BRUTTIEN. Si l'l I ' WI.S
cm
Catanzaro gelangte Funde genannt: „Nel 1870 nel fondo
Caramazzi furono trovati diversi frammenti di Statuette
iiitili . . . 1880, 26 giugno, un pczzo di terracotta con
figura di uomo nudo a bassorilicvo" (genauer beschrieben
Bull, dell' inst. 1S81 S. 203 n. 1, danach ist es eine den
rarenrinerTotenmahlen entsprechende Darstellung, s. Typ.-
Kat.ll S. 203,7 Anm.). Von ebenda werden Notizie 1887
S. 163 dnige Terrakottaköpfchen erwähnt. In der alteren
Lttteratur finde ich Medma mir für die Figur einer
„kleinen Bacchantin mit Tympanon" genannt, in der Notiz.
die Panofka Arch. Zeitung VI [848 S, 248 über Terra-
kotten im Besitz des cav. Berti giebi
Die Bemerkung Lenormants, La Grande Grece III
S. 212 über die Übereinstimmung der Terrakotten von
Nicotera mit denen von Hipponion (wörtlich wieder-
gegeben am Schluss unseres Abschnittes „Hipponion")
tflsst darauf schliessen, dass Lenormant eine grössere Zahl
von Figuren an Ort und Stelle zu sehen Gelegenheit ge-
habt hat.
HIPPONION.
Lenormant. La Grande Grece III S. 210 „La partie
de la collcction [M. Cordopatri in Mnnteleone] qui m'a
offen les choses les plus neuves est celle des statuettes
de terre cuiic. On en trouve fre'qucmment dans les
tombeaux de PHipponion grec, et j'ai pu en acquerir ä
Montdeone pour 1c Musee du Louvre un petit lot. prove-
nantde fouilles toutes re*centes, od il va quelques fragments
recllement exquis. M. Cordopatri en possede une pleine
armoire. Cea terre- cuites d'Hipponion sont purement
hdteniques, d'un an fin et charmant, et se distinguent ä
des caracteres parfaitement aecuses dos terres cuites des
autres localites de la Grande-Grece, de edles par exemple
de Tarente, de Tiriolo et de Locrcs, qui apparaissent
comme autant de centres Je fabrication avant leur maniere
propre, ou bien de edles de Reggio, lesqudles sont tout
ä fall siciliennes d'aspect II est Evident, qu'il y a eu la
une Industrie developpee de coroplastes. qui commence
dans la periode de Pari archaique. vers la fin du VI«
siede, et se continue jusqu'au moment oü la ville perd
completement son caractere hcllenique. L'e'poque culmi-
nante en a eto" celle qui a sutvi le nitablissenient de la
ville au dehut du IV« sieele. ("est dans le cours de cc
siede que les modeleurs d'argite d'Hipponion ont produit
lours ceuvres les plus gradeuses et les plus parfaites
parmi Celles que nous connaissons jusqu'ici. Elles ont
plus de yrandeur et un accent nioins familier que les
tigurines de Tanagra . . . A ce point de vue je puis citer
comme type exquis et c'levO" ä la Ibis une tete de Perse-
phonc\ la tete voile'e et surmontee du calathos, laquelle
iait partie du lot que je suis parvenu ä faire entrer dans
nos collcctions nationales ... Ä Hipponion il y a en
meine ternps, comme a Tanagra, des figurines de genre,
representani des femmes saisies sur le vif de leur existence
journaliere. Ce qui m'interesse d'une facon toutc parti-
culierc dans les terres cuites bipponiates de la collection
Cordopatri. c'est d'y trouver im certain nombre de figurines
et de groupes reproduisant avec exaetitude, mais traite" par
d'autrcs mains, avec un accent diffe'rent et dans les dminees
d'une autre ecole d'art, le sujet le plus habitud des terres
cuites votives de Tarente, doni on trouve un si linormc
amas aupres du Marc Piccolo et dont un autre dcpöt a
ete reconnu a MÄaponte. C'est le meine hommc, tantöt
dans la force de Page et barbu, tantöt Öphebc imberbe le
bas du corps cnvcloppc dans son manteau, le torse nu,
tenani une coupe ä la main, couche" sur un lit de banquet,
sur lequd il est seul ou bien aecompagne d'une femme
voile'e, assise ;\ l'cMremite du lit, aupres de ses pieds1) . . .
De meme que les terres cuites de Tarente etaient
poitees en abondanco ä MAaponte, Celles d'Ilipponion sc
repandaient dans les localites voisines. Les statuettes que
Ion dt'couvre ä Nicotera, dans les ruinös de Medma et ä
Rosarno, sont pour la plupart exaciemcnt parcillcs ä edles
de Montdeone par la nature de la terre, par le edte"
technique de la fabrication, par le style d'art et par la
richesse des sujets. Pas moyen de douter, qu'dles ne
sortent des meines ateliers ■•
ST ILO.
