E toujours de Tes douces lois
Le Dieu des vers vous endoctrine;
Qu’à vos chants il joigne sa voix,
Tandis que de sa main divine
Il accordera sous vos doigts,
La lyre agréable et badine
Dont vous vous servez quelquefois.
Que l’Amour, encor plus facile,
Lréside à vos galans exploits,
Comme Phébus à votre style;
Et que Plutus , ce Dieu sournois,
Mais aux autres Dieux très-utile,
Rende par maint écu tournois,
Les jours que la Parque vous file,
Des jours plus heureux mille fois
Que ceux d’Horace et de Virgile.
EP1TRE LXXII.
A M. LE COMTE DE TRESSA N.
CTressan, l’un des grands favoris
Du Dieu qui fait qu’on est aimable,
Du fond des jardins de Cypris,
Sans peine et par la main des Ris,
Vous cueillez ce laurier durable,
Le Dieu des vers vous endoctrine;
Qu’à vos chants il joigne sa voix,
Tandis que de sa main divine
Il accordera sous vos doigts,
La lyre agréable et badine
Dont vous vous servez quelquefois.
Que l’Amour, encor plus facile,
Lréside à vos galans exploits,
Comme Phébus à votre style;
Et que Plutus , ce Dieu sournois,
Mais aux autres Dieux très-utile,
Rende par maint écu tournois,
Les jours que la Parque vous file,
Des jours plus heureux mille fois
Que ceux d’Horace et de Virgile.
EP1TRE LXXII.
A M. LE COMTE DE TRESSA N.
CTressan, l’un des grands favoris
Du Dieu qui fait qu’on est aimable,
Du fond des jardins de Cypris,
Sans peine et par la main des Ris,
Vous cueillez ce laurier durable,