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îpc » ou pour mieux dire « o'Ys7 f»? que. l'eau s'uvrete, *
nous n'avons là-dessus que des données vagues et incertaines.
Ce que nous recherchons, c'est l'endroit où se déversait le
tribut du Bou-Mfcriéug : ear, si nous sommes bien informé,
les citernes sont plus rares dans la parue méridionale de
Cor.stantine. Or, le nom die la porte pratiquée «ans le rem-
part à peu près à mi-côte, entre la Brèche et le Gouffre « e/-
radir, » confirmé d'ailleurs par l'examen des ruines qui cou-
vrent l'esplanade extérieure, nous apprend que le trop-plein
des réservoirs du Ceudial-Àtt venait formée en cet endroit
une nouveHc provision d'eau , tact pour les habitants fdu
quarlier que pour ies hèles de somme. Les Arabes entendent
par iliab'm une piscine, no abreuvoir « aduqnatmm. »

À moins cependant eue les masses de béton sénarées de
cinq mètres en cinq mètres par des pierres de grand appareil,
et traversées actuellement par le sentier tortueux qui descend
à Fa battoir, n'aient une relation directe avec l'inscription
latine trouvée au milieu, et dent voici le reste :

••^SIGNES

■ETVLARVM- ...

Il' faudrait alors admettre irue cette construction avait une
toute autre destination, et servait de casernement aux isétules*
« [Uanfiiones GetvJarvrv. »

Il y a des personnes qui supposent que l'eau de Ras-hou-
Merzoug pouvait être amenée à Djabia, mais non au Coudiat-
Àli. Par conséquent, les citernes de cette colline, qui ne
paraissent pas avoir eu une dimension considérable, auraient
été creusées 'dans le but de recueillir les eaux pluviales de
Belle vue,' et de les distribuer lin peu plus bas.

Les énormes citernes de la Kasba tiraient eu- partie. leur
approvisionnement du Djcbel-Ouahache, qui se dresse dans
les nuages à 12 kilomètres de la ville. Ce qui prête une
grande valeur à cette assertion , ou plutôt, ce qui la met hors
de doute, c'est la découverte faite en 1845 par le Génie mili-
taire d'une rigole « sâkïa » en briques et en moellons équarris,
sur les plateaux frai s'étendent entre le Msid et le Matisoura.
Mais continent et de quel ' côté l'eau franchissait-elle le ravin
pour pénétrer dans la ville ? Elle s'amassait dans les citernes
du cimetière français, peut-être le château d'eau du Djebel-
 
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