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FRAGMENT DE LA VIE DE PAKHÔME

80;

ncon ctt^ïc. iiTôwqjviTï! AAAJioc RôvTa< oe ern^qo ton eTOOTq n^ï nptojute juin-
«oTTe IkUIs. n^gtOA*. ô^Tto julkhc&. gen rôti «oocy ^qnH^ie n^i ncon eTJU.jut^'Y
^Tto js.qKOTq ujes. nenenoT njvgtoju. ^qoTtoujT eneqs'i'x Ain neqoTepHTe ^Tto
ncx^q n^q -xe iwVHetoc ^R-xjce exiivTe 03 nptojue JumnoTTe nis.p&. oc eTenctOTJLi

€TÉHHTR JUA*HIie Rô^I t*^p nXOClC neTCOOTÏl 2 12£C €ït€ JUmeitp g^pUJ g^HT CStOI

(-no-) jumegocY nT^jc^gcy ju.ju.or mior nei^ht npeqep noke eue nT^Rcse
Ais.ô.'y o^p nuj^'xe naa equôvUjT ne eic ^HHTe ô.i'Xo eio Ajuuon^^oc ôwi&tOR ^ip
Rocjumon '. RCJui^jui^^t RTôvR to nptoju.e JumnoTTe ncxoesc tmioos eT&e

TjumTg&puj gHT nTeRJLtnT^pc4.

Jv-yco ^ciutone noTTgocy is. OTptojue eme nTequjeepe tu^poq eoTii OTiioS
nujtone n^^ijuicon gnotoc eqoirtoiy eTpeqTô.XfS'oc. irrepeq'xoo'Y ^e Uôktï egOTn
^iTju. ncon €TA*.njuiôk juinpo ôvq'soo'y nes.q eiio\ "se csoo'y otujthii eTtoc Te n*a
egomi jumecno-xc e-xtoc omiT^cujojuLc5. ^irto nTepoTcxiTc n^q egomi gju.
nTpeq^toujT c^p e-xtoc à.q-xoo'y e&oTV. juneceitoT -xe Ttoc juten Te TeujTHn ô/tVA^
ncg^peg ô.n enîMo nTjutnTjmona^^H6. Tenov Ju.^pecgoixo'\octei ose ciu-

demandée, selon ce que lui avait ordonné l'homme de Dieu, apa Pakhôme.
Et après quelques jours, ce frère eut son bon sens, il retourna vers notre père
Pakhôme, il adora ses mains et ses pieds, et il lui dit : « Vraiment, tu t'es
élevé grandement, ô homme de Dieu, outre la manière que nous entendons
dire de toi chaque jour, car le Seigneur sait que si tu n'avais pas été plein de
mansuétude pour moi, au jour où je t'ai insulté, moi, ce stupidepécheur, situ
m'avais dit un parole dure, voici que je cessais d'être moine, je m'en.allais, je
devenais laïque. Bénis sois-tu, ô homme de Dieu, car le Seigneur m'a fait
vivre à cause de la mansuétude de ta douceur. »

Et il arriva un jour qu'un homme amena vers lui une fille sur laquelle était
une grande maladie de démon, désirant qu'il la guérît. Lorsqu'il lui eut envoyé
dire par le frère qui était à la porte, Pakhôme lui envoya dire : « Envoie-moi
une tunique qui lui ait appartenu et qu'elle n'ait point mise depuis qu'elle a
eu un accès d'épilepsie. » Et lorsqu'on la lui eut portée et lorsqu'il l'eut regar-
dée, il envoya dire à son père : « La tunique est bien la sienne, mais elle ne
garde pas les puretés de la vie monacale. Maintenant donc qu'elle confesse

i. Lisez : tiT6.cj*>iTei. — 2. Lisez: ne eTcooim. — 3. Il faut sans doute kochikoc. — 4. Lisez :
«TeKJULrtT^pHCTOc. —■ 5. C'est le mot écrit : ajCM.cn dans le passage correspondant, p. 528. — 6. C'est
parce qu'il s'agit d'une femme.
 
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