3Ôo LES GUEBRES.
I R A D A N.
Il attendrit mon cœur, mais il me fait frémir.
Que mes bontés peut-être auront un sort femelle !
Viens, jeune insortuné, je t’apprendrai le reste ;
Suis mes pas.
LE JEUNE A R Z E M O N.
J’obéis à vos ordres pressans :
Mais ne me trompez pas.
I R A D A N.
O malheureux enfahs !
Quel sort les entraîna dans ces lieux qu’on déteste !
De l’une j’admirais la fermeté modeste,
Sa résignation, sa grâce, sa candeur;
L’autre accroît ma pitié, même par sa fureur.
Un dieu veut les sauver, il les conduit sans doute;
Ce dieu parle a mon cœur, il parle et je l’écoute.
Fin du sécond acte.
I R A D A N.
Il attendrit mon cœur, mais il me fait frémir.
Que mes bontés peut-être auront un sort femelle !
Viens, jeune insortuné, je t’apprendrai le reste ;
Suis mes pas.
LE JEUNE A R Z E M O N.
J’obéis à vos ordres pressans :
Mais ne me trompez pas.
I R A D A N.
O malheureux enfahs !
Quel sort les entraîna dans ces lieux qu’on déteste !
De l’une j’admirais la fermeté modeste,
Sa résignation, sa grâce, sa candeur;
L’autre accroît ma pitié, même par sa fureur.
Un dieu veut les sauver, il les conduit sans doute;
Ce dieu parle a mon cœur, il parle et je l’écoute.
Fin du sécond acte.