N A N
I N E.
302
Possédons - nous. Venez.
N A N
I N E.
Je viens me rendre
A mon
devoir.
N A N I N E.
N A N I N E.
Je lisais.
IF
LA BARONNE.
Vous vous faites attendre
de temps; avancez - vous. Comment’
elle est mise ! et quel ajustement ’
Un peu
Comme
Il n’est pas fait pour une créature
De votre espèce.
Il est vrai. Je vous jure,
Par mon respect, qu’en secret j’ai rougi
Plus d’une fois d’être vêtue ainsi ;
Mais c’est l’effet de vos bontés premières,
De ces bontés qui me sont toujours chères*
De tant de soins vous daigniez m’honorer !
Vous vous plaisiez vous-même à me parer.
Songez combien vous m’aviez protégée :
Sous cet habit je ne suis point changée.
Voudriez-vous, Madame, humilier
Un cœur sournis, qui ne peut s’oublier?
LA BARONNE.
Approchez - moi ce sauteuil.... Ah! j’enrage.
D’où venez-vous?
LA baronne.
Quel ouvrage ?
I N E.
302
Possédons - nous. Venez.
N A N
I N E.
Je viens me rendre
A mon
devoir.
N A N I N E.
N A N I N E.
Je lisais.
IF
LA BARONNE.
Vous vous faites attendre
de temps; avancez - vous. Comment’
elle est mise ! et quel ajustement ’
Un peu
Comme
Il n’est pas fait pour une créature
De votre espèce.
Il est vrai. Je vous jure,
Par mon respect, qu’en secret j’ai rougi
Plus d’une fois d’être vêtue ainsi ;
Mais c’est l’effet de vos bontés premières,
De ces bontés qui me sont toujours chères*
De tant de soins vous daigniez m’honorer !
Vous vous plaisiez vous-même à me parer.
Songez combien vous m’aviez protégée :
Sous cet habit je ne suis point changée.
Voudriez-vous, Madame, humilier
Un cœur sournis, qui ne peut s’oublier?
LA BARONNE.
Approchez - moi ce sauteuil.... Ah! j’enrage.
D’où venez-vous?
LA baronne.
Quel ouvrage ?