Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
792

E. AMÉLINEAU

uujopn »ee iioT£iei£> ufsiv'XgHT juuutcuic &.non ocoto» ^tc&tcoto'y eTô/\on
eop;vi uiniyoïAHT ecsu TiijHTe ju.neTïioTTe nceKoncu ^too nepe HeToiojme <xu>
im&i £ii oTp^iye ste *.pï n. . . . AAneimoTTe Mnooy on HeïKdwRconpa^jutx1
n^picTî^uoc. neote nitoî eTu^HToy ■se oTnpcntou ne HTiiT^uLe n^p^jepeTc
nyjopn ^Tui HTHK^'X.eï uumoq eTeeirci^ unennoTTe croooc2. rweceene
\TCTVtHiiei itAAxt.^q enM ne np^u u^p «neTiio*? ne oojmepoc3. UTepeq&ooK *à.e
uc^i neuTôvTTHitooTq ne*2£^i «.n^eioiT etcouo Ho.i_ièvq -xe eriud^u) eK^ue^e
esii{ ujW HTiip &o"\ eic ^hhtc ^cnoo^ epon u- ( verso-) <3\ Tcrncy Ax.neiiK.ionc.
ne's^q uôvï -se Axnpp ootc nenioTTiou ne^c n^ÊoHeei epon. cti •à.e eiiiyt\'Sf
eic nneTOTi^dvfc ^n&. &hc^ ^qKto"\£ enpo nrooy «s^e xAnoTion ; n^q. îtTevuo"Y
ô^quiig efecvX ne nsiOTTt ne^c neiiT^qxt. neTpoc efio<VoAA neujTeKO eqiAHp
nno ;v\tcic Axnenme e^KTpe TnTÀH Axnemne ovton n».q eosn 6 ujoujt eKeoTion
mai xxnpo Axneipne £n oTffenH. ïiT€THO*y à. npo Axnpne oirton aoqei eooTit aaii
oe» Axona^oc eTUôvp xxnTôvqTe. nTepoTHà.'y -^e epoq n^i KoeWfm ^TiyropTp
exx^Te ô^tco ^Tiycone n©e nnenone nôA\/7r)£on. iiTetmo'Y a^vfioTV.n efioA^n

nous aussi, ils se préparaient à nous faire monter tous les trois sur l'autel de
leur dieu afin qu'ils nous sacrifiassent. Leurs femmes aussi disaient avec joie :
« Faisons fête à notre dieu aujourd'hui avec ces malfaiteurs de chrétiens. »
Le grand d'entre eux dit : « Il est convenable que nous informions d'abord le
grand prêtre et que nous l'appelions au sacrifice à notre dieu Kothos. Le reste
fut du même avis que lui sur cela, et leur grand s'appelait Homère. Lorsque
l'envoyé s'en fut allé, je dis à mon père, enchaîné comme lui : « Resteras-tu,
supportant (cela), sans prier afin que nous échappions ? Voici que l'heure de
notre sacrifice approche. » Il me dit : « Ne crains rien, Pinoution ; le Christ
nous secourra. » Comme nous parlions encore, voici que le saint apa Bîsa
frappa à la porte ; et eux, ils ne lui ouvrirent point. Sur l'heure, il s'écria :
« Dieu le Christ, qui as fait sortir Pierre de la prison, enchaîné de chaînes de
fer et qui as fait que la porte de fer s'ouvrît à lui sans clef, ouvre-moi vite la
porte de ce temple. » Aussitôt la porte du temple s'ouvrit, il entra avec d'autres
moines, au nombre de quatorze. Lorsque les Hellènes l'eurent vu, ils furent
grandement troublés et ils devinrent comme ces pierres sansàme. Sur l'heure,

t. Lisez : Ke^Konp^fAt.*.. — 2. Lisez : KO-e-oc. — 3. Lisez: goxiHpoc. — 4. Lisez: e.'xrt. — 5. Lisez:
jmnoTOTCon. — 6. Lisez : d.'s.tt.
 
Annotationen