Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Herrmann, Friedrich
Der Neuton für die Jugend oder belehrende Gespräche eines Vaters mit seiner kleinen Familie — Leipzig, 1805

DOI Page / Citation link:
https://doi.org/10.11588/diglit.5407#0146
Overview
Facsimile
0.5
1 cm
facsimile
Scroll
OCR fulltext
Emma. Quellé* sont ces apparences,

papa?

Le Père. L'une est celle d'un double cône
qui paraît rouler sur deux plans inclinés, for-
niant un angle l'un avec l'autre; car, à me-
sure qu'il roule, il s'enfonce entre eux deux,
et par ce moyen son centre de gravité va tou-
jours en descendant.

Soit le corps E F ÇpL 2, fig. 13), consistant
en deux cônes réunis à leurs bases, placé sur
le bord de deux tringles de bois, droites et unies
AB et CD, qui se rencontrant à l'une de ienrs
extrémités dans un angle à A, en posant sur
un plan horizontal, et que de l'autre elles s'é-
lèvent un peu au-dessus du plan, le corps rou-
lera en montant vers le côté élevé des tringles.
La partie du cône qui pose sur les tringles de-
venant plus aiguë à mesure qu'il avance sur
«ne plus large ouverture, et, le laissant ainsi
tomber, il arrive que le centre de gravité des*
cend; mais il ne faut pas perdre de vue que
la hauteur du plan doit être moindre que le ra-
yon de la base du cône. J

Charles. Est-ce d'après ce principe que
l'on fait rouler un cylindre jusqu'au haut d'un»
montagne?

Le Père. Oui safts doute; mais cela ne
peut s'effectuer qu'à une très-petite distance. Si
Ton place un cylindre de carton ou de bois très-
léger A B ÇpL zê Jïg. zr.J, ayant sen centre de gra
 
Annotationen