ho DELUGES, ALPHABETS, etc.
et au Gange. Le Gange s’appelait Sarmôubi dans la
langue des brames , l'Indus Sombadipo. Tels sont les
anciens noms qu’on trouve dans le Védam.
Les Grecs en s’étendant sur les côtes de l’Asie
mineure , y amenèrent l’harmonie. Leur Homère.
naquit probablement à Smyrne.
La belle architecture , la sculpture perfectionnée ,
la peinture , la bonne musique , la vraie poésie , la
vraie éloquence , la manière de bien écrire l’his-
toire ; enfin la philosophie même, quoiqu’informe
et obscure , tout cela ne parvint aux nations que
par les Grecs. Les derniers venus l’emportèrent en
tout sur leurs maîtres.
L’Egypte n’eut jamais de belles statues que de
]a main des Grecs. L’ancienne Balbek en Syrie,
l’ancienne Palmyre en Arabie, n’eurent ces palais ,
ces temples réguliers et magnifiques , que lorsque
les souverains de ces pays appelèrent des artistes
de la Grèce. On ne voit que des restes de barbarie ,
comme on l’a déjà dit ailleurs , dans les ruines de
Persépolis bâtie par les Perses ; et les monumens
de Balbek et de Palmyre sont encore , sous leurs
décombres, des chef-d’œuvres d'architecture.
DES LEGISLATEURS GRECS, DE M I N O S ,
d’orphée, de l’immortalité de l'ame.
Que des compilateurs répètent les batailles de
Marathon et de Salamine , ce sont de grands exploits
assez connus. Que d’autres répètent qu’un petit - fils
deiVoe, nommé Setim , fut roi de Macédoine , parce
que, dans le premier livre des Machabées, il est dit
et au Gange. Le Gange s’appelait Sarmôubi dans la
langue des brames , l'Indus Sombadipo. Tels sont les
anciens noms qu’on trouve dans le Védam.
Les Grecs en s’étendant sur les côtes de l’Asie
mineure , y amenèrent l’harmonie. Leur Homère.
naquit probablement à Smyrne.
La belle architecture , la sculpture perfectionnée ,
la peinture , la bonne musique , la vraie poésie , la
vraie éloquence , la manière de bien écrire l’his-
toire ; enfin la philosophie même, quoiqu’informe
et obscure , tout cela ne parvint aux nations que
par les Grecs. Les derniers venus l’emportèrent en
tout sur leurs maîtres.
L’Egypte n’eut jamais de belles statues que de
]a main des Grecs. L’ancienne Balbek en Syrie,
l’ancienne Palmyre en Arabie, n’eurent ces palais ,
ces temples réguliers et magnifiques , que lorsque
les souverains de ces pays appelèrent des artistes
de la Grèce. On ne voit que des restes de barbarie ,
comme on l’a déjà dit ailleurs , dans les ruines de
Persépolis bâtie par les Perses ; et les monumens
de Balbek et de Palmyre sont encore , sous leurs
décombres, des chef-d’œuvres d'architecture.
DES LEGISLATEURS GRECS, DE M I N O S ,
d’orphée, de l’immortalité de l'ame.
Que des compilateurs répètent les batailles de
Marathon et de Salamine , ce sont de grands exploits
assez connus. Que d’autres répètent qu’un petit - fils
deiVoe, nommé Setim , fut roi de Macédoine , parce
que, dans le premier livre des Machabées, il est dit