FRAGMENTS DES VIES DE PAKHÔME ET DE THÉODORE
5-45
piKf eu.....ntouu(?). . . . nevep.....ch^ oh.....hcht.....onoir.....
util ott.....ivTio h.....on n&......TV.ô^ôv'Y h.....on us». . . . . née on.....
"\oc..... nne..... tko..... ne^roo..... ç*^p n..... n^q jul..... n-roq
o_co.....n^o_(ox«......(sic exil).
VI
(-nH-) aacoc eKiy^nncog 1 eTeïovujH e^mq \\ts.\ eRtury ^wc eTe-mt^n i\pme epoi
jvirio miok £io o_jul neTepe nsoeic n^t*^q en&oHT q-uô.m ^e juuxoq oji tcttujh
■^.e e^xxMx^y ^ oeoouopoc fiion ujà. ncou ^quj^se uxtxi^q UTesge se jm^pn-
tcootu UTiifsojK ujôv neneiuiT UTnn^'Y se eqn^uj^se ujuuuL^n n&uj u^e. utct-
ucy ^qov^q ncoaq oïi oirp^uje nTepoTncog -xe enenejiOT n^giojui e^roo îiTtp-
OT^pD^ei nuj^-xe ^ neuenoT n^ooit*. OTioujfi se kio n^i efioA ^sp uoJàe r&.i
t*^p TeTnjuinujô. nqs o*. neTiiesiOT on chajc ujHpe. ^eoxoopoc •i.e ne^q^p^ei
ussmoq gcocTe eurxe eq<?onT n^ute ^qoircoujfi «xe \\<3\ ncon ne-x^q n^eo-^iopoc
■se 2JX> epon à. no cofi p ujôi'y ^iotoo eicoTv.c'X. ^vio t^i Te ee nT0.qooqjeiV.ei uincou
eTo^oce n&i ^ecxcopoc gn ovn^noirptMis. eTiiôaioTrc.
n'en étiez pas capables, et même, encore aujourd'hui, vous n'en êtes pas
capables; » c'est ainsi..............................................
........................................................(sic exit. )
VI
«.....lorsque tu seras arrivé à cette nuit, amène-le moi. venant comme
si vous m'accusiez et moi, par ce que le Seigneur donnera dans mon cœur, je
le persuaderai. » Donc en cette nuit-là, Théodore alla vers le frère, il lui parla
ainsi: « Levons-nous, allons vers notre père afin de voir comment il nous
parlera. » Sur l'heure, il le suivit avec une grande joie. Lorsqu'ils furent
arrivés à notre père Pakhôme et qu'ils eurent commencé à parler, notre père
Pakhôme répondit : « Pardonnez-moi, j'ai péché, car vous êtes dignes d'être
traités par votre père comme des enfants. » Mais Théodore avait commencé a
lui faire des reproches, comme s'il eût vraiment été en colère, et le frère prit
la parole, il dit à Théodore: « Que cela te suffise! la chose est devenue bonne,
je viens d'être consolé. » Et c'est ainsi que, par une bonne fourberie, Théodore
fut utile au frère qui était fatigué (du couvent.)
1. Cf. page 84 de la vie memphitique de Pakhôme.
5-45
piKf eu.....ntouu(?). . . . nevep.....ch^ oh.....hcht.....onoir.....
util ott.....ivTio h.....on n&......TV.ô^ôv'Y h.....on us». . . . . née on.....
"\oc..... nne..... tko..... ne^roo..... ç*^p n..... n^q jul..... n-roq
o_co.....n^o_(ox«......(sic exil).
VI
(-nH-) aacoc eKiy^nncog 1 eTeïovujH e^mq \\ts.\ eRtury ^wc eTe-mt^n i\pme epoi
jvirio miok £io o_jul neTepe nsoeic n^t*^q en&oHT q-uô.m ^e juuxoq oji tcttujh
■^.e e^xxMx^y ^ oeoouopoc fiion ujà. ncou ^quj^se uxtxi^q UTesge se jm^pn-
tcootu UTiifsojK ujôv neneiuiT UTnn^'Y se eqn^uj^se ujuuuL^n n&uj u^e. utct-
ucy ^qov^q ncoaq oïi oirp^uje nTepoTncog -xe enenejiOT n^giojui e^roo îiTtp-
OT^pD^ei nuj^-xe ^ neuenoT n^ooit*. OTioujfi se kio n^i efioA ^sp uoJàe r&.i
t*^p TeTnjuinujô. nqs o*. neTiiesiOT on chajc ujHpe. ^eoxoopoc •i.e ne^q^p^ei
ussmoq gcocTe eurxe eq<?onT n^ute ^qoircoujfi «xe \\<3\ ncon ne-x^q n^eo-^iopoc
■se 2JX> epon à. no cofi p ujôi'y ^iotoo eicoTv.c'X. ^vio t^i Te ee nT0.qooqjeiV.ei uincou
eTo^oce n&i ^ecxcopoc gn ovn^noirptMis. eTiiôaioTrc.
n'en étiez pas capables, et même, encore aujourd'hui, vous n'en êtes pas
capables; » c'est ainsi..............................................
........................................................(sic exit. )
VI
«.....lorsque tu seras arrivé à cette nuit, amène-le moi. venant comme
si vous m'accusiez et moi, par ce que le Seigneur donnera dans mon cœur, je
le persuaderai. » Donc en cette nuit-là, Théodore alla vers le frère, il lui parla
ainsi: « Levons-nous, allons vers notre père afin de voir comment il nous
parlera. » Sur l'heure, il le suivit avec une grande joie. Lorsqu'ils furent
arrivés à notre père Pakhôme et qu'ils eurent commencé à parler, notre père
Pakhôme répondit : « Pardonnez-moi, j'ai péché, car vous êtes dignes d'être
traités par votre père comme des enfants. » Mais Théodore avait commencé a
lui faire des reproches, comme s'il eût vraiment été en colère, et le frère prit
la parole, il dit à Théodore: « Que cela te suffise! la chose est devenue bonne,
je viens d'être consolé. » Et c'est ainsi que, par une bonne fourberie, Théodore
fut utile au frère qui était fatigué (du couvent.)
1. Cf. page 84 de la vie memphitique de Pakhôme.