ACTE TROISIEME. 4^7
SCENE V et dernière.
Mme DURE , fartant d’un coté avec MARTHE; LE
MARQUIS , fortant de l’autre avec E R 1 S E ;
M. DURE, M. GRIPON, DAMIS.
Mme D U R U dans le sond.
]V1.ON carroiïe est-il prêt?
D’où vient donc tout cë^bruit?
LE MARQUIS.
Ah! je vois ce que c’est.
MARTHE.
C’est mon questionneur.
LE MARQUIS.
Oui , c’est ce vieux visage ,
Qui semblait si surpris de notre mariage.
Mnie D U R U.
Qui donc ?
LE MARQUIS.
De votre époux il dit qu’il est agent.
M. D U R U , en colère fe retournant.
Oui , c’est moi.
M A R T II E.
Cet agent parait peu patient.
Mme D U R U , avançant.
Ah ! que vois-je ! quels traits ! c’est lui-même,et moname...
M. D U R U.
Voilà donc à 1a fin ma coquine de femme !
Oh! comme elle est changée; elle n'a plus, ma foi,
De quoi raccommoder ses fautes près de moi.
Théâtre. Ton. VII. D d
SCENE V et dernière.
Mme DURE , fartant d’un coté avec MARTHE; LE
MARQUIS , fortant de l’autre avec E R 1 S E ;
M. DURE, M. GRIPON, DAMIS.
Mme D U R U dans le sond.
]V1.ON carroiïe est-il prêt?
D’où vient donc tout cë^bruit?
LE MARQUIS.
Ah! je vois ce que c’est.
MARTHE.
C’est mon questionneur.
LE MARQUIS.
Oui , c’est ce vieux visage ,
Qui semblait si surpris de notre mariage.
Mnie D U R U.
Qui donc ?
LE MARQUIS.
De votre époux il dit qu’il est agent.
M. D U R U , en colère fe retournant.
Oui , c’est moi.
M A R T II E.
Cet agent parait peu patient.
Mme D U R U , avançant.
Ah ! que vois-je ! quels traits ! c’est lui-même,et moname...
M. D U R U.
Voilà donc à 1a fin ma coquine de femme !
Oh! comme elle est changée; elle n'a plus, ma foi,
De quoi raccommoder ses fautes près de moi.
Théâtre. Ton. VII. D d