MONUMENTS, ETC. 399
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donnâmes de l'or, de l'argent, des vêtements, des souliers, des tapis, des chif-
fons, des linceuls, des brebis, du pain, de l'orge, des graines, des semences, du
vinaigre, du vin, des œufs, du fromage, des pigeons, de la farine, de l'huile, du
raisin, des fruits et tout ce dont les malades avaient besoin. Tout ce que nous
avons dépensé pour eux, s'est élevé à la somme de deux cent soixante cinq mille
drachmes, sans compter le blé et le pain, soit huit mille cinq cents ardebs; quant
à l'huile, ce qu'on dépensa pour eux s'éleva à deux cents ardebs d'olives non
pressées.1 Quant aux légumes et aux raiforts, je n'en peux dire le nombre. Et ils
demeurèrent près de nous pendant trois mois; nous leur donnâmes des provi-
sions et les renvoyâmes vers leur pays; et eux, ils remerciaient Dieu et mon
père le saint anba Schnoudi.
Un jour on sonna la cloche pour la prière du soir et nous nous réunîmes tous
dans l'église. 11 entra un homme revêtu d'un costume royal, beau de visage,
d'une figure respectable, admirable à voir. Mon père, l'ayant vu, sortit à sa ren-
contre avec beaucoup de respect et de vénération en l'admirant : ils se saluèrent
l'un l'autre avec (tous les signes) de l'amitié et de l'affection, d'une bonne récep-
i. Mot-à-mot : deux cents ardebs en grains.
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donnâmes de l'or, de l'argent, des vêtements, des souliers, des tapis, des chif-
fons, des linceuls, des brebis, du pain, de l'orge, des graines, des semences, du
vinaigre, du vin, des œufs, du fromage, des pigeons, de la farine, de l'huile, du
raisin, des fruits et tout ce dont les malades avaient besoin. Tout ce que nous
avons dépensé pour eux, s'est élevé à la somme de deux cent soixante cinq mille
drachmes, sans compter le blé et le pain, soit huit mille cinq cents ardebs; quant
à l'huile, ce qu'on dépensa pour eux s'éleva à deux cents ardebs d'olives non
pressées.1 Quant aux légumes et aux raiforts, je n'en peux dire le nombre. Et ils
demeurèrent près de nous pendant trois mois; nous leur donnâmes des provi-
sions et les renvoyâmes vers leur pays; et eux, ils remerciaient Dieu et mon
père le saint anba Schnoudi.
Un jour on sonna la cloche pour la prière du soir et nous nous réunîmes tous
dans l'église. 11 entra un homme revêtu d'un costume royal, beau de visage,
d'une figure respectable, admirable à voir. Mon père, l'ayant vu, sortit à sa ren-
contre avec beaucoup de respect et de vénération en l'admirant : ils se saluèrent
l'un l'autre avec (tous les signes) de l'amitié et de l'affection, d'une bonne récep-
i. Mot-à-mot : deux cents ardebs en grains.