(Q^UOi! j’aurai donc cette douceur extrême
De rendre heureux , d’honorer ce que j’aime.
Notre Baronne avec fureur crira ,
Très - volontiers, et tant qu’elle voudra.
Les vains discours , le monde , la Baronne ,
Bien ne m’émeut , et je ne crains persorine ;
Aux préjugés c’est trop être sournis ,
Il faut les vaincre , ils sont nos ennemis ;
Et ceux qui font les esprits raisonnables ,
Plus vertueux , sont les seuls respectables.
Hé mais. . . . quel bruit entends-je dans ma cour?
C’est un carrolTe. Oui. .. mais. . . au point du jour
Qui peut venir ?... C’est ma mère peut-être.
Germon. . .
GERMON, arrivant.
Monsieur.
LE COMTE.
Vois ce que çp peut être.
GERMON.
C’est un earrosse.
LE COMTE.
Hé qui ? par quel hasard ?
Qui vient ici ?
GERMON.
L’on ne vient point; l’on part.
De rendre heureux , d’honorer ce que j’aime.
Notre Baronne avec fureur crira ,
Très - volontiers, et tant qu’elle voudra.
Les vains discours , le monde , la Baronne ,
Bien ne m’émeut , et je ne crains persorine ;
Aux préjugés c’est trop être sournis ,
Il faut les vaincre , ils sont nos ennemis ;
Et ceux qui font les esprits raisonnables ,
Plus vertueux , sont les seuls respectables.
Hé mais. . . . quel bruit entends-je dans ma cour?
C’est un carrolTe. Oui. .. mais. . . au point du jour
Qui peut venir ?... C’est ma mère peut-être.
Germon. . .
GERMON, arrivant.
Monsieur.
LE COMTE.
Vois ce que çp peut être.
GERMON.
C’est un earrosse.
LE COMTE.
Hé qui ? par quel hasard ?
Qui vient ici ?
GERMON.
L’on ne vient point; l’on part.