Orsi beschreibt Notizie 1891 S. 6] aus dem Rinde
einiger Terrakotten die beiden im Typenkatalog I S. 104.1
und 232,1 abgebildeten Bruchstücke einer archaischen
weiblichen Figur und einer bartlosen Henne.
TIRIOLO.
Lenormant, La Grande Grece III S. 24 erwähnt die
sdt iss" gemachten Funde von Terrakotten, die in das
Museo provindale von Catanzaro gebracht sind. Lin-
zeine dieser Stücke sind an folgenden Stellen angeführt:
Hüll, dell' inst. [881 S. 204 die im Typenkatalog II
S. 178 c verzeichnete Athcnafigur „di stüe avanzato."
Notizie 1882 S. 392 „piecole teste di Statuette fittili";
S. 393 „una statuetta muliebre di terracotta, medioeremente
conservata a, 0,12 m, un altra statuetta acefakr; S. 394
„due maschere di terracotta ben lavorate e frammenti di
una terza con capelli ondulati c ben disegnati . . . mezza
testa muliebre di terracotta ;t hassorilievo, con capelli ben
disegnati, della misura di 0,30 per 0,2=) m,"
Notizie 1883 S. 137 „una tesiolina muliebre di
creta . . . una testolina littile rappresemante un asino , . .
una piecola statuetta fittile . . . una testolina in terracotta,
il torso di una statuina . . . una mezza testa virile . . .
una testolina dj statuetta . . . un prismo di creta a. 0,04,
sembra come base di una statuetta . . . una testolina di
terracotta/'
W innefeld hat in Catanzaro ausser der Athens II
S. 17s C noch die Figur eines mit dem r. Arm auf einen
Pfeiler aufgestützten Eros als aus Tiriolo stammend ver-
zeichnet (h. 0,163 "»■ Kopf abgebrochen, Imker Flügel
halb erhalten, Typus wie II S. 253,4, doch bedeckt der
-Mantel die I, Brust und fallt das ,-. ßdn freilassend von
der r. Hand breit vor den Pfeiler herab). Die Figur II
'! Vgl. Typ.-Kttt 1 S. 19g Anm. Udd «4 Anm.
cm
Catanzaro gelangte Funde genannt: „Nel 1870 nel fondo
Caramazzi furono trovati diversi frammenti di Statuette
iiitili . . . 1880, 26 giugno, un pczzo di terracotta con
figura di uomo nudo a bassorilicvo" (genauer beschrieben
Bull, dell' inst. 1S81 S. 203 n. 1, danach ist es eine den
rarenrinerTotenmahlen entsprechende Darstellung, s. Typ.-
Kat.ll S. 203,7 Anm.). Von ebenda werden Notizie 1887
S. 163 dnige Terrakottaköpfchen erwähnt. In der alteren
Lttteratur finde ich Medma mir für die Figur einer
„kleinen Bacchantin mit Tympanon" genannt, in der Notiz.
die Panofka Arch. Zeitung VI [848 S, 248 über Terra-
kotten im Besitz des cav. Berti giebi
Die Bemerkung Lenormants, La Grande Grece III
S. 212 über die Übereinstimmung der Terrakotten von
Nicotera mit denen von Hipponion (wörtlich wieder-
gegeben am Schluss unseres Abschnittes „Hipponion")
tflsst darauf schliessen, dass Lenormant eine grössere Zahl
von Figuren an Ort und Stelle zu sehen Gelegenheit ge-
habt hat.
HIPPONION.
