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NUMÉRO

ADMINISTRATION : PASSAGE JOUFFROY, 2i.

SAMEDI 31 MAI 1851.

LE PALAIS

JOURNAL ILLUSTRÉ DE L'EXPOSITION DE 1851 ET DU PROGRES DES ARTS INDUSTRIELS.

ABONNEMENTS pour paris et les départements, 2» francs pour la durée de l'exposition; six mois environ. — port en sus pour l'étranger.

UN NUMÉRO : 75 CENTIMES.

On s'abonne, a Paris, à l'Administration du Journal, 24, passage Jouffroy, boulevart Montmartre. — Chez MM. Susse frères, place de la Bourse, 31___A Londres, au*Bureau

spécial du Journal, 2, Catherine Street Strand; — chez M. Thomas, 1, Finch lam Cornhill ; — P. A. Delizy et C% 15, Régent Street; — Clayton et Salmer,'ï6o Strand
et 293 Piccadiliy ; — Owhin Newsman, 1, Catherine Street. — Chez tous les Libraires de la France et de l'Etranger, dans les Bureaux de Poste et de Messageries Nationales
— Envoyer franco un mandat sur Paris ou un bon sur la Poste à l'ordre du Gérant.

S OUMÂ1UE.

fi. nos lecteurs. — La France et l'Angleterre. — ï.es Passeports et
lord Palmerston. — Courrier de Londres, par Schertdan. — Les
Economistes français à Londres.: MM. Michel Chevalier, Blanqui et
Charles Dupin. — M. Jules Janin ; l'Orénoque à la mer ; l'hospi-
talité anglaise. — Chronique de l'Exposition : La voie la plus courte ;

l'Ouvrier anglais; Gare aux Voleurs! la Gent goudronnée; l'Ex-
position russe,— Nouvelles de la Cour; le lever de la Reine- —
Dernières nouvelles de Londres. — Surtout de table, de Durand.
— Le châle de Boticher. — L'Amazone de Kiss. — Le fauteuil de la
Reine. — Courrier de Paris, par Honoré d'Urfé. — Bulletin scien-

tifique. — Les trous à la lune. — L'ébénisterie de Tshan.— Avan-
tages des Expositions cosmopolites. — Actes officiels : Législation
industrielle. — Variétés : De l'influence des mécaniques sur le prix
des salaires et le bien-être du peuple. — Nouvelles diverses et
Annonces.

A NOS LECTEURS.

Le chiffre considérable
qu'atteint notre tirage dès le
troisième numéro de notre
journal est un encourage-
ment trop flatteur pour que
nous ne devions pas d'abord
en remercier les industriels,
les chefs de fabrique, les ar-
tistes, les ouvriers même qui
nous ont apporté leur adhé-
sion, leur concours et leur
souscription.

Mais ce n'est point k la
seule expression de notre
gratitude que nous devons
nous borner. L'estime dans
laquelle les hautes intelli-
gences de l'industrie nous
tiennent, la faveur qu'elles
ont bien voulu nous accor-
der agrandit le cercle de
notre responsabilité. Succès
oblige.

Aussi le Palais de Crlsial,
qui n'était d'abord qu'une
publication de circonstance,
\a-t-il devenir une œuvre
permanente destinée à enre-
gistrer les procédés, à vul-
gariser les découvertes, de
celles surtout qui peuvent
tourner au profit et à la gloire
de la France industrielle et
artistique.

Nous ne faisons en cela
que répondre au vœu de l'im-

mense majorité de nos sous-
cripteurs.

Pour obvier en outre aux
difficultés administratives par
suite desquelles la vente au
nnmérode l'Illustrated Lon-
don News a dû être for-
cément interrompue, nous
avons établi à Paris le siège
de notre imprimerie, en lais-
sant toutefois à Londres un
comité de rédaction chargé
de nous transmettre les ma-
tériaux relatifs à l'Exposi-
tion.

L'impression de notre feuil-
le à Paris offre d'ailleurs
l'avantage de pouvoir faire
parvenir dans un état parfait
de conservation les numéros
adressés à nos souscripteurs,
et non point froissés et ma-
culés, inconvénient presque
inséparable du double trans-
port de Londres ù Paris, et
de Paris à destination défini-
tive.

Enfin un ordre méthodi-
due, et conséquemment favo-
rable aux recherches des col-
lectionneurs, a été adopté
pour les articles composant
chaque livraison, et un som-
maire placé en tête de cha-
cune d'elles, permettra de
trouver facilement le texte et
les gravures que l'on se pro-
pose de consulter.

BUREAU GOTHIQUE ALLEUAHD, PAU M. TAHAK.

LA FRANCE ET L'ANGLETERRE.
Tel est le titre d'une lettre adressée, dans le
journal les Annales des Chemins de fer, à M. le
professeur Blanqui par M. Aristide Dumont.

Nous n'avons pas l'honneur de connaître M. Aris-
tide Dumont; mais, si son nom n'avait pas des
désinences on ne peut plus françaises, nous se-
rions en droit, après avoir lu son factum contre la

France, de nous demander si M. Dumont n'est pas
Anglais.

M. Dumont se pose franchement en confradic-
teur de ce qu'il appelle l'optimisme de M. Blan-
 
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