ACTE CINQUIEME. 273
T
Pour dire plus, je te laisse à Madame.
Mes chers amis, j’ai démasqué leur ame ;
Et ce coquin. . . .
BARTOLIN s’en allant.
Adieu.
Le chevalier AI O N d 0 R.
Mon rendez - vous ,
Que devient - il ?
BLANFORD.
On se moquait de vous.
J " .
Le chevalier ai 0 N d o r à Blansord,.
De vous aussi, m’est avis ?
BLANFORD.
De moi-même.
J’en suis encor dans un dépit extrême.
Le chevalier Al o N D O R.
On te trompait comme un sot.
BLANFORD.
Que d’horreur!
O pruderie ! ô comble de noirceur !
Le chevalier Al 0 N D 0 R.
Eh, laisse - là toute la pruderie j
Et femme, et tout; viens boire, je te prie.
Je traite ainsi tous les malheurs que j’ai.
Qui boit toujours n’est jamais afflige.
AIme B U R L E T.
Je suis fâchée, entre nous, que Dorfise
Ait pu commettre une telle sottise.
Théâtre. Tom. VII, $
T
Pour dire plus, je te laisse à Madame.
Mes chers amis, j’ai démasqué leur ame ;
Et ce coquin. . . .
BARTOLIN s’en allant.
Adieu.
Le chevalier AI O N d 0 R.
Mon rendez - vous ,
Que devient - il ?
BLANFORD.
On se moquait de vous.
J " .
Le chevalier ai 0 N d o r à Blansord,.
De vous aussi, m’est avis ?
BLANFORD.
De moi-même.
J’en suis encor dans un dépit extrême.
Le chevalier Al o N D O R.
On te trompait comme un sot.
BLANFORD.
Que d’horreur!
O pruderie ! ô comble de noirceur !
Le chevalier Al 0 N D 0 R.
Eh, laisse - là toute la pruderie j
Et femme, et tout; viens boire, je te prie.
Je traite ainsi tous les malheurs que j’ai.
Qui boit toujours n’est jamais afflige.
AIme B U R L E T.
Je suis fâchée, entre nous, que Dorfise
Ait pu commettre une telle sottise.
Théâtre. Tom. VII, $