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57o E. AMÉLINEAU

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ments de ceux qui ont été violentés les uns par les autres se pressent de venir
vers nous4, ils restent, me fatiguant, afin que j'écrive aux puissances et aux
magistrats à cause des violences dont ils sont l'objet. Mais moi, j'ai vu qu'il n'y
avait point de profit en cela pour notre but, je me suis levé en hâte, afin de
me retirer dans la montagne pour être seul. » Ces choses, comme les disait le
bienheureux apa Antoine pour glorifier le service des frères saints de la com-
munauté, il y avait près de lui en ce moment de grandes foules des clercs, et
de hauts personnages, venus pour le visiter, pour recevoir sa bénédiction;
mais lui, il savait leurs pensées, car ils murmuraient sur la manière dont il
avait glorifié les frères de la communauté, et il leur dit à tous à la fois : « Je
vous dis que peut-être vous supportez mal en votre cœur que j'ai glorifié le
service des frères. » Les clercs lui répondirent : « Est-ce que nous nous irri-
tons sans cause? Non; mais nous nous irritons en notre cœur, parce que voici
longtemps que tu es malade, et quiconque vient vers toi, pour te visiter, soit
évêque, soit tribun, soit comte, soit haut personnage en un mot, tu ne peux
pas te lever pour les saluer; non, mais lorsque nous nous prosternons sur toi,

i. Lisez : n-rnoArreid.. — 2. Lisez : emoArrei*.. — 3. Lisez : koajlhc. — 4- C'est-à-dire que des foules
de gens qui veulent me parler se pressent autour de moi, au sujet des violences qu'on leur a faites et
m'importunent, etc.
 
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