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https://doi.org/10.11588/diglit.14320#0221
MONUMENTS, ETC.
ôvMott. nsnpec&TfTepoc 2s.e & e^rrep oo^- MnoTriye hooott eâOTrn. iwwott ô.irTWOTrno-y
U22.e r npco-vu ô.'S"^ Auiipo epwn CTTOTtouj e£coTe& auuoh. ottoo «ttioti «non euioi
H^toOTT 2s.€ Tie2SLC00TT Hd.ll (fol. l32 R«) 2S.6 ôw Tl€TeHô.OI HHU a\.q>OOTT IC TT€-
TetlMA Sfll ^OTTHOTT £kTT TCOOTTH €2î_ett HèvIOûT 0wTres.AA.OHI1 MAAOq HUJOpTT
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HIOeÀ7V.HHOC es.TTTô.'A.O HOTTOTTCIiv egpHI €2S.eH ^-UJHOTri HT6 ÏIOTTttOTf*^ HO«oc. OTTOO
HCvpe ttlOIOAU pô.UJI TTC 6TT2Î_C0 MMOC 2£.€ ô.piUJÔ.1 MTieHHOTT^- MtpOOTT 3eil NIKdt-
HOTip^UMÔ.2 H^piCTIÔwHOC.3 H€2£_€ ItmiUJ^- €T€ M^s HTOTT 2S_e H€TCUje H€ HT€HTôv.U.€
iien^p^iepeTrc nujopïi .uTiis.HT€n;SoT£ioTr HTenepiiev.'A.eiu <• .u.u.oq e^- e-yciis. ivre
nemtoTr^ uoeoc. Rceni ôwTrepcTTMcpoiHem5 neAi;s.q etp^i ne cppeui ne mïiott-
tuiy^ ç>o.uHpoc. eT^quje nes.q H2£.e q>H eTOTropnq eaep ottoj Tie2£.m auimcùt eicono
ne-u^q 2s_e eun^oeAici nes.Tuj'ÎVHA omis. HTenitooe-u. ic OHime is.cq>oo epon nss_e
'foTmcnr tire tichmott. es.qep oto ii2s_e tricot eq2s_w mmoc hhi 2«.e .unepep ocf
ndOUHpi mnoTTioii ottoo nxc K^epfroHeem6 epon. eTi 2s.e encôs2S_i7 ic q>u
eurent peur, ils n'entrèrent point. Alors vingt hommes se levèrent, ils nous
ouvrirent la porte voulant nous tuer. Et nous nous étions quatre. Eux, ils nous
dirent : «Votre vie se finit aujourd'hui; voici le lieu de votre mort.» En ce mo-
ment ils se levèrent contre mon père, ils le saisirent avant nous comme un agneau
sans tache; puis ils nous (prirent) aussi tous les trois. Les païens se levèrent, ils
apportèrent une victime sur l'autel de leur dieu Kothos; et leurs femmes se
réjouissaient, disant : «Fêtons aujourd'hui notre Dieu avec ces malfaiteurs de
chrétiens.» Le grand d'entre eux dit : «Il faut que nous apprenions d'abord (cette
nouvelle) à l'archiprêtre avant de les tuer, pour l'appeler au sacrifice de notre
dieu Kothos.» Les autres furent d'accord avec lui sur cela : le nom de leur chef
était Homère. Lorsque celui qu'ils envoyaient fut parti, je pris la parole, je dis à
mon père avec lequel j'étais enchaîné : «Resteras-tu sans prier afin que nous
mourions; car voici que s'est approchée de nous l'heure de notre mort?» — Mon
père me répondit en disant : «Ne crains pas, mon fils Pinoution, et le Christ
I. La lettre t avait e'té omise par le copiste qui l'a ajoutée en interligne. — 2. Cod. itiB&uwnpô.-
— 3. Cod. n;x;pHCTiis.noc. — 4- Cod. nTettepHisAm. — 5. Cod. ^Ts-epcTs-jntpcouin. — 6. Cod.
>iivepÊ0H«iH. — 7. Cod. tic&2ci.
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réjouissaient, disant : «Fêtons aujourd'hui notre Dieu avec ces malfaiteurs de
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dieu Kothos.» Les autres furent d'accord avec lui sur cela : le nom de leur chef
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mon père avec lequel j'étais enchaîné : «Resteras-tu sans prier afin que nous
mourions; car voici que s'est approchée de nous l'heure de notre mort?» — Mon
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I. La lettre t avait e'té omise par le copiste qui l'a ajoutée en interligne. — 2. Cod. itiB&uwnpô.-
— 3. Cod. n;x;pHCTiis.noc. — 4- Cod. nTettepHisAm. — 5. Cod. ^Ts-epcTs-jntpcouin. — 6. Cod.
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