314 L’ORPHELIN DE
LA CHINE.
B
< :
S C E
N
G E N G I
S
O C T A R.
G
E N
GIS.
X) ’ o u vient que je gémis ? d’où vient que je balance ?
Quel dieu parlait en elle et prenait sa défense ?
Est-il dans les vertus , est-il dans la beauté
Un pouvoir au-dessus de mon autorité ?
E.
daignez. . . .
I D A M
Ah!
G E N G I S.
Qu’on l’entraine.
I D A M É.
Non, n accablez que moi des traits de votre haine.
Cruel! qui m’aurait dit que j’aurais par vos coups
Perdu mon empereur, mon fils et mon époux?
Quoi! votre ame jamais ne peut être amollie !
G E N G I S.
Allez , suivez l’époux à qui le sort vous lie.
Est-ce à vous de prétendre encore à me toucher?
Et quel droit avez-vous de me rien reprocher?
I D A M É.
Ah! je l’avais prévu: je n’ai plus d’espérance.
G E N G I S.
Allez, dis-je, Idamé : si jamais la clémence
Dans mon cœur malgré moi pouvait encore entrer,
Vous sentez quels affronts il faudrait réparer.
LA CHINE.
B
< :
S C E
N
G E N G I
S
O C T A R.
G
E N
GIS.
X) ’ o u vient que je gémis ? d’où vient que je balance ?
Quel dieu parlait en elle et prenait sa défense ?
Est-il dans les vertus , est-il dans la beauté
Un pouvoir au-dessus de mon autorité ?
E.
daignez. . . .
I D A M
Ah!
G E N G I S.
Qu’on l’entraine.
I D A M É.
Non, n accablez que moi des traits de votre haine.
Cruel! qui m’aurait dit que j’aurais par vos coups
Perdu mon empereur, mon fils et mon époux?
Quoi! votre ame jamais ne peut être amollie !
G E N G I S.
Allez , suivez l’époux à qui le sort vous lie.
Est-ce à vous de prétendre encore à me toucher?
Et quel droit avez-vous de me rien reprocher?
I D A M É.
Ah! je l’avais prévu: je n’ai plus d’espérance.
G E N G I S.
Allez, dis-je, Idamé : si jamais la clémence
Dans mon cœur malgré moi pouvait encore entrer,
Vous sentez quels affronts il faudrait réparer.