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allât à son occupation jusqu'au soir. Alors Tamarinos qui fut chargé du magasin
à pain pendant toute la vie de mon père qui avait grande confiance en lui, parce
qu'il était facile, aimait toujours l'aumône (c'est pourquoi on l'avait chargé de ce
service) et qu'il était très modeste, alla trouver mon père, lui baisa les mains et
lui dit : «Fais-moi le plaisir de prier avant que j'aille ouvrir un des magasins à
pain, afin que j'en sorte ce dont il est besoin pour nous et pour ceux qui vien-
nent vers nous, car la bénédiction est cessée dans le magasin d'où Ton tire le
pain de l'aumône.» Alors mon père lui dit, la figure joyeuse : «O mon fils Ta-
marinos, prends jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus.» — Et (le frère) dit : «Pardonne-
moi, mon père, car je n'y ai laissé qu'une grande couffe et je veux que tu la
bénisses ainsi que tout le local.» — Le saint lui dit : «Va, sors la couffe que tu
as épargnée, et tu verras l'œuvre du Seigneur : appelle avec toi des frères pour
t'aider.» Il se hâta et fit comme mon père lui avait dit; et lorsque les frères se
furent réunis pour faire ce que leur avait ordonné mon père et se furent assis
en attendant l'arrivée du saint qui ne venait pas, Tamarinos dit : «Levons-nous
maintenant pour sortir la couffe, comme il nous l'a dit;» et voici que les frères
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lui dit : «Fais-moi le plaisir de prier avant que j'aille ouvrir un des magasins à
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t'aider.» Il se hâta et fit comme mon père lui avait dit; et lorsque les frères se
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maintenant pour sortir la couffe, comme il nous l'a dit;» et voici que les frères