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FRAGMENT DE LA VIE DE PAKHÔME

809

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il ne les prit pas, il lui répondit dans une grande douleur : « Puisque la souf-
france des frères et leurs besoins sont entre nos mains afin que nous les dis-
pensions, et si nous aussi, nous en faisons notre repos, où est la crainte de
Dieu? Est-ce que tu as inspecté en cette heure les cabanes des frères pour voir
s'il n y a pas en elles de malades? Ne pense pas que ce soient de petites choses
ce que tu m'as présenté, car Dieu est un juge qui scrute en toute chose. » Et il
demeura couché, malade, jusqu'à ce qu'il eût passé deux jours sans manger,
et il se levait à chaque moment pour prier Dieu à cause de l'ardeur de son
cœur envers Dieu; et le troisième jour, il alla mieux, il se leva, il alla, il
mangea avec tous les frères.

Or une fois il fut encore malade de telle sorte qu'il fut triste jusqu'à la
mort, par suite de l'excès de ses ascèses, et on le mena dans le lieu où
étaient couchés les frères, afin qu'on l'y nourrît de quelques légumes. Or il y
avait en ce lieu un autre frère, couché, si malade que son corps était devenu
os par suite de la longueur de la maladie, et celui-là, il demandait aux frères
servants un peu de viande pour la manger; mais eux, ils ne voulurent point
lui en donner, disant : « Ce n'est pas la coutume qu'une chose de cette sorte. »

1. Lisez : iieT^pi*.. — 2. Lisez : 6.qKOTcî>J7e. — 3. Lisez : ei.qe.jTei.
 
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