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FRAGMENTS DE LA VIE DE PAMIN

739

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feene [sic exit).

Lorsque le saint apa Pamin eut entendu ces paroles, il lui dit avec humilité:
« Seigneur mon père, c'est Dieu qui connaît toute chose, car je ne connais pas
du tout une œuvre de cette sorte ; mais je suis venu en ce lieu de tout mon
cœur pour me faire moine, afin que je reste à l'ombre de vos prières, et je
crois en Dieu que votre cœur aura repos à mon sujet. » Comme ils parlaient
encore l'un avec l'autre, le magistrat, chez lequel était apa Pamin, frappa à
la porte avec ses enfants et d'autres gens montés (sur des bêtes de somme) qui
le suivaient. Lorsqu'on les eut annoncés à l'archimandrite, il ordonna de les
introduire ; et, lorsqu'ils eurent été introduits, ils virent apa Pamin qui se
tenait debout parlant avec le grand homme. Mais lorsqu'ils le virent, ils
pleurèrent, disant : « Pourquoi es-tu parti, as-tu cessé d'être sous nos (ordres)
ainsi; car ma femme est dans un grand chagrin à cause de toi, ô mon fils,
ainsi que quiconque est en ma maison? Certes, depuis cette heure je ne
t'appellerai pas serviteur, mais je t'appellerai mon frère et mon ami ; je ne
t'appellerai plus depuis cette heure mercenaire, mais. . . » [sic exil).

i. Lisez : ne ctcooitii. — 2 Lisez : en. — 3. Lisez : ju.H«eire. — 4. Lisez : ^p^iui^it'i.piTHc.
5. Lisez : o-yriHpeTHC.

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