s8o LES SCYTHES.
Dans ce dessein, Sozame, il nous quittait sans doute.
A T H A M A R E.
Indatire ? ton fils ?
H E R M O D A N,
Oui , lui - même.
A T H A M A R E.
Il m’en coûte
D’affliger ta vieillesTe et de percer ton coeur;
Ton fils eût mérité de servir ma valeur.
H E R M O D A N*
Que dis - tu ?
A T H A M A R E à fes foldats.
Qu’on épargne à ce malheureux père
Le spectacle d’un fils mourant dans la poussière;
Fermez-lui ce passage.
H E R M O D A N.
Achève tes fureurs,
Achève. . . . N’oses-tu ? Quoi! tu gémis ! . , . je meurs.
Mon fils est mort, ami !...
(i/ tombe sur le banc de ga^on.)
ATHAMARE.
Toi, père d’Obéide ,
Auteur de tous mes maux, dont l’âpreté rigide ,
Dont le cœur inssexible à ce coup m’a forcé,
Que je chéris encor quand tu m’as offensé,
Il faut dans ce moment la conduire et me suivre.
Moi ! ma fille !
SOZAME.
Dans ce dessein, Sozame, il nous quittait sans doute.
A T H A M A R E.
Indatire ? ton fils ?
H E R M O D A N,
Oui , lui - même.
A T H A M A R E.
Il m’en coûte
D’affliger ta vieillesTe et de percer ton coeur;
Ton fils eût mérité de servir ma valeur.
H E R M O D A N*
Que dis - tu ?
A T H A M A R E à fes foldats.
Qu’on épargne à ce malheureux père
Le spectacle d’un fils mourant dans la poussière;
Fermez-lui ce passage.
H E R M O D A N.
Achève tes fureurs,
Achève. . . . N’oses-tu ? Quoi! tu gémis ! . , . je meurs.
Mon fils est mort, ami !...
(i/ tombe sur le banc de ga^on.)
ATHAMARE.
Toi, père d’Obéide ,
Auteur de tous mes maux, dont l’âpreté rigide ,
Dont le cœur inssexible à ce coup m’a forcé,
Que je chéris encor quand tu m’as offensé,
Il faut dans ce moment la conduire et me suivre.
Moi ! ma fille !
SOZAME.