Lenormant. La Grande Grece III S. 210 „La partie
de la collcction [M. Cordopatri in Mnnteleone] qui m'a
offen les choses les plus neuves est celle des statuettes
de terre cuiic. On en trouve fre'qucmment dans les
tombeaux de PHipponion grec, et j'ai pu en acquerir ä
Montdeone pour 1c Musee du Louvre un petit lot. prove-
nantde fouilles toutes re*centes, od il va quelques fragments
recllement exquis. M. Cordopatri en possede une pleine
armoire. Cea terre- cuites d'Hipponion sont purement
hdteniques, d'un an fin et charmant, et se distinguent ä
des caracteres parfaitement aecuses dos terres cuites des
autres localites de la Grande-Grece, de edles par exemple
de Tarente, de Tiriolo et de Locrcs, qui apparaissent
comme autant de centres Je fabrication avant leur maniere
propre, ou bien de edles de Reggio, lesqudles sont tout
ä fall siciliennes d'aspect II est Evident, qu'il y a eu la
une Industrie developpee de coroplastes. qui commence
dans la periode de Pari archaique. vers la fin du VI«
siede, et se continue jusqu'au moment oü la ville perd
completement son caractere hcllenique. L'e'poque culmi-
nante en a eto" celle qui a sutvi le nitablissenient de la
ville au dehut du IV« sieele. ("est dans le cours de cc
siede que les modeleurs d'argite d'Hipponion ont produit
lours ceuvres les plus gradeuses et les plus parfaites
parmi Celles que nous connaissons jusqu'ici. Elles ont
plus de yrandeur et un accent nioins familier que les
tigurines de Tanagra . . . A ce point de vue je puis citer
comme type exquis et c'levO" ä la Ibis une tete de Perse-
phonc\ la tete voile'e et surmontee du calathos, laquelle
iait partie du lot que je suis parvenu ä faire entrer dans
nos collcctions nationales ... Ä Hipponion il y a en
meine ternps, comme a Tanagra, des figurines de genre,
representani des femmes saisies sur le vif de leur existence
journaliere. Ce qui m'interesse d'une facon toutc parti-
culierc dans les terres cuites bipponiates de la collection
Cordopatri. c'est d'y trouver im certain nombre de figurines
et de groupes reproduisant avec exaetitude, mais traite" par
d'autrcs mains, avec un accent diffe'rent et dans les dminees
d'une autre ecole d'art, le sujet le plus habitud des terres
cuites votives de Tarente, doni on trouve un si linormc
amas aupres du Marc Piccolo et dont un autre dcpöt a
ete reconnu a MÄaponte. C'est le meine hommc, tantöt
dans la force de Page et barbu, tantöt Öphebc imberbe le
bas du corps cnvcloppc dans son manteau, le torse nu,
tenani une coupe ä la main, couche" sur un lit de banquet,
sur lequd il est seul ou bien aecompagne d'une femme
voile'e, assise ;\ l'cMremite du lit, aupres de ses pieds1) . . .
De meme que les terres cuites de Tarente etaient
poitees en abondanco ä MAaponte, Celles d'Ilipponion sc
repandaient dans les localites voisines. Les statuettes que
Ion dt'couvre ä Nicotera, dans les ruinös de Medma et ä
Rosarno, sont pour la plupart exaciemcnt parcillcs ä edles
de Montdeone par la nature de la terre, par le edte"
technique de la fabrication, par le style d'art et par la
richesse des sujets. Pas moyen de douter, qu'dles ne
sortent des meines ateliers ■•
ST ILO.
Orsi beschreibt Notizie 1891 S. 6] aus dem Rinde
einiger Terrakotten die beiden im Typenkatalog I S. 104.1
und 232,1 abgebildeten Bruchstücke einer archaischen
weiblichen Figur und einer bartlosen Henne.
TIRIOLO.
Lenormant, La Grande Grece III S. 24 erwähnt die
sdt iss" gemachten Funde von Terrakotten, die in das
Museo provindale von Catanzaro gebracht sind. Lin-
zeine dieser Stücke sind an folgenden Stellen angeführt:
Hüll, dell' inst. [881 S. 204 die im Typenkatalog II
S. 178 c verzeichnete Athcnafigur „di stüe avanzato."
Notizie 1882 S. 392 „piecole teste di Statuette fittili";
S. 393 „una statuetta muliebre di terracotta, medioeremente
conservata a, 0,12 m, un altra statuetta acefakr; S. 394
„due maschere di terracotta ben lavorate e frammenti di
una terza con capelli ondulati c ben disegnati . . . mezza
testa muliebre di terracotta ;t hassorilievo, con capelli ben
disegnati, della misura di 0,30 per 0,2=) m,"
Notizie 1883 S. 137 „una tesiolina muliebre di
creta . . . una testolina littile rappresemante un asino , . .
una piecola statuetta fittile . . . una testolina in terracotta,
il torso di una statuina . . . una mezza testa virile . . .
una testolina dj statuetta . . . un prismo di creta a. 0,04,
sembra come base di una statuetta . . . una testolina di
terracotta/'
W innefeld hat in Catanzaro ausser der Athens II
S. 17s C noch die Figur eines mit dem r. Arm auf einen
Pfeiler aufgestützten Eros als aus Tiriolo stammend ver-
zeichnet (h. 0,163 "»■ Kopf abgebrochen, Imker Flügel
halb erhalten, Typus wie II S. 253,4, doch bedeckt der
-Mantel die I, Brust und fallt das ,-. ßdn freilassend von
der r. Hand breit vor den Pfeiler herab). Die Figur II
'! Vgl. Typ.-Kttt 1 S. 19g Anm. Udd «4 Anm.