126 l’ensant prodigue.
Vos droits sont nuis ; il faut avoir su plaire
Pour obtenir le droit d’être en colère.
De tels appas ■n’e-'taient pas faits pour vous ;
Il vous sied mal d’oser être jaloux.
Madame est bonne et fait grâce à mon zèle:
Imitez-la, soyez aussi bon qu’elle.
FIERENFAT, en poflure de fie battre.
Je n’y puis plus tenir. A moi, mes gens.
EUPHEMON fils.
Comment ?
FIERENFAT.
Allez me chercher des sergens.
L I S E à Euphèmon fils.
Retirez - vous.
FIERENFAT.
Je te ferai connaître
Ce que l’on doit de respect à son maître,
A mon état, à ma robe.
EUPHEMON fils.
Observez
Ce qu’à Madame ici vous en devez ;
Et quant à moi, quoi qu’il puiise en paraître,
C’est vous , Monsieur, qui m’en devez peut-être.
FIERENFAT.
Moi... moi ?
EUPHEMON fils.
Vous... VOUS.
FIERENFAT.
Ce drôle est bien osé.
C’est quelque amant en valet déguisé.
Oui donc es-tu? réponds-moi.
Vos droits sont nuis ; il faut avoir su plaire
Pour obtenir le droit d’être en colère.
De tels appas ■n’e-'taient pas faits pour vous ;
Il vous sied mal d’oser être jaloux.
Madame est bonne et fait grâce à mon zèle:
Imitez-la, soyez aussi bon qu’elle.
FIERENFAT, en poflure de fie battre.
Je n’y puis plus tenir. A moi, mes gens.
EUPHEMON fils.
Comment ?
FIERENFAT.
Allez me chercher des sergens.
L I S E à Euphèmon fils.
Retirez - vous.
FIERENFAT.
Je te ferai connaître
Ce que l’on doit de respect à son maître,
A mon état, à ma robe.
EUPHEMON fils.
Observez
Ce qu’à Madame ici vous en devez ;
Et quant à moi, quoi qu’il puiise en paraître,
C’est vous , Monsieur, qui m’en devez peut-être.
FIERENFAT.
Moi... moi ?
EUPHEMON fils.
Vous... VOUS.
FIERENFAT.
Ce drôle est bien osé.
C’est quelque amant en valet déguisé.
Oui donc es-tu? réponds-moi.