I | ■;
288 LE DUC DE FOI X.
SCENE V et dernière.
LE DUC, AMELIE, V A M I R , L I S O I S.
AMELIE,
Qu i ! vous ?
LE DUC,
Mon frère ?
A M E L I E.
Ah Ciel!
LE DUC.
Oui l’aurait pu penser ?
V A M I R , s’avançant du sond du théâtre.
* J’ose encor te revoir, te plaindre et t’embrasser.
LE DUC.
* Mon crime en est plus grand, puisque ton cœur l’oublie.
AMELIE.
* Lisois, digne héros qui me donnez la vie...
LE DUC.
* Il la donne à tous trois.
L I S O I S.
Un indigne assassin
* Sur Vamir à mes yeux avait levé la main.
* J’ai frappé le barbare ; et prévenant encore
* Les aveugles fureurs du feu qui vous dévore,
J’ai feint d’avoir versé ce sang si précieux,
* Sûr que le repentir vous ouvrirait les yeux.
LE DUC.
288 LE DUC DE FOI X.
SCENE V et dernière.
LE DUC, AMELIE, V A M I R , L I S O I S.
AMELIE,
Qu i ! vous ?
LE DUC,
Mon frère ?
A M E L I E.
Ah Ciel!
LE DUC.
Oui l’aurait pu penser ?
V A M I R , s’avançant du sond du théâtre.
* J’ose encor te revoir, te plaindre et t’embrasser.
LE DUC.
* Mon crime en est plus grand, puisque ton cœur l’oublie.
AMELIE.
* Lisois, digne héros qui me donnez la vie...
LE DUC.
* Il la donne à tous trois.
L I S O I S.
Un indigne assassin
* Sur Vamir à mes yeux avait levé la main.
* J’ai frappé le barbare ; et prévenant encore
* Les aveugles fureurs du feu qui vous dévore,
J’ai feint d’avoir versé ce sang si précieux,
* Sûr que le repentir vous ouvrirait les yeux.
LE DUC.