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jperdons le fil d’une matiere. , qui nous
interciToit plus csTentiellement que vos |
j fourneaux. Permettes nous d’ecouter
|les bonnes cboses que Zoijle veut bien
nous apprendre, — 11 est trog tard a
present , dit Zoyle , pour vous ap-
■prendre tont ce detail ce soir ; d’ail-
leurs comme il ne scroit pas du gout
!de Mr. le Comte , renvoycns la con-
[veiTation a demain ; je vous pro-
!mets d’y venir de bonne heure & de
jvous instruire de tont mon secret, sij
nous ne Pommes pas interrompus. Aprcs
'quelques excuses de Mr. le Comte,
l’on se retira , en se recommandant
imutuellement de ne pas manquer au
Irendes - vous du lendemain. Un in-
jstant apres que Zoyle fut parti, Lu-
\cinde s’ecria : ob! mon Dieu, on
ne lui a pas dit que Pasemblee eil de-
Imain dies moi; aulsi - tot Yabbe Cot
tin
Von ei
■emstmsssamssi