■
CATILINA.
222
Π®
Γ.ϊ
s
i
Fin du troifième acte.
Ίγ„
Ijj
'A
C’est un homme alarmé, que/son trouble conduit,
Qui cherche à tout apprendre, et qui n’est pas instruit:
Nos amis arrêtés vont accroître ses peines ;
Ils sauront l’éblouir de clartés incertaines.
Dans ce billet fatal César est accusé.
Le Sénat en tumulte est déjà divisé.
Mallius et l’armée aux portes vont paraître.
Vous m’avez cru perdu; marchez, et je suis maître.
s u R A.
Nonnius du consiai éclaircit les soupçons.
CATILINA.
Il ne le verra pas, c’est moi qui t’en répons.
Marchez, dis-je, au Sénat, parlez en aisurancê,
Et laiiTez-moi le soin de remplir ma vengeance.
Allons.... Où vais-je?
CETHEGUS.
Hé bien ?
CATILINA.
Aurélie ! ah grands Dieux!
Qu’allez-vous ordonner de ce cœur furieux? («)
Ecartez-la, surtout. Si je la vois paraître,
Tout prêt à vous servir je tremblerai peut-être.
K’
CATILINA.
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C’est un homme alarmé, que/son trouble conduit,
Qui cherche à tout apprendre, et qui n’est pas instruit:
Nos amis arrêtés vont accroître ses peines ;
Ils sauront l’éblouir de clartés incertaines.
Dans ce billet fatal César est accusé.
Le Sénat en tumulte est déjà divisé.
Mallius et l’armée aux portes vont paraître.
Vous m’avez cru perdu; marchez, et je suis maître.
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Nonnius du consiai éclaircit les soupçons.
CATILINA.
Il ne le verra pas, c’est moi qui t’en répons.
Marchez, dis-je, au Sénat, parlez en aisurancê,
Et laiiTez-moi le soin de remplir ma vengeance.
Allons.... Où vais-je?
CETHEGUS.
Hé bien ?
CATILINA.
Aurélie ! ah grands Dieux!
Qu’allez-vous ordonner de ce cœur furieux? («)
Ecartez-la, surtout. Si je la vois paraître,
Tout prêt à vous servir je tremblerai peut-être.
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