à ma for-
tune, elle ne dépendra jamais de person-
ne, encor moins de ma rivale.
( yô/L )
LADY ALTON (yh&.)
Elle dépendra de moi. Je suis fâchée
qu'elle me réduiseà cette extrémité; mais
enfin, elle m'y a forcée. Insidèle amant!
paillon funesfe!
SCENE III.
Mr. FRIPORT, le Chevalier M O N-
ROSE pnrttjjùnt dtnn* E tniec
Itl ^7777772 & Fabrice , la servante, les
garçons du Cafté, 77;eHe7tt iOMfeit
ordre. FABRICE, LADY ALTON.
L A D Y A L T O N ( n Fd^rice. )
T^ÆOnsieur Fabrice, vous me voyez ici
A-YJL peuvent, c'esl vôtre faute.
i FA-
L'Eà#n/è,
L IND A XK. ;
La têménté ne doit: point être mon
partage; mais la fermeté doit l'être. Ma
naissance vaut bien la vôtre; mon cœur
vaut peut-être mieux ; & quant à ma for-
tune, elle ne dépendra jamais de person-
ne, encor moins de ma rivale.
( yô/L )
LADY ALTON (yh&.)
Elle dépendra de moi. Je suis fâchée
qu'elle me réduiseà cette extrémité; mais
enfin, elle m'y a forcée. Insidèle amant!
paillon funesfe!
SCENE III.
Mr. FRIPORT, le Chevalier M O N-
ROSE pnrttjjùnt dtnn* E tniec
Itl ^7777772 & Fabrice , la servante, les
garçons du Cafté, 77;eHe7tt iOMfeit
ordre. FABRICE, LADY ALTON.
L A D Y A L T O N ( n Fd^rice. )
T^ÆOnsieur Fabrice, vous me voyez ici
A-YJL peuvent, c'esl vôtre faute.
i FA-