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Zachariae, Theodor
Kleine Schriften zur indischen Philologie, zur vergleichenden Literaturgeschichte, zur vergleichenden Volkskunde — Bonn, Leipzig, 1920

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https://doi.org/10.11588/diglit.50105#0159

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Indische Märchen aus den Lettres edifiantes et curieuses. 145
hat Etienne gehört, daß sie denen, die sie um Rat fragen wollten,
Kundschafter entgegenschickte. Dann hat er auch von einer armen
alten Erau gehört, die sich, um Geld zu verdienen, zur Wahrsagerin
machte und dabei genau nach dem Rezept der Wahrsagerinnen in
den großrussischen Versionen des Dr. Allwissend verfuhr. Ich lasse
die Stelle im Wortlaut folgen (§ 358):
,Item de alia audivi quod, [cum] esset pauper vetula, fecit se
divinam, et misit filium suum ad furandum boves cujusdam rustici
remoti; quos ligavit ad quercum in profunda silva et dixit matri
sue, ubi erant, et festinans ad villam rustici boves suos querenti
dixit, quod in villa tali optima divina erat et sapiens, que bene
sciret vaticinari de eis; ad quam rusticus ivit. Boves et locum
docuit; quibus inventis, ut dixerat, magnificata est per totam
viciniam per hoc factum et consimilia, que filius suus faciebat,
ea eum docente?

21. Indische Märchen aus den Lettres edifiantes et curieuses.
(Zeitschrift des Vereins für Volkskunde 16, 129 —149. 1906.)
1. Die Geschichte von Dharmabuddhi und Päpabuddhi
(Baumzeuge).
Deux Marchands, racontent nos Indiens, avoient enterre de concert,
dans un endroit fort Cache, un tresor qui leur etoit commun; le tresor
fut cependant enleve; celui des deux qui avoit fait le coup, etoit le plus
hardi ä se declarer innocent, et ä traiter son associe d’infidele et de
voleur. II alla meine jusqu’ä protester qu’il prouveroit son innocence
par l’oracle d’un Dien celcbre, que les Indiens adorent sous un certain
arbre. Au jour dont on etoit convenu, on fit les evocations accoutumees,
et l’on s’attendoit que quelqu’un de l’assemblee seroit saisi du dieu ou
du demon auquel on s’adressoit. Mais on fut bien surpris, lorsqu’on
entendit sortir de l’arbre une voix, qui declaroit innocent du vol celui
qui en etoit l’auteur, et qui en chargeoit au contraire l’infortune Marchand
qui n’en avoit pas meine eu la pensee. Mais parce que c’est une chose
inouie aux Indes, que les oracles se rendent de cette maniere, ceux qui
etoient deputes de la Cour pour assister ä cette ceremonie, ordonnerent
qu’avant que de proceder contre l’accuse, on examineroit avec soin s’il n’.y
avoit point lieu de se defier de ce nouvel Oracle. L’arbre etoit pourri
en dedans, et sur cela sans autre recherche on jetta de la paille dans
un trou de l’arbre, ensuite on y mit le feu, afin que la, fumee, ou
l’ardeur de la flamme obligeät l’oracle ä parier un autre langage, suppose,
comme on s’en doutoit, qu’il y eüt quelqu’un de cache dans le tronc
Zachariae, Kl. Schriften. 10
 
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