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582

E. AMÉLINEAU

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de le visiter; on leur apprit qu'il était allé dans la montagne intérieure; pour
eux, ils naviguèrent allant vers le Midi. Si l'un des frères interrogeait apa
Théodore sur une parole ou une douleur, il leur répondait en disant : « Soyons
patients 1 jusqu'à ce que nous arrivions au Midi, que nous disions notre dou-
leur à votre père et le Seigneur nous donnera repos par son entremise. » Et
lorsqu'ils furent arrivés au Midi, à Peboou, apa Théodore et apa Horsiîsi se
baisèrent l'un l'autre d'un saint baiser, ainsi que tous les frères. Sur l'heure,
apa Théodore lui donna les lettres de l'archevêque saint, et, quand il les eut
lues aux frères, ils eurent une grande consolation des paroles de vie qui y
étaient écrites. Du reste, il lui donna la lettre d'apa Antoine que celui-ci leur
avait écrite à Rakoti, et, quand Horsiîsi l'eut lue aux frères, ils bénirent Dieu,
disant : « Tu es béni dans toutes tes œuvres, car tu nous as accordé une grande
faveur de la part de tes serviteurs saints, à cause des prières de notre père
juste. » Et, lorsque Théodore vit les frères comme ils couraient vers lui à
l'excès, il souffrit de cœur en cela, et il voulait aller dans un couvent quelque
temps, jusqu'à ce qu'apa Horsiîsi se fût affermi en paix; il restait à prier et

1. Lisez : nei-e-e. — 2. Lisez : *. ourioS". — 3. Lisez : eoTr^eneeTC. — 4. Mot à mot : Usons de
patience.
 